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La mort na peut rien contre toi. Quand elle surgit, ne la laissepas t'impressionner. C'est comme un serpent sans venin. Ne l'oublie jamais. Quand tu sais ça tu peux tout surmonter.

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(Jazza et rory)

-Qu'est-ce que tu fais ce soir ? ai-je demandé.

-Je comptais resteer ici et bosser sur ma disertation d'allemand . Et je dois absolument faire quelques heures de violoncelle. Je n'étais vraiment pas en forme ce matin ;

-Ou sinon, ai-je enchaîné gaiment, tu pourrais sortir ! Au pub . Avec Jerome .

Jazza a mâchouillé une mèche de cheveux un instant .

-Au ? Avec Jerome ?

-Il m'a demandé de t'inviter .

-Jerome t'a demandé de m'inviter au pub?

-Il a dit que c'était à moi de te convaincre , ai-je expliqué .

Jazza a tournoyé sur sa chaise avec un large sourire .

-Je le savais !

J'en ai deduit qu'elle et Jerome se dragauaient depuis un moment et j'étais maintenant là pour concrétiser leur amour . Si je devais jouer ce rôle d'entremetteuse , autant l'accepter tout de suite . Ou du moins faire semblant de me réjouir pour elle .

-Alors..toi et Jerome ? Raconte .

Jazza a penché la tête de coté exactement à la maniere d'un petit oiseau .

- Mais non ! a-t-le ri .Moi et Jerome ? Enfin... je l'adore , hein , mais on est amis . C'est toi qu'il invite .

-Il me demande de t'inviter pour m'inviter moi ?

-Absolument

-Ca aurait été plus simple de m'inviter directement , non ?

-On voit que tu ne connais pas Jerome , a répliqué Jazza . Il ne sait pas faire simple .

Mon moral est remonté en flèche .

-Bon , ai-je repris tu viens ou ...

-Il vaudrait mieux .Sinon ilrisque de paniquer et d'annuler . Il a besoin de moi pour le soutenir

-C'est compliqué dis donc ! Tous les Anglais sont comme vous ?

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Le matin, j'ai besoin d'un tas de trucs pour me préparer. J'ai des cheveux longs très épais , que seul l'emploi d'un petit arsenal de produits capillaires est capable de dompter. En verité - et j'ai honte de l'avouer -,une de mes grandes craintes en venant en Angleterre , c'était d'être obligée de m'en trouver de nouveaux. C'est pitoyable , je sais, mais il m'a fallu des années pour lettre au point ma technique de coiffure . Avec elle , mes cheveux ressemblent à des cheveux ; sans, ils gonflent et rebiquent de plus en plus à mesure que l'humidité augmente . On ne peut même pas dire qu'ils bouclent , mais plutôt qu'ils deviennent possédés.

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C'est là qu'elle trébucha. Le téléphone partit en vol plané, petit rectangle luisant enfin libre de ces mouvements, avant d'atterir avec fracas sur le bitume et de s'éteindre.

- Et merde ! Faites qu'il ne soit pas cassé...

Préoccupée par le sort de son portable, Claire ne fit d'abord pas attention à ce sur quoi elle avait trébuché ; Elle avait juste vaguement sentie que c'était assez volumineux et lourd, et que ça avait un peu bougé quand son pied l'avait heurté. Dans l'obscurité, ça ressemblait à un monceau d'ordures à la forme étrange. Un énième obstacle dans son parcours matinale. Elle s'agenouilla et tâtonna sur le sol pour retrouver son téléphone, le genou aussitôt immergé dans une flaque.

- De mieux en mieux, bougonna-t-elle.

L'appareil fut vite récupéré. Son écran npir n'indiquait aucun signe de vie. Elle tenta de le rallumer sans trop y croire, mais, à sa plus grande joie, le téléphone se ranima dans un clignotement, cerclant de nouveau sa mais d'un petit halo.

C'est à cet instant que Claire aperçut le liquide visqueux sur ses doigts. Sa texture lui était extrément familière, tout comme son odeur (elle était infirmière), légèrement métallique.

Du sang, sa main était couverte de sang...

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La peur ne peut rien contre toi. Quand elle surgit, ne la laisse pas t'impressionner.C'est comme un serpent sans venin. Ne l'oublie jamais. Quand tu sais ça, tu peux tout surmonter.

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Des pigeons roucoulaient dehors, près de la fenêtre. Un grincement a retenti dans le bâtiment, puis plus rien. Tendant le bras, j’ai passé la main sur l’épais tissu bleu un peu rêche qui recouvrait le canapé. J’ai levé les yeux pour contempler la bibliothèque encastrée qui s’élevait jusqu’au plafond. Voilà, j’y étais. C’était ça, Londres : ce bâtiment désert et froid. Et ces pigeons étaient des pigeons anglais. J’avais attendu ce moment depuis si longtemps que je ne savais pas trop comment faire face à cette réalité. Les mots NOUVEL EVENTREUR ? ont jailli sur l’écran, devant un arrière-plan panoramique de Big Ben et du Parlement. A croire que le journal télévisé lui-même cherchait à me rassurer. Même Jack l’Eventreur avait refait surface pour faire partie du comité d’accueil.

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De part sa brièveté, la vie paraissait franchement dérisoire, et la mort, la chute comique d'une longue blague minable.

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"Désirons-nous vraiment que les amis perdus

Près de nous en silence à notre vie assistent ? 

N'avons-nous à cacher rien dont leurs yeux s'attristent ? 

N'est-il aucune tare en nos coeurs montrés nu? "

Lord Alfred Tennyson, In Memoriam A.H.H., pièce 51 (traduction de Léon Morel, Hachette, 1898)

Page 277

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De toute évidence la relation que j'entretenais avec Jerome était complexe. Il me racontait des trucs horribles sur Jack l' Eventreur, et j'éprouvais soudain le besoin urgent de l'embrasser à en perdre haleine. J'aurais continué indéfiniment si Boo ne nous avait pas sauté dessus comme un chiot frétillant. Jerome et moi nous nous sommes écartés si vite l'un de l'autre que, l'espace d'un fabuleux instant, nous sommes restés reliés par un mince filet de salive. Je l'ai rompu d'un revers de main.

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Il était planté devant moi, son visage à deux centimètres du mien. Je ne sentais aucun souffle émaner de lui, puisque bien entendu, il ne respirait pas. Il n’était qu’une masse glaciale. Je suis restée parfaitement immobile jusqu’à ce qu’il recule et s’éloigne…

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