Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 401
Membres
1 011 888

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par Hanouchka

Extraits de livres par Hanouchka

Commentaires de livres appréciés par Hanouchka

Extraits de livres appréciés par Hanouchka

Magic wasn’t a problem for Paras. In the Beyond, they’d bathed in the magic day in and day out, but that magic had an outlet—their bodies became canvases for the power. Some had wings; some had horns or fangs.
Sensitives couldn’t process magic that way. Instead, we just kept absorbing more and more magic, until we lost ourselves completely. Until we became wraiths, pale and dangerous shadows of the humans we’d once been, our lives devoted to seeking out more magic, filling that horrible need.
I’d learned eight months ago that I was a Sensitive, part of that unlucky percentage. I’d been in the store’s second-floor storage room, moving a large, star-shaped sign to a better spot. (Along with walking sticks, my dad had loved big antique gas station signs. The sticks, at least, were easier to store.) I’d tripped on a knot in the old oak floor and stumbled backward, falling flat on my back. And I’d watched in slow motion as the hundred-pound sign—and one of its sharp metallic points—fell toward me.
I hadn’t had time to move, to roll away, or even to throw up an arm and block the rusty spike of steel, which was aimed at the spot between my eyes. But I did have a split second to object, to curse the fact that I’d lived through war only to be impaled by a damn gas station sign that should have been rusting on a barn in the middle of nowhere.
“No, damn it!” I’d screamed out the words with every ounce of air in my lungs, with my eyes squeezed shut like a total coward.
And nothing had happened.
Lips pursed, I’d slitted one eye open to find the metal tip hovering two inches above my face. I’d held my breath, shaking with adrenaline and sweating with fear, for a full minute before I gathered up the nerve to move.
I’d counted to five, then dodged and rolled away. The star’s point hit the floor, tunneling in. There was still a two-inch-deep notch in the wood.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Lijuan’s wings had always been a glorious dove gray, beautiful and elegant. The color had suited her age and her power. Those wings spread out behind her, as elegant and as flawless as always, and for an instant, Andromeda thought Lijuan was back to who she’d been before the battle with Raphael.
Then she saw eyes swimming in blood . . . and she saw absence.
There was no evidence of legs under the gown of red silk that flowed from Lijuan’s painfully thin shoulders. No indication of bones pushing against the skirt, nothing but emptiness. Her left sleeve hung equally hollow at her side.
Andromeda’s stomach twisted.
If Lijuan’s legs and arm—and possibly other parts of her that Andromeda couldn’t see—hadn’t yet grown back, then Raphael had done a kind of damage no one could’ve predicted when it came to a confrontation between an archangel who hadn’t yet reached his second millennium, and a near-Ancient. It also meant Lijuan was far more dangerous than even Andromeda had anticipated.
A woman who believed herself a goddess would not appreciate the daily, and excruciatingly painful, reminder of weakness.
At least, but for her eyes and her thinness, the archangel’s face seemed as it had always been. The same blade-sharp cheekbones, the same pearlescent eyes, the same ice-white hair. Her skin appeared fragile but that—
Andromeda choked back a scream.
Lijuan’s face had turned into a skull, her eye sockets black hollows crawling with maggots that screamed.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
I wiped blood from the Glock with a relatively clean corner of my shirt and jammed it into its holster at the small of my back. Technically it wasn’t a Glock at all, but a masterfully wrought demon knock-off with weight and action near indistinguishable from the real deal—invaluable for training since my gun was an integral part of both offense and defense on Earth. Ammunition made of resin casings, gunpowder, and potency pellets—an ingenious creation of Mzatal’s—turned the thing into what I lovingly called my potency paintball gun. The option to include my cop weapon-training in live fire scenarios rocked.
“You endure much for Idris,” Gestamar said and swept a clawed hand over his chest several times to clear the residue of the potency strikes.
“He’d do the same for me.” My jaw clenched. Like me, Idris Palatino was a summoner—a human with the ability to open a portal between Earth and this world, the demon realm. Moreover, he was Mzatal’s protégé, utterly brilliant, and a damn nice guy who I was proud to call friend.
But four months ago, I’d inadvertently almost destroyed the demon realm during a ritual to retrieve Vsuhl—one of the three essence blades. And, when the dust cleared, Idris was gone—kidnapped by the fucking asshole Mraztur.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Aidan se tourna vers lady Vale, mais avant qu'il ait eu le temps d'ouvrir la bouche, son attention fut attirée par une silhouette qu'il reconnut d'emblée.
Bon sang ! se dit-il, irrité. Que faisait cette femme ici ?
C'était ainsi qu'il désignait lady Yardley. Cette femme. Bien que divorcée, elle était autorisée à garder le titre et le nom de son ex-époux ; son prénom était Julia, et certains de ses amis l'appelaient Julie, mais pour Aidan, elle était cette femme.
Ou, s'il était dans des dispositions d'esprit moins charitables, elle était ce Iago en jupons.
Elle portait une robe d'un rouge flamboyant qui mettait en valeur sa beauté vénéneuse - une robe couleur de feu pour une créature infernale... Avec son profond décolleté, et son étoffe soyeuse aux moirures sensuelles, cette dernière révélait ses courbes de la façon la plus impudique qui soit. La parcourant malgré lui d'un regard curieux, il remarqua qu'elle avait davantage de formes qu'autrefois. Sa gorge était plus ronde, ses hanches plus généreuses... Aidan réprima un mouvement agacé. Même s'il avait oublié bien des détails de cette maudite après-midi d'août, l'image de son corps nu restait comme gravée au fer rouge dans sa mémoire.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 05-05-2015
— Eh bien, à ce qu'il paraît... du moins c'est ce que l'on chuchote, notre cher duc et son meilleur ami, lord Manderville qui, comme tu le sais, a hérité de la réputation libertine de son père, auraient fait un pari incroyable : gagnera celui qui est le meilleur amant d'Angleterre.

