On a tous nos petits défauts. Hakon en a un paquet, dont deux qui sortent du lot : il baratine du matin au soir, dans sa vie perso comme au boulot. Et, allez savoir pourquoi… il souffre d’une inexplicable phobie des suppos.
Ce suédois hétéro jusqu’au bout des ongles est prêt à tout pour assumer un père tout à fait spécial et se sortir de la galère. Au point de sauter sur l’emploi de ses rêves, comme publicitaire dans une agence en vogue et un peu singulière : une entreprise ayant la réputation de ne recruter que du personnel gay. Qu’à cela ne tienne, Hakon est prêt à tout, quitte à se glisser dans la peau d’un homo.
L’imposture n’est pas une sinécure, surtout lorsque Suldrun, la fille du patron déboule pour tout compliquer. Cette tornade aux cheveux roses et au caractère bien trempé trouve ce grand blond aux yeux clairs carrément suspect…
Combien de temps Hakon pourra-t-il duper son monde ? Suldrün ira-t-elle au bout de son intuition ? Jusqu’où est-il prêt à aller pour la santé de son père ? Et surtout… pourquoi y a-t-il une licorne sur la couverture de ce livre ?
"Maintenant que tu appartiens au cercle très secret des initiés du bretzel, c'est du fond du coeur que je te remercie. Merci pour le temps passé à me lire, pour ton soutien et pour cette licorne dans le coeur qu'on partage à présent. J'espère t'avoir fait rire et vibrer (si ce n'est pas le cas, file vite me mettre une fessée sur Amazon pour soulager cette vilaine frustration), quoi qu'il en soit, je me suis fendu la poire comme jamais en l'écrivant et j'ai beaucoup pensé à toi."
Et c’est un avis mitigé d’un côté j’ai adoré de l’autre je n'ai pas trop accroché allé je vous raconte. ➡️ C’est un livre que je qualifierais de long... long en tout point ...
C’est un livre que je trouve long à me mettre en place autant je n’aime pas trop les histoires où dès le deuxième chapitre les protagonistes ont déjà bué le café, coucher ensemble, et acheter leurs futures meubles sur la redoute et maison du monde autant là j’ai trouvé que la romance a mis un temps infini à se mettre en place et le livre est long MAIS !Oui il y a un mais je ne vais pas vous le cacher je me suis posé la question d’abandonner, la curiosité a pris le dessus ! Je n’avais jamais lu de romance écrite par un homme et je voulais voir ce que ça donne et j’en suis pas déçu car j’ai apprécié c’est pointe d’humour, les notes de l’auteur à travers le texte! Et j’ai énormément ri ! Une fois la romance lancée il y a plein de rebondissement qui donne envie de lire la suite. On aborde des sujets comme l’acceptation de soi et de ses différences, l’acceptation de l’autre, la folie ... l’auteur fait passer un message tout en finesse et avec humour c’est non négligeable ! Bien que les personnages aient des noms imprononçables j’ai adoré qu’il nous informe de la prononciation et de certaines définitions lors du prologue, vous commencez à être habitués les prénoms me posent très souvent question ! CF adopted love 😂
Comme vous le comprendrez j’ai pas été fan de la première moitié du roman mais j’ai bien accrocher sur la fin
Un bon moment de rigolade pendant cette lecture, une lecture super agréable pour la période d'été. J'ai adoré, comme à chaque fois la plume de Matthieu Biasotto nous captive et nous transporte dans son univers.
Ce qui m'a le plus touché dans cette histoire c'est l'évolution de Hakon.
J'ai adoré avoir les points de vus des 2 personnages pendant la lecture.
Je vais juste vous parler dun auteur qui ne cesse de métonner ! Tout dabord il a écrit, avec succès, des polars qui font douter, frémir et frissonner, puis il est devenu un des trop rares hommes à avoir relevé le défi de la romance, là encore une réussite. Et le voilà soudain qui se laisse aller dans le récit qui fait marrer, le lâchage total de vannes hilarantes et de situations ubuesques.
Nallez surtout pas croire quun dessein soit absent de cette histoire, malgré leurs excentricités les personnages sont entiers et ont tous un bout de route à faire pour atteindre leur vérité.
Håkøn est un menteur invétéré mais pas que, il le dit lui-même : « Jai toujours été volage, ne pas sattacher va de pair avec le fait de pipeauter. »
Suldrün est dune franchise déroutante, trop cash en société, cela lui vaut énormément de problèmes notamment avec son père ! Et elle déteste le mensonge !
