Extraits

Oui, j'étais émue... Car l'orgueil de Tsukasa Dômyôji est plus haut que le mont Everest...

Nishikado : T'es bouchée ? C'est une chance incroyable pour une fille banale comme toi !

Mimasaka : Tu as sous les yeux ce dont toutes les femmes du monde rêvent : un mariage avec un membre de l'upper-class !

Tsukasa : Hyper classe ?

Mimasaka : Bon... Son cerveau est un peu défaillant, mais quand même...

... Peut-être qu'un jour... Nous pourrons à nouveau rire ensemble.

Tsukasa : Quel tordu, ce mec... Je voulais le frapper... Mais j'ai plus envie.

Tsukushi : (Tordu? Et toi, tu t'es regardé ?)

Tsukushi : QUOI? Tu veux que je vienne te voir tous les jours ? Impossible ! Je dois bosser.

Tsukasa : Viens, et je te paye plus que ton job ! Trois cents euros par jour, ça te convient ?

Tsukushi : 300 euros?! Encore à essayer d'acheter les gens !

Tsukasa : 500 euros.

Tsukushi : 500 euros?! Ca va pas, non ? Tu essaies de me corrompre?

Tsukasa : Ca ne te va pas du tout, cette expression. Ris ou pleure, mais choisis !

Tsukushi : Bon, ça va !

Tsukasa : Ne pleure pas. Je te l'avais bien dit, non? Je te poursuivrai même jusqu'en enfer ! Alors, ne m'évite plus...

Tsukushi : ... Idiot.

Domestique : Nous non plus n'avons pas vu le jeune maître depuis plusieurs jours...

Rui : Et s'il se planquait dans cette jarre?

Nishikado : ... Quand tu veux, tu es très drôle.

Euh... je suis désolé.

Ne te frotte pas le visage. Déjà que tu es moche, si en plus tu gardes des cicatrices...

Nishikado : Après, ils se sont mis à pleurer en nous demandant de les épargner. C'était pas des nuls, mais des minables, oui. Tsukasa, c'est vraiment eux qui t'ont battu?

Tsukushi : Oui, et complètement ! Un vrai massacre !

Tsukasa : Tsukushi ! Espèce de...