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Il ne nous montre rien d'autre que le désir le plus profond, le plus cher, que nous ayons au fond de notre coeur. Toi qui n'as jamais connu ta famille, tu l'as vue soudain devant toi.

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- Eh voilà, mon garçon, dit-il. La voie 9 est ici, la voie 10 juste à côté. J'imagine que la tienne doit se trouver quelque part entre les deux, mais j'ai bien peur qu'elle ne soit pas encore construite.

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Mr et Mrs Dursley, qui habitaient au 4, Privet Drive, avaient toujours affirmé avec la plus grande fierté qu'ils étaient parfaitement normaux, merci pour eux.

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Il s'apprêtait à remonter l'escalier lorsque l'oncleVernon se mit à parler.

-Drôle de façon d'aller dans une école de sorciers, le train. Les tapis volants sont en panne ?

Harry ne répondit rien.

-D'ailleurs, où se trouve-t-elle cette école ?

-Je ne sais pas, dit Harry en prenant conscience pour la première fois de son ignorance à ce sujet. Je dois prendre le train à la gare de King's Cross à onze heures, sur la voie 9 3/4, ajouta-t-il en regardant le billet que Hagrid lui avait donné.

Son oncle et sa tante l'observèrent avec des yeux ronds.

-La voie combien?

- 9 3/4

-Ne dis pas de bêtises, dit l'oncle Vernon. La voie 9 3/4 n'existe pas.

-C'est écrit sur mon billet.

-Ils sont tous fous ! décréta l'oncle Vernon. Enfin, tu as de la chance, je devais de toute façon aller à Londres demain matin.

-Pour le travail ? demanda Harry, essayant d'être aimable.

-Non, j'emmène Dudley à l'hôpital. Il faut lui faire enlever cette queue en tire-bouchon avant qu'il entre au collège.

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"Le professeur s'arrêta soudant devant une salle de classe. Elle ouvrit la porte et jeta un coup d’œil par l’entrebâillement.

-Excusez-moi, dit-elle au professeur qui donnait son cours dans la salle.

C'était Flitwick, le professeur d'enchantements.

-Puis-je vous emprunter du bois quelques instants ?

Du bois? Avait-elle l'intention de lui donner des coups de bâton? se demanda Harry, déconcerté.

Mais Dubois était en fait un élève de cinquième année, un garçon solide qui avait l'air très étonné d'être ainsi arraché à son cours."

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Dudley ressemblait beaucoup à l'oncle Vernon. Il avait une grosse figure rose, un cou presque inexistant, des petits yeux bleus humides et d'épais cheveux blonds qui s'étalaient au sommet de sa tête épaisse et grasse. La tante Pétunia disait souvent que Dudley avait l'air d'un chérubin - et Harry disait souvent qu'il avait l'air d'un cochon avec une perruque.

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" Cela ne fait pas grand bien de s´installer dans les reves en oubliant presque de vivre. "

Albus Dumbledore, Harry Potter à l´école des sorciers.

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"Le serpent ouvrit soudain ses petits yeux brillants. Lentement, très lentement, il leva la tête jusqu'à ce qu'elle soit au même niveau que celle de Harry.

Et lui fit un clin d'oeil.

Harry resta bouche bée. Il jeta un coup d'oeil autour de lui pour s'assurer que personne ne le regardait, puis adressa à son tour un clin d'oeil au serpent.

Le reptile fit un signe de tête en direction de l'oncle Vernon et de Dudley, puis leva les yeux au plafond. Il semblait dire à Harry : "J'ai le droit à ça sans arrêt".

-Je sais, murmura Harry, sans savoir si le serpent pouvait l'entendre à travers la vitre. Ça doit être vraiment agaçant.

Le serpent approuva d'un hochement de tête vigoureux.

-D'où tu vient en fait ? demanda Harry.

Le serpent pointa le bout de sa queue vers le petit écriteau apposé à côté de la vitre.

-< Boa constrictor - Brésil >, lut Harry. C'était bien là bas ? demanda-t-il.

Le Boa pointa à nouveau la queue vers l'écriteau et Harry lut la suite : < Né à la ménagerie. >

-Ah, d'accord, je comprend. Donc, tu n'as jamais été au Brésil ?

Tandis que le serpent confirmait d'un signe de tête, un hurlement assourdissant retentit et les fit sursauter tous les deux.

-DUDLEY ! MR DURSLEY ! REGARDEZ LE SERPENT ! VOUS ALLEZ PAS ME CROIRE !

Dudley revint vers le cage en se dandinant aussi vite qu'il le pouvait.

-Pousse-toi de là, toi, dit-il en donnant à Harry un coup de poing dans les côtes.

Pris par surprise, Harry tomba sur le sol de ciment. Ce qui se passa ensuite fut tellement rapide que personne ne vit comment c'était arrivé. Soudain, alors qu'ils se tenaient côte à côté devant la cage de verre, Piers et Dudley firent un bond en arrière en poussant des cris d'horreur.

Harry se redressa, le souffle coupé : la vitre qui tenait le boa prisonnier avait disparu. Le long serpent se déroula rapidement et quitta la cage en ondulant sur le sol. Pris de panique, les visiteurs du vivarium se précipitèrent alors vers la sortie en hurlant de terreur.

Au moment où le serpent glissa rapidement devant lui, Harry eut l'impression d'entendre une voix basse et sifflante dire :

-Et maintenant, direction le Brésil ! Merssssi, amigo. "

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-Un Nimbus 2000, marmonna Ron avec envie. Je n'ai même jamais eu l'occasion d'en toucher un.

Ils se hâtèrent de quitter la salle pour aller déballer le paquet loin des regards. Mais Crabbe et Goyle leur barrèrent le chemin de l'escalier er Malefoy prit le paquet des mains de Harry.

-Ça m'a l'air d'être un balai, dit Malefoy en tâtant le paquet.

Il le lui rendit avec une expression de mépris mêlée d'envie.

Cette fois, tu es fichu, Potter, les première année n'ont pas le droit d'avoir un balai.

Ron ne put se retenir.

-Ce n'est pas n'importe quel balai, dit-il, c'est un un Nimbus 2000.C'est quoi, déjà, la marque du tien ? Un Comète 260, c'est ça ? Les Comète, c'est pas mal quand on n'y regarde pas de trop près. Mais évidemment, les Nimbus, c'est une autre classe.

-Qu'est-ce que tu en sais ? Weasley, répliqua Malefoy. Tu n'aurais même pas de quoi te payer la moitié d'un manche. Toi et tes frères, vous les achetez brindille par brindille.

Avant que Ron ait eu le temps de répondre, le professeur Flitwick apparut à côté de Malefoy.

-J’espère que vous n'êtes pas en train de vous disputés ? couina le professeur.

-Potter s'est fait envoyer un balai, répliqua Malefoy.

-Oui, oui, bien sûr, répondit le professeur Flitwick en gratifiant Harry d'un sourire rayonnant. Le professeur McGonagall m'a mis au courant. De quel modèle s'agit-il ?

-C'est un Nimbus 2000, Monsieur, dit Harry qui s’efforça de ne pas éclater de rire devant l'expression horrifiée de Malefoy. Et c'est grâce à Malefoy que j'ai pu l'avoir.

Puis Harry et Ron montèrent l'escalier en essayant de ne pas rire trop fort, tandis que Malefoy na parvenait pas à dissimuler sa rage et son trouble.

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La peur d'un nom ne fait qu'accroître la peur de la chose elle-même.

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