— Vraiment ? fit Caroline en feignant une totale indifférence.

Son amie en revanche semblait surexcitée.

— Tu ne trouves pas cela extraordinaire ?

— Es-tu certaine de ce que tu avances ? Ma chère, nous sommes à Londres et ces hommes appartiennent à la haute aristocratie. Il ne faut pas prendre comme parole d'évangile tout ce que l'on dit. Tu sais aussi bien que moi que ces rumeurs se révèlent souvent fausses, ou que les faits sont grandement exagérés.

— Oui, mais apparemment ils ne nient pas. Le pari est enregistré chez White, et quantité de gentlemen ont déjà misé sur leur favori. Ces deux-là ont toujours flirté avec le scandale, mais cette fois ils se surpassent !

Les jockeys enfourchaient leur monture pour la dernière course.

— Comment peut-on prétendre apporter une preuve dans un pari aussi absurde ? répliqua Caroline. Et quel arbitre pourra déterminer lequel des deux est le meilleur amant ? Tout est affaire de subjectivité dans ce domaine.

— Ma chère, c'est bien là l'aspect le plus scandaleux. Ils ont besoin d'un critique impartial. Toute la bonne société se demande qui sera cette personne.

— C'est un peu bizarre, tu ne crois pas ? Il faudrait qu'une femme accepte d'avoir des rapports intimes avec... ces deux hommes ? Seigneur !
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Je pouvais déjà sentir une raideur dans nos muscles, une grimace dans le sourire d’Addie lorsque la prof nous tendit les billets au tarif étudiant. En vérité, quel que soit le nom donné à ce musée, son seul et unique objet était cette bataille d’un siècle et demi que l’Amérique avait mené contre les hybrides.
La gifle d’air conditionné qui nous cueillit à l’entrée fit frissonner Addie, nous donnant la chair de poule sans toutefois dénouer nos tripes. Le bâtiment de trois étages offrait en son centre un large hall situé derrière le guichet, et l’on pouvait apercevoir les deux niveaux supérieurs en basculant la tête en arrière. Addie avait déjà expérimenté cette vision lors de notre première visite. Nous avions douze ans, nous nous sentions écrasées sous le poids de l’Histoire, des batailles, des guerres et de la folie meurtrière.
Personne ne regardait vers le haut. Les autres parce que ça les ennuyait et Addie parce que… nous ne voulions plus jamais voir ça.
Hally s’était éloignée de nous pour copiner avec une fille plus marrante. Ma sœur aurait dû se faire violence, se forcer à sourire, à plaisanter, en se plaignant avec les autres d’avoir à revenir dans ce maudit musée. Elle ne dit rien, ne fit rien. Elle se plaça juste à l’arrière du groupe pour ne pas entendre la guide.
Je n’intervins pas. Comme si mon silence pouvait prouver mon inexistence. Ce qui donnait une chance à Addie de croire, pendant une heure, que je n’étais pas là. Que nous, nous n’avions rien à voir avec les fameux ennemis hybrides dont parlait la guide en pénétrant dans la Salle des Révolutionnaires.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Sa voix s’étrangla dans sa gorge quand le sang commença à apparaître sous la porte. Bien sûr, il devait finir par couler là. Il y en avait une telle quantité… Alors qu’elle se tenait sur le seuil de la chambre de Benjamin, elle en avait vu partout. Les murs étaient éclaboussés de rouge.
Elle se couvrit la bouche d’une main. D’autres frissons la parcoururent, et ses genoux s’entrechoquèrent.
Le rythme se modifia quand, à l’intérieur, une autre paire de poings se mit à marteler la porte.
À travers la vitre, elle discernait la silhouette trouble de son mari. Celle-ci était déformée par les épaisses traînées de sang qui maculaient le verre. Elle observa les mains difformes de Lloyd qui frappaient le carreau, avant que ses yeux ne reviennent inexorablement se fixer sur ces petits doigts qui griffaient le bas de la porte.
Elle aurait vraiment dû insister pour que Lloyd installe de l’isolant.
