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Extrait ajouté par Gatou29 2018-04-04T01:28:58+02:00

- Vas-y. Je partirai quand tu seras rentrée.

Elle se retourne plusieurs fois pendant le court trajet jusqu'à la porte de la résidence universitaire. Mon sweat englouti complètement sa fine silhouette. Le seul fait de la voir le porter me fait triompher. Je me demande combien de temps il lui faudra pour réaliser qu'il y a mon nom et mon numéro derrière. Je souris. J'espère qu'elle ne remarquera rien avant de le porter quelque part où tout le monde pourra le voir. Comme ça, ils sauront qu'elle est à moi.

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Extrait ajouté par Gatou29 2018-04-04T00:14:37+02:00

- Restons encore un peu ! Hurle Ivy

- Pas question, dis-je, en l'agrippant par le bras. Tu m'as demandé de venir te chercher.

- J'ai changé d'avis, répond-t-elle en faisant la moue.

- Dommage, dis-je et j'essaie à nouveau de la faire avancer. Mais elle résiste. Je pousse un soupir et mens :

- J'ai des cookies dans la voiture.

Son visage s'illumine. On est vraiment bêtes quand on est bourrés. Jamais je ne boirai.

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Extrait ajouté par Emeline-Beaudaux 2017-11-22T14:09:05+01:00

- Tu es en retard, dit-elle quand je m’assieds à ses côtés.

Je lui glisse à l’oreille :

- Mais tu m’as attendu.

Elle penche la tête et je m’éloigne un peu. J’adore la faire réagir. C’est tellement facile. Elle fait glisser vers moi un gobelet en plastique recouvert d’un couvercle.

- Je t’ai pris un café.

Elle a un gobelet identique devant elle. Je pousse un gémissement de plaisir et prends la tasse.

- Comment savais-tu que c’était exactement ce dont j’avais besoin

J’avale une gorgée et elle me jette un regard en biais.

- Je ne le savais pas. Mais ça n’aurait pas été très poli d’en prendre un pour moi et de n’avoir rien pour toi.

- Eh bien, merci. L’entraînement a été horrible, aujourd’hui.

Elle m’accorde à présent toute son attention. Ce n’est pas la première fois que je remarque combien ses yeux sont grands derrière ses lunettes. Ils sont bruns avec un cercle plus clair autour des iris. Certains jours, le centre est plus vert qu’autre chose. Et d’autres, il est doré. Aujourd’hui, ses pupilles sont d’un vert profond, comme un terrain de football fraîchement tondu.

- Je t’en prie.

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« — Tu me tues, Mini.

— Mini ? demandé-je en gloussant.

Il me répond en souriant :

— C’est comme ça qu’on appelle les joueurs plus petits dans l’équipe.

— Je ne suis pas dans ton équipe.

— Non, mais tu es à moi. »

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« — Ces filles… les garçons aussi… Ils veulent seulement quelque chose de moi.

Elle ne me répond pas, mais je sais qu’elle m’écoute avec attention. Je poursuis :

— Parfois, je me demande qui ils aiment vraiment : moi ou la star du foot qui possède une chouette voiture et qui leur ouvre les portes de toutes les fêtes.

Je me tais. Je n’avais pas l’intention de dire tout ça. Je voulais seulement qu’elle me fasse confiance. »

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Extrait ajouté par Laurineb94 2020-08-16T23:20:21+02:00

Romeo à la capacité de concentration d’un moineau.

C’est-à-dire qu’il n’en a aucune.

Chaque fois que je commence à expliquer quelque chose, non seulement ses yeux se perdent dans le vague, mais tout son corps semble vouloir s’échapper. À un moment, je me demande même s’il a la capacité de dormir les yeux ouverts.

Et mon Dieu, qu’il sent bon !

C’est une odeur de propre, comme celle du savon, mais celui qui coûte cinq dollars pièce. C’est un parfum intense, mais pas trop entêtant. Chaque fois qu’il bouge sur sa chaise, une bouffée envahit mes narines et je prends une inspiration plus profonde.

J’ai du mal à me concentrer sur mes papiers quand je vois la façon dont ses cheveux bouclent sur le col de sa veste. Il vient visiblement de prendre sa douche. Il ne sent probablement pas toujours aussi bon. La plupart des garçons puent… n’est-ce pas ?