Jai adoré le père de Håkøn qui au-delà de sa folie affichée cache une sagesse dans sa façon de gérer sa tristesse.
Même si de tout cela j'ai bien vu la morale, je me suis retrouvée à rigoler toute seule des situations et des punchlines des héros. Une petite citation pour vous mettre dans l'ambiance : "Monsieur poulet a la vigueur d'un dindon castré"
Matthieu Biasotto maitrise décidément beaucoup de chose dans ses romans : l'écriture évidemment, les personnages, les intrigues, les amours et maintenant la franche rigolade. Je retiendrai une expression parmi les multitudes de celles qui m'ont fait rire : "nom d'une turlutte finlandaise" pas facile à replacer mais j'y arriverai !
Dans cette période morose qui n'en finit pas, ne vous abstenez pas d'un bon moment de détente avec cette nouvelle facette du talent de M Biasotto qui ne cesse pas de m'impressionner.
Håkøn est l’archétype du suédois baraqué, bien monté, et hétéro jusqu’au bout des ongles. Son gros défaut ? Une tendance maladive à s’embourber dans des mensonges de plus en plus gros, ce qui va l’amener à se faire embaucher dans une entreprise au personnel gay. Rien qu’en lisant ça, on sent venir les embrouilles et les situations cocasses, et on peut dire qu’il les enchaîne !
Suldrün est un véritable phénomène. Livrée sans filtres, elle balance la vérité à tour de bras. Aussi cash que rafraichissante, ce qu’elle déteste le plus : ce sont les mensonges ! Vous voyez ? Elles sont là les embrouilles. Surtout que le caractère enflammé de la jeune femme n’est pas en reste pour faire tourner Håkøn en bourrique.
Avec ce duo de choc, on se retrouve embarqué dans une série d’évènements et péripéties. Et accrochez-vous, car ce livre est une pépite d’humour. Les situations que vit Håkøn sont hilarantes, et on attend avec impatience chaque nouvel imbroglio dans lequel notre suédois va plonger la tête baissée. J’en ai pleuré de rire tellement c’était génial.
Mais derrière tout ça, il y a quelque chose de plus profond. Derrière l’humour, il y a une véritable déclaration d’amour filial. L’auteur nous touche avec des mots justes et forts, nous offrant une belle leçon de vie. C’est d’une si belle manière qu’après le rire, c’est l’émotion qui vient nous toucher.
Ce roman m’a mise de bonne humeur, m’a donné le sourire et reboosté. Je sais déjà que je vais le relire plusieurs fois. Il est un vrai soleil quand on a un coup dans le moral !
Alors déjà la dedicace au début du livre annonce la couleur. Mais le prologue... Mon dieu, le meilleur prologue que j'ai lu de toute ma vie.
Je me suis piqué un sacré fou rire ! La poire a lavement je ne m'en remettrais jamais.
Je l'ai tellement adoré ce prologue que j'ai du le lire 5 ou 6 fois.
L'humour complément décalé ma happé dans l'histoire malgré des sujets très sérieux.
Matthieu Biasotto est un véritable magicien avec sa plume. Quand on pense avoir cerné l'auteur et qu'on commence un nouveau bouquin, BAM une nouvelle claque. Dans chacuns de ses livres, tout est complément différent.
Bref tout ça pour dire que si il pleut dehors, que vous avez besoin de vous changer les idées, besoin d'oublier vos petits tracas du quotidien..
Ce livre devrait être remboursé par la Sécurité Sociale, tous les psys du monde devraient le recommander à leurs patients. C'est le remède idéal contre la déprime ! J'adore la plume de Matthieu BIASOTTO ; quel humour, quelle imagination ! Je vous en conjure, achetez ce livre et plongez illico dans les aventures d' Häkøn le beau gosse, de Suldrün la poupée rose toujours cash, de Torsten et son parapluie, de Chiba, Joakim et tous les autres. Vous allez rire, beaucoup, je vous le garantis. Matthieu BIASOTTO est un magicien car il sait nous faire sourire et rire tout au long de presque 600 pages. Un exploit !
Si vous ne riez pas au moins une fois par chapitre, je m'engage à vous offrir le champagne :)
Et surtout, n'oubliez pas de lire les remerciements en fin d'ouvrage, ils en valent la peine !
Ah la la ce Matthieu, vous allez finir par croire qu'il me paie pour mettre des avis positifs sur tous ses livres...
Mais je vous promet que non, il est talentueux, l'écriture est un don pour cet auteur que voulez vous y faire ?
On ne peut que succomber à ce fabuleux prodige de l'écriture...