Un hurlement rageur venu de la maison la fit sursauter, et son épaisse chevelure noir de jais retomba sur ses yeux. D’une main tremblante, elle repoussa les mèches. Elle continuait de contempler ces petits doigts.
La flaque de sang s’élargissait peu à peu, approchant ses pieds nus.
Il fallait qu’elle bouge.
Mais pour aller où ?
Les petits doigts étaient maintenant à vif, on apercevait le bout des os. Et pourtant ils essayaient toujours de l’atteindre.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
“Moirin.” In the window seat that looked onto the courtyard, Jehanne de la Courcel raised her head. Sunlight gleamed on the elaborate coils of her pale gilt hair. Her blue-grey eyes sparkled at me. “Lesson the second,” she said in her light, sweet voice. “Never trust a poet.”
My blood ran cold with anger.
“Do you make mock of me for seeking to learn Naamah’s arts?” I asked stiffly. “I had not thought that was the D’Angeline way.”
“No!” She rose in one fluid motion. “I’m not here in jest.”
“Why, then?” I eyed her. “Is this but some gambit I cannot fathom in the game you and Raphael play with one another?”
“Yes,” Jehanne said simply. “And no.”
I folded my arms. “Well, I’m not playing.”
“Such a glower!” She tilted her head and smiled at me in a disarming manner. “Are you truly that insulted that the Queen of Terre d’Ange wishes to serve as an adept for you? I never did renounce Naamah’s Service, you know. It’s part of my agreement with Daniel.” When I didn’t answer, she came closer. “Raphael de Mereliot is a very intelligent, very attractive man. He can be kind and caring, but he can be selfish and ambitious, too. And he will control you if you let him.”
I could smell her perfume, faint and intoxicating. “And out of the goodness of your heart, you came here to tell me this?”
“No.” Jehanne ran one fingertip over my folded forearms in a feather-light caress, watching my skin prickle in response. “The Court’s abuzz with talk of you. Raphael expects me to succumb to a jealous fury. If I do, he wins. This…” She stroked my cheek with the same exquisite delicacy. “This is my way of changing the game entirely.”
With an effort, I pulled away. “Oh, aye! So you might throw it in his face and in the bargain, laugh at my inexperience.”
“No.” She shook her head. “No, I rather think I’d keep you my delicious little secret. And when Raphael parades you around in all his smug glory, all I’ll have to do is think on it and laugh inside. As for your inexperience…”
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
— OK, à toi maintenant, me dit Ford en m’indiquant le sac de sable du menton, un filet de sueur lui glissant le long de la tempe. Et cette fois, tu le décroches, OK ? Dis-toi que c’est ce punching-ball qui a tué ton petit ami.

Je ne le ferai jamais tomber, raisonnais-je intérieurement tout en m’en approchant. Je me prépare néanmoins à donner tout ce que j’ai. C’est comme ça que chaque séance se termine, par une attaque sauvage où je ne retiens plus mes coups, Ford m’encourageant à chercher ce qu’il appelle ma zone folle. Si seulement il savait ! Ma folie ne se limite pas à une zone, c’est un véritable continent.
Je commence à tournoyer sur moi-même, prenant davantage d’élan à chaque nouveau tour jusqu’à arriver à portée du sac ennemi : j’arme alors ma jambe droite et décoche un plat du pied en plein milieu. Puissamment. Plus fort en tout cas que j’aie jamais frappé ce sac, réalisé-je en entendant un crac sonore. Ce n’est que lorsque je vois le punching-ball s’élever à l’horizontale que je me rends compte de ce que je viens de faire. Ses cent kilos de sable vont s’écraser avec fracas dix mètres plus loin sur un tas d’haltères.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4


Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode