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« Ne jamais avoir honte, voilà ce qu’il disait, mon vieux père. Il y en a toujours qui te reprocheront quelque chose, mais ils ne valent pas la peine qu’on y fasse attention. » Et il avait raison.

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— Teuvniaubalecmoi ?

— Pardon ? dit Cho.

— Tu... Tu veux venir au bal avec moi? répéta-t-il plus intelligiblement.

Pourquoi fallait-il qu’il rougisse en cet instant ? Pourquoi ?

— Oh ! dit Cho, qui rougit à son tour. Oh, Harry, je suis vraiment désolée –et elle semblait sincère. J’ai déjà accepté d’y aller avec quelqu’un d’autre.

— Ah bon, dit Harry.

C’était étrange. Un instant auparavant, il avait senti ses entrailles se tortiller comme des serpents, et soudain, il avait l’impression de ne plus avoir d’entrailles du tout.

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— Dobby pourrait dire à Harry Potter que ses anciens maîtres sont... sont de très mauvais sorciers qui pratiquent la magie noire !

Dobby resta un instant immobile, tremblant de tous ses membres, horrifié par sa propre audace, puis il se précipita vers la table la plus proche et se tapa violemment la tête contre le bord en criant :

— Méchant Dobby ! Méchant Dobby !

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Que n’aurait-il pas donné pour être comme tous les autres, assis avec une bande d’amis, à boire, à rire et sans autre souci que ses devoirs à faire ?

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- Ca y est, murmura Fred d'un ton triomphant. On vient de la prendre.

- Quoi ? demanda Ron.

- La potion de Vieillissement, tête de nouille, répondit Fred.

- Une goutte chacun, dit George en se frottant les mains avec une expression réjouie. On n'a besoin que de quelques mois de plus.

- Si l'un de nous gagne, on partagera les mille Gallions en trois, ajouta Lee avec un large sourire.

- Je ne suis pas du tout sûre que ça marche, les avertit Hermione. Dumbledore y a certainement pensé avant vous.

Mais Fred, George et Lee ne tinrent aucun compte de son intervention.

- Prêt ? demanda Fred aux deux autres qui frémissaient d'excitation. Allons-y, je passe le premier.

Fasciné, Harry regarda Fred sortir de sa poche un morceau de parchemin sur lequel était écrit "Fred Weasley - Poudlard". Fred s'avança jusqu'à la ligne et s'arrêta devant, en se balançant sur la pointe des pieds comme un plongeur qui s'apprête à faire un saut de quinze mètres. Puis, sous les regards tournés vers lui, il prit une profonde inspiration et franchit la ligne.

Pendant une fraction de seconde, Harry crut qu'il avait réussi - George en était sûrement convaincu car il poussa un cri de triomphe et sauta par-dessus la ligne à la suite de Fred - mais un instant plus tard, il y eut une sorte de grésillement et les jumeaux furent rejetés hors du cercle comme s'ils avaient été catapultés par un invisible lanceur de poids. Ils atterrirent douloureusement trois mètres plus tard, sur le sol de pierre froid et, pour ajouter le ridicule au châtiment, deux longues barbes blanches, exactement semblables, poussèrent aussitôt sur leurs visages avec un bruit de pétard.

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Maugrey s'avança en boitant vers Crabbe, Goyle et la fouine qui poussa un couinement terrifié et fila vers l'escalier qui menait au sous-sol du château.

- Non, pas par là ! rugit Maugrey en pointant à nouveau sa baguette magique sur la fouine qui fit un bond de trois mètres, retomba avec un bruit sourd sur le sol, puis s'éleva à nouveau dans les airs. Je n'aime pas les gens qui attaquent par-derrière, grogna-t-il, tandis que la fouine faisait des bonds de plus en plus hauts en lançant des cris de douleur. C'est lâche, c'est minable, c'est répugnant...

La fouine fut à nouveau projetée en l'air, agitant inutilement sa queue et ses pattes.

- Ne-refais- plus-jamais-ça ! lança Maugrey, en détachant chaque mot au rythme des bonds et des chutes de la fouine.

