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Les larmes vinrent avant qu’il ait pu songer à les arrêter. Elles coulaient, brûlantes, puis gelaient sur son visage, et d’ailleurs, à quoi bon les essuyer, à quoi bon faire semblant ? Il les laissa ruisseler, les lèvres étroitement serrées, et regarda la neige épaisse qui cachait à ses yeux la tombe où gisaient les dépouilles de Lily et James, simples ossements à présent, peut-être même poussière, étrangers à la présence si proche de leur fils survivant, dont le cœur continuait à battre grâce à leur sacrifice. En cet instant, cependant, il aurait presque souhaité dormir avec eux sous la neige.

Hermione avait de nouveau pris sa main et la serrait étroitement. Il ne pouvait la regarder mais lui rendit son étreinte, respirant profondément, à grandes bouffées, l’air de la nuit, essayant de se reprendre, de retrouver le contrôle de lui-même. Il aurait dû leur apporter quelque chose mais il n’y avait pas pensé et toutes les plantes du cimetière étaient gelées, sans feuilles. Hermione leva alors sa baguette, décrivit un cercle dans les airs et ils virent éclore devant eux une couronne de roses de Noël. Harry l’attrapa et la déposa sur la tombe de ses parents.

Harry Potter et les reliques de la mort – Chapitre 16 : Godric’s Hollow. Page 355

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-Serpentard ?

[...]

-Qui a envie d'être à Serpentard ? Moi je préférerais quitter l'école, pas toi ? demanda James au garçons qui se prélassait sur la banquette d'en face.

Avec un sursaut, Harry reconnut Siruis. Siruis ne sourit pas.

-Toute ma famille était à Serpentard, répondit-il.

-Nom de nom ! s'exclama James. Et moi qui croyais que tu étais quelqu'un de bien !

Siruis eu enfin un sourire.

-Peut-être que je ferai une entorse à la tradition. Où veux-tu être si tu as le choix ?

James souleva une épée invisible.

-Si vous allez à Gryffondor, vous rejoindrez les courageux !

Comme mon père.

Rogue émit une petite exclamation méprisante. James reporta son attention sur lui.

-Ca te pose un problème ?

-Non, répondit Rogue, bien que son léger ricanement indiquât le contraire. Situ préfères le biceps à l'intellect...

-Et toi, où comptes-tu aller, étant donné que tu n'as ni l'un ni l'autre ? lança Siruis.

James éclata de rire. Lily se redressa, le teint rougissant, et regarda successivement James et Siruis avec hostilité.

-Viens, Severus, on va changer de compartiment

-Oooooooh...

James et siruis imitère sa voix hautaine. James essaya de faire un croche-pied à Rogue lorsqu'il passa devant lui.

-A bientôt, Servilus ! lança une voix, au moment où la porte du compartiment se refermait bruyamment.

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Peu après il s'était mis au travail, creusant la tombe à l'endroit que Bill lui avait indiqué, au bout du jardin, entre les buissons. Il creusait avec une sorte de fureur, se délectant de ce travail manuel, fier de ce qu'il ,n'ait rien de magique, car il ressentait chaque goutte de sueur, chaque ampoule de ses mains comme un cadeau offert (...)

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Lorsque Harry se réveilla le lendemain matin, il lui fallut plusieurs secondes pour se rappeler ce qui s'était passé. Il eut alors le puéril espoir qu'il s'agissait d'un rêve, que Ron était toujours là, qu'il n'était jamais parti. Pourtant, en tournant la tête sur son oreiller, il vit son lit abandonné. Ses yeux semblaient attirés par cette couchette vide comme un cadavre. Harry sauta à bas de son propre lit en évitant de regarder celui de Ron. Hermione, qui s'affairait déjà dans la cuisine, ne lui dit pas bonjour et détourna vivement la tête lorsqu'il passa à côté d'elle.

'Il est parti, songea Harry. Il est parti.' Il dut se le répéter pendant qu'il se levait et s'habillait, comme si cela pouvait atténuer le choc. 'Il est parti et il ne reviendra pas.' C'était la vérité pure et simple, Harry ne pouvait l'ignorer car, une fois qu'ils auraient quitté cet endroit, leurs sortilèges de protection empêcheraient Ron de les retrouver.

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N'aie pas pitié des morts [...] Aie plutôt pitié des vivants et surtout de ceux qui vivent sans amour.

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"-Alors, ça y est, tu as dix-sept ans ? lança Hagrid en prenant le verre de vin de la taille d'un seau que lui tendait Fred.Ca fait six ans qu'on s'est vus pour la première fois, Harry, tu te souviens ?

-Vaguement, répondit celui-ci avec un sourire. C'était le jour où vous avez défoncé la porte, où vous avez fait pousser une queue de cochon à Dudley et où vous m'avez annoncé que j'étais un sorcier non ?

-J'ai oublié les détails, gloussa Hagrid."

(Harry Potter et les reliques de la mort)

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"-Comment te sens-tu Georgie ? murmura Mrs Weasley.

-Comme un saint, murmura-t-il.

-Qu'est-ce qu'il a ? croassa Fred, l'air terrifié. Il est devenu fou ?

-Comme un saint, répéta George qui ouvrit les yeux et regarda son frère. Tu vois, j'ai une oreillole. Une oreillole Fred, tu as compris ? [...]

-Consternant, dit-il à George. Absolument consternant! Le vaste horizon des plaisanteries liées aux oreilles s'ouvrait largement devant toi et tu ne trouve rien de mieux que oreillole ?"

(Harry Potter et les reliques de la mort)

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Ron mit un bon moment avant de réussir à extraire sa baguette de sa poche.

- Pas étonnant que je n’arrive pas à la sortir, Hermione, tu as emporté mon vieux jean, il est trop étroit.

- Oh, crois bien que j’en suis désolée, persifla Hermione.

Tandis qu’elle tirait la serveuse à l’écart de la vitrine, Harry l’entendit marmonner quelque chose sur l’endroit où Ron pouvait enfoncer sa baguette.

Harry Potter et les reliques de la mort – Chapitre 9 : Un endroit où se cacher. Page 184

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-A plus tard, Al, fais attention aux Sombrals.

-Je croyais qu'ils étaient invisibles. Tu m'avais dit qu'ils étaient invisibles !

James éclata de rire. Il autorisa sa mère à l'embrasser, étreignit brièvement son père puis bondit vers le train qui se remplissait rapidement. Ils le virent agiter la main vers eux avant de se précipiter dans le couloir du wagon pour retrouver ses amis.

-Tu n'as pas à avoir peur des Sombrals, dit Harry à Albus. Ce sont des créatures très gentilles, elles n'ont rien d'effrayant. De toute façon, tu n'iras pas à l'école dans les diligences, on t'y emmènera en barque.

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Neville: Alors si j'ai bien compris professeur, vous nous autorisez vraiment à faire ça?

McGonagall: Oui c'est exact Londubat.

Neville: A le faire sauter... ? BOUM

McGonagall: BOUM

Neville: Génial.. mais comment on va s'y prendre?

McGonagall: Vous devriez en discuter avec M. Finnigan.. Si je ne m'abuse, il a un penchant très prononcé pour la pyrotechnie.

Seamus: Moi je vais l' exploser."

(Harry Potter et les reliques de la mort )

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