Haut-Royaume, Tome 1 : Le Chevalier

Une excellente lecture, je recommande fortement. Une histoire de vengeance comme on en voit peu et un personnage principal très complexe.

Avoir plus de 200 pages d’incipite c’est vraiment dur.

Juste genial ! Des aventures, de l'intrigue et des faux semblants...tout y est !

J'ai adoré ce premier tome , genre fantasy .

Tout y est : un ancien monde peuplé de dragons divins, des vivernes volant , chevauchées par des guerriers , des êtres mi serpent, mi humains, des rois, des princes alliés ou ennemis, une entité maléfique L'Obscure , des complots.

Lorn est un personnage attachant, effrayant, complexe . L'écriture est vivante, pas de temps mort , pas de longueur . Pourtant nous nous représentons très bien les lieux et les personnages. Nous découvrons peu à peu qui est Lorn , et son rôle .

Le final est surprenant et nous invite efficacement à lire la suite.

Si vous aimez Robin Hobb , vous allez adorer et cocorico c'est un auteur français

Le début d'une saga qui s'annonce épique, j'aime beaucoup les personnages très gris et Spoiler(cliquez pour révéler) l’ambiguïté sur la réelle culpabilité de Lorn !

Je lirai la suite avec grand plaisir dès que je me la serai procurée:)

Un début de saga plutôt prometteur, avec autant d'action que de jeu politique le scénario reste classique une bonne partie du temps en revanche on ne peux pas trop prédire les événements et heureusement. La part de spontanéité de l'auteur est essentiel. Comme les humeurs de l'obsure sans spoilers d'avantage. Sans parler de la fin qui est un cliffhanger monumentale. J'apprécierais volontiers de découvrir la suite même si je trouve le fil de l'histoire un temps soit peu trop classique et politiquement correct.

https://entournantlespages.wordpress.com/2022/03/16/haut-royaume-le-chevalier-tome-1-pierre-pevel/

Pierre Pevel possède une plume travaillée et très intéressante, on sent bien que ce n’est pas son premier roman, il maîtrise son style. Mais, c’est bien son style qui a été l’une des choses qui m’a laissée de marbre. L’auteur use d’effets de styles qui n’ont pas du tout fonctionné sur moi, pire, qui m’ont vite fait grincer des dents tellement je trouvais qu’elles apportaient au livre une superficialité inutile.

À ça s’ajoute un world building intentionnellement brumeux. Plus que perdue, j’ai commencé à être vraiment énervée face à cette rétention d’informations qui doit rendre curieux pas mal de lecteurs mais qui, moi, m’a lassée. Surtout que le personnage principal reste très obscur lui aussi.

On suit donc le personnage principal dans ses aventures, découvrant par petites touches le monde dans lequel il évolue. Et, je n’en pouvais plus d’avancer à une telle lenteur, surtout que Lorn n’est pas pour moi le personnage le plus intéressant à suivre. Sans trop de fil rouge au départ, on le suit donc dans ses aventures sans savoir où tout cela va nous mener. Le Chevalier m’a fait l’effet d’un mélange étrange entre plusieurs sagas du genre.

Très belle écriture qui contraste joliment avec les basses actions des individus.

Lorn fait irrémédiablement penser à Druss.

La magie obscure et les manœuvres politiques sont finement tissées.

M. Pevel m’a embarqué très vite dans cette aventure où j’ai noté une référence à Breath of the wild à moins que je me fasse des films. Le roman commence vite et c’est magnifique, je ne m’attendais pas à moins bien et je n’ai pas été déçu. L’intrigue géostratégique est poussée dans une complexité que l’on découvre tout au long du roman, les personnages sont trempés dans un fer plus dur que celui de leurs lames, et la magie omniprésente juste dosée.

Mais ?!! le Chat ?!! à non ! pas le chat.

Quelle terrible fin, j’attends avec impatience d’ouvrir le tome suivant pour avoir des nouvelles étonnantes de ce chevalier, s’il y en a. 

Bref, j’ai adoré ce roman, merci M. Pevel, rien à lui reprocher, ni à l’histoire non plus.

Il y en a beaucoup des épopées perdues dans des mondes imaginaires, mais celle-là vous tient aux tripes et ne vous lâche plus.