- Professeur Maugrey ! s'exclama une voix d'un ton scandalisé.

Le professeur McGonagall descendait l'escalier de marbre, les bras chargés de livres.

- Bonjour professeur, dit calmement Maugrey, qui continuait de faire bondir la fouine de plus en plus haut.

- Que... Qu'est-ce que vous faites ? balbutia le professeur McGonagall en suivant des yeux l'animal qui se tortillait dans les airs.

- J'enseigne, répondit-il.

- Vous ens... Maugrey, c'est un élève ? s'écria le professeur McGonagall d'une voix suraigüe en laissant tomber ses livres par terre.

- Ouais, dit Maugrey.

- Non ! hurla McGonagall qui dévala l'escalier, sa baguette magique en avant.

Un instant plus tard, il y eut un craquement sonore et Drago Malefoy réapparut, recroquevillé sur le sol, ses cheveux blonds et soignés tombant sur son visage qui était devenu d'un rose brillant. Il se releva en faisant la grimace.

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-George ! s'écria brusquement Mrs Weasley en faisant sursauter tout le monde.

-Quoi? dit George d'un ton innocent qui ne trompa personne.

-Qu'est-ce que tu as dans ta poche?

-Rien !

-Ne me mens pas !

Mrs Weasley pointa sa baguette magique.

-Accio ! dit-elle.

Aussitôt, de petits objets aux couleurs brillantes s'envolèrent de la poche de George qui essaya de les rattraper mais rata son coup. Le contenu de sa poche atterrit directement dans la main tendue de Mrs Weasley.

-Nous t'avions dit de les détruire ! s'exclama Mrs Weasley avec fureur, tenant au creux de sa paume une poignée de Pralines longue langue. Nous t'avions dit de te débarrasser de tout ça ! Videz vos poches, tous les deux, allez, dépêchez-vous !

La scène fût un peu pénible. De toute évidence, les jumeaux avaient essayé d'emporter avec eux le plus grand nombre possible de pralines et Mrs Weasley dut avoir recours plusieurs fois au sortilège d'attraction pour les récupérer toutes.

-Accio ! Accio ! Accio ! cria-t-elle.

Les Pralines Longue Langue surgirent de toutes sortes d'endroits inattendus, y compris la doublure de la veste de Georges et les revers du jean de Fred.

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Que fallait-il faire? La seule issue, c'était d'aller se réfugier dans la pièce où deux hommes tranquillement installés s'entretenaient des meurtres qu'ils prévoyaient de commettre (...)

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Frank avait maintenant le front aussi moite que sa main, qui tremblait en serrant sa canne. Dans la pièce, la voix continuait de siffler et Frank eut soudain une étrange pensée, une pensée absurde... Cet homme avait la faculté de parler aux serpents.

Frank ne comprenait pas ce qui se passait. Il ne souhaitait plus qu'une seule chose, à présent : retourner dans son lit avec sa bouillotte d'eau chaude. Mais ses jambes ne semblaient pas décidées à bouger. Tandis qu'il restait là à trembler en essayant de reprendre ses esprits, la voix glaciale recommença à parler normalement :

-Nagini a des nouvelles intéressantes à nous apprendre, Queudver, dit-elle.

-Vr... vraiment, Maître? balbutia Queudver.

-Vraiment, oui, reprit la voix. À l'en croire, li y a derrière la porte un vieux Moldu qui écoute tout ce que nous disons.

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Dumbledore s'arrêta soudain de parler et tout le monde vit ce qui l'avait interrompu. Le feu de la Coupe était redevenu rouge. Des étincelles volaient en tout sens et une longue flamme jaillit soudain, projetant un nouveau morceau de parchemin.

D'un geste qui semblait presque machinal, Dumbledore tendit la main et attrapa le parchemin entre ses longs doigts. Il le tint à bout de bras et lut le nom qui y était inscrit. Un long silence s'installa, pendant lequel il continua de fixer le parchemin, tous les regards tournés vers lui. Enfin, Dumbledore s'éclaircit la gorge et lut à haute voix :

Spoiler(cliquez pour révéler)- Harry Potter

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