Oui oui j'assume, la biasottophile a encore parlé et ce n'est que le début...
À chaque nouvelle lecture, Matthieu nous mène par le bout du nez, des styles toujours différents, des histoires où l'on tombe sur les
fesses à chaque fois...
Aucun de ses livres ne se ressemblent et pourtant je les vis à fond ...
Sa plume est toujours aussi fluide et addictive...
Avec pour ce roman, qui est particulier avouons le !
Un humour vraiment décapant qui cachent des sujets importants, amenés avec subtilité, légèreté qui m'ont quand même fait couler
quelques larmes...
Les personnages sont spectaculaires, très attachants, l'auteur tisse sa toile autour d'eux et petit à petit nous y sommes pris aussi...
On a tous nos petits défauts.
Håkøn en a un paquet, dont deux qui sortent du lot : il baratine du matin au soir, dans sa vie perso comme au boulot. Et, allez savoir
pourquoi… il souffre d’une inexplicable phobie des suppos. Ce suédois hétéro jusqu’au bout des ongles est prêt à tout pour assumer un
père tout à fait spécial et se sortir de la galère. Au point de sauter sur l’emploi de ses rêves, comme publicitaire dans une agence en
vogue et un peu singulière : une entreprise ayant la réputation de ne recruter que du personnel gay. Qu’à cela ne tienne, Håkøn est
prêt à tout, quitte à se glisser dans la peau d’un homo. L’imposture n’est pas une sinécure, surtout lorsque Suldrün, la fille du patron
déboule pour tout compliquer. Cette tornade aux cheveux roses et au caractère bien trempé trouve ce grand blond aux yeux clairs
carrément suspect…Combien de temps Håkøn pourra-t-il duper son monde ? Suldrün ira-t-elle au bout de son intuition ? Jusqu’où est-il
prêt à aller pour la santé de son père ? Et surtout… pourquoi y a-t-il une licorne sur la couverture de ce livre ?
Des passages tantôt
comiques, tantôt sérieux ou encore émouvants...
Le livre se dévore, se savoure, d'ailleurs un petit roulé à la cannelle pour parfaire le tout ne serait pas de refus !
J'étais bien dans ma bulle biasottophile et d'un coup booom, je suis restée comme deux ronds de flan parce que celle là, je ne l'avais
vraiment pas vu venir....
Waooouhhhhh quel talent !
Je vous le conseille évidemment, foncezzz !!! Gros coup de coeur pour moi, encore une fois...
Matthieu est vraiment, il est vraiment, il est vraiment phénoménal lalalalala....
Sur fond de bretzel, de licorne, de parapluie, de cheveux rose, de neige et d'hélicoteub . Je me suis laissé emportée par l'humour et la légèreté de Matthieu.
Un vrai bonheur qui fait du bien.
Le ton est donné dés les premières lignes et ce jusqu'au remerciements.
J'ai adoré cette histoire remplie de paillettes et de couleurs.
Je me suis régalée, ce livre est remplie de péripéties, c'est un cocktail de suspense, d'Amour, d'humour et pleins d'autre chose. On passe par toutes sortes d'émotions.
Les personnes sont tous aussi attachant l'un que l'autre.
Ce n'est habituellement pas mon style de lecture connaissant les débuts de l'auteur mais là j'ai été conquise par sa plume d'un style tout à fait différente.
Résumé
On a tous nos petits défauts. Hakon en a un paquet, dont deux qui sortent du lot : il baratine du matin au soir, dans sa vie perso comme au boulot. Et, allez savoir pourquoi… il souffre d’une inexplicable phobie des suppos.
Ce suédois hétéro jusqu’au bout des ongles est prêt à tout pour assumer un père tout à fait spécial et se sortir de la galère. Au point de sauter sur l’emploi de ses rêves, comme publicitaire dans une agence en vogue et un peu singulière : une entreprise ayant la réputation de ne recruter que du personnel gay. Qu’à cela ne tienne, Hakon est prêt à tout, quitte à se glisser dans la peau d’un homo.
L’imposture n’est pas une sinécure, surtout lorsque Suldrun, la fille du patron déboule pour tout compliquer. Cette tornade aux cheveux roses et au caractère bien trempé trouve ce grand blond aux yeux clairs carrément suspect…
Combien de temps Hakon pourra-t-il duper son monde ? Suldrün ira-t-elle au bout de son intuition ? Jusqu’où est-il prêt à aller pour la santé de son père ? Et surtout… pourquoi y a-t-il une licorne sur la couverture de ce livre ?
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