En fait, je n’en ai pas la moindre idée. Je n’ai jamais été aussi près d’un garçon depuis le lycée. Et même à ce moment-là, cela se limitait à ceux qui étaient assis à proximité de ma chaise et à mon ami d’enfance, Nick.

Nick n’a jamais senti comme ça.

Concentre-toi, Rimmel, me réprimandé-je toute seule. Je peux difficilement lui reprocher son manque d’attention si je passe mon temps le nez en l’air à renifler.

— Hé, dis-je en tapotant mon crayon sur le cahier posé devant nous. Tu es censé te concentrer davantage.

Romeo fait une espèce de truc avec son stylo. Il le passe entre chacun de ses doigts. Dans un sens et puis dans l’autre. Je le lui prends des mains et le pose brusquement sur la table.

— Je crois que ton petit jeu d’adresse t’empêche de réfléchir.

Il éclate de rire, découvrant ses dents blanches parfaitement alignées.

— Désolé.

Il a pris un ton contrit. Il se penche en avant et pose les coudes sur la table en rivant le regard sur le cahier.

— Vas-y, je t’écoute.

En bougeant, son coude vient effleurer le mien et je recule brusquement, les joues en feu. Il me jette un coup d’œil bizarre, mais je l’ignore et me reconcentre sur le papier.

— Donc, dans cet exercice…

Il m’interrompt en reculant soudain sa chaise.

— Attends une seconde, dit-il sans même vérifier si je vais l’attendre ou pas.

Romeo fonce vers la porte où se tient la fille qui est tombée de son siège tout à l’heure. Elle a placé son sac sur son épaule. Elle tortille l’extrémité d’une mèche de cheveux entre ses doigts et lui sourit en minaudant.

Je lève les yeux au ciel et remonte mes lunettes sur mon nez.

Romeo s’arrête face à elle et glisse les mains dans ses poches. Ça a pour conséquence de mouler encore plus son cul dans son jean. Son cul parfaitement musclé.

Gênée, je détourne le regard.

J’entends la fille rigoler. Il lui répond d’un rire profond et grave. Je jette un coup d’œil furtif dans leur direction, le temps de les voir s’éloigner tous les deux. Il a placé sa main au bas de son dos pour la guider.

Cette fois-ci, je suis agacée. Je crois que la fille s’en allait. Où sont-ils allés, d’ailleurs ? Il est supposé être en train d’étudier !

L’idée de rassembler toutes mes affaires et de partir me traverse l’esprit. Je pourrais lui laisser un petit message sur la table avec un seul mot dessus : connard.

Je me mets à ricaner ; je trouve ça très amusant. Mais je ne le ferai pas. Il se mettrait certainement en colère et le dirait à son entraîneur, qui le répéterait au doyen, et ma petite revanche rigolote me créerait des ennuis.

Non, merci.

Mais je ne vais certainement pas rester assise ici comme une dinde à l’attendre.

Je vais faire mes devoirs. Une fois que j’aurai terminé, je pourrai m’en aller et peut-être m’arrêter au refuge quelques minutes avant qu’il ferme. La simple idée de pouvoir faire cette petite visite illumine cette sombre journée.

Je sors rapidement mes propres cahiers et livres. J’ai un questionnaire que m’a donné mon professeur d’histoire. Je vais commencer par ça.

Après, j’ai quelques livres à consulter pour un devoir d’anglais que je dois rendre dans deux semaines.

J’ai déjà rempli la moitié du questionnaire quand je jette un coup d’œil aux affaires de Romeo à côté de moi. Il n’est toujours pas revenu. Je souffle une mèche de cheveux qui est tombée devant mes yeux et observe la salle.

Mais qu’est-ce qu’il fait ? On est dans une bibliothèque, bon sang !

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Extrait ajouté par akashi 2018-12-30T18:02:03+01:00

- Bon sang, marmonné-je. Depuis quand tout est si compliqué?

- Quand tu as commencé à t'intéresser à autre chose qu'au foot.

- On dirait Yoda.

- Non, j'ai bu de la bière.

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Extrait ajouté par LiliMatoline 2018-04-22T10:21:43+02:00

Chapitre 1 :

Rimmel

« …

Soudain, je réalise que je suis toujours assise par terre comme une débile. Je me dépêche de me redresser et lui jette un coup d’œil. Il s’est déjà détourné.

- Attends.

Il se retourne vers moi.

Je brandis le papier très froissé maintenant.

- Je suis ta tutrice.

Son air sceptique m’agace prodigieusement. Est-ce qu’il pense que je ne suis pas assez intelligente pour ça ?

- Tiens, regarde !

Son demi-sourire réapparaît et il s’en empare.

- Qu’est-ce qu’elle t’a fait, cette pauvre feuille ? Demande-t-il en considérant son état déplorable.

Je le foudroie du regard. Déjà, ça va m’obliger à lui parler. Il pousse un profond soupir et je crois qu’il marmonne quelque chose dans sa barbe, mais je ne comprends pas ce qu’il dit.

- D’accord, alors, allons-y, reprend-il en m’incitant de la main à le précéder vers ma table. Finissons-en.

Apparemment, il n’a aucune envie d’avoir un tuteur. Pas plus que moi, je n’ai envie d’être sa tutrice.»

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Extrait ajouté par LiliMatoline 2018-04-22T10:21:19+02:00

Chapitre 10 :

Roméo

« …

- Qu’est-ce que tu en penses ?

- De… quoi ? Bafouille-t-elle.

Sans réfléchir, je tends la main et caresse une des mèches de cheveux. Ils sont doux comme la soie.

- De mon devoir.

Elle recule brusquement comme si j’avais essayé de la frapper.

- C’est bon. Ne change rien. Tu n’as plus qu’à terminer la conclusion et ça ira.

Je n’ai pas l’habitude que les filles essaient d’échapper à mes caresses.

- Tu préfères les filles ? Balancé-je en me redressant.

Elle pousse un petit couinement et me regarde, bouche bée.

- Quoi ?

- Tu es lesbienne ?

- Mais non !

Je bougonne.

- Alors pourquoi t’habilles-tu comme ça ?

Elle ouvre la bouche, puis la referme brusquement. Une lueur de douleur passe brièvement dans son regard. Mais qu’est-ce que je raconte ? En quoi sa manière de s’habiller est-elle important.

- Tu sais quoi? Dit-elle. La séance a duré bien assez longtemps pour aujourd’hui.

- Je viens seulement d’arriver.

- Oui, mais j’en ai déjà marre de toi, aboie-t-elle en commençant à rassembler ses affaires.

La brutalité avec laquelle elle les range dans son sac commence à attirer l’attention. Quand elle a terminé, elle se lève et marche à grandes enjambées vers les étagères de livres et disparaît.

Mon téléphone se met alors à vibrer. J’ai reçu un message.

C’est elle.

Je ne suis pas vraiment d’humeur à jouer à se conneries de devinettes.

Quoi ?

Une seconde plus tard, mon téléphone vibre à nouveau.

Ton défi. C’est ta nerd.»

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Extrait ajouté par Emeline-Beaudaux 2017-11-22T14:22:41+01:00

Romeo est en retard.

Romeo, Romeo, où es-tu, Romeo…

Je m’esclaffe si fort que je fais sursauter une fille assise près de moi. Elle recule si brusquement sur sa chaise que celle-ci se met à vaciller dangereusement, menaçant de basculer en arrière. Je la vois essayer de s’accrocher désespérément au bord de la table, mais elle empoigne à la place le livre épais qui est posé dessus.

Et il ne peut en aucun cas la retenir.

Elle balance le livre alors que sa chaise bascule définitivement. Le siège, la fille et le livre font un vacarme épouvantable en heurtant le sol. Tout le monde se retourne pour regarder.

Tu sais que tu es vraiment une personne maladroite quand tu fais tomber les autres.

Je me redresse pour essayer d’aller l’aider, mais ses yeux lancent des éclairs tellement menaçants dans ma direction que je préfère m’abstenir et je me rassieds. Le visage écarlate, elle se remet péniblement debout et commence à rassembler ses affaires. Avant de quitter précipitamment la pièce, elle s’empare du gros bouquin et pendant un instant, j’ai l’impression qu’elle va me le jeter dessus. Au lieu de cela, elle le serre contre elle et me foudroie à nouveau du regard.

- Je suis désolée, murmuré-je.

Si je me fie à son pas rageur alors qu’elle s’éloigne de moi, elle n’est pas prête à accepter mes excuses. Eh bien, voilà qui commence bien.

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