Je me suis pris une gifle monumentale avec cette série que j'ai lu en VO car les traductions françaises sont généralement horribles.

Un mélange de conte de Grimm et de légendes irlandaises, sur fond de guerre humaine et mythique. L'Amour, sous toutes ses formes, s'écrit ici avec un grand A tant il est d'une pureté mais en même temps d'une complexité incroyable. Il est cruel, mortel mais éternel.
Juliet Marillier est impitoyable mais tellement juste dans son récit. Nuits blanches, kleenex et coeur en miettes ! Et j'en veux encore.

Excellentissime ! Histoire de la médecine et la chirurgie hasardeuse et culottée, où l'on découvre avec horreur et fascination plus ou moins morbide, quelles ont été les conditions et situations qui ont ouvert les voies de ce que sont devenus ces deux grandes institutions aujourd'hui. Pour lesquelles j'éprouve désormais un encore plus grand respect !
De Socrate à Charles Dubost en passant par l'anus du Roi Soleil et les poulets du Dr Christiaan, Jean Noël Fabiani nous fait voyager à travers les siècles qui ont vu la naissance des hommes et des femmes qui ont fait la médecine.

Un second tome qui mériterait ses 5 étoiles, mais le comportement de Laïa, en gamine capricieuse et égoïste m'a vraiment mis sur les nerfs.

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Lors de la trahison du Nightbringer/Keenan, j'avais presque envie de lui crier "bien fait pour toi".
Alors que Hélène était pour moi l'outsider du 1er roman, elle a pris une énorme place dans mon cœur et je croise les doigts pour que l'auteur l'élève au rang qui lui est du. C'est elle la "vraie" héroïne" de cette série.
Quant à Elias, c'est un ange, trop-bon/trop-c.. avec Laïa.
Un petit nouveau a fait son entrée, et j'espère qu'il ne ressortira pas de si tôt. Harper, un homme à découvrir et à aimer. Ouvre les yeux Hel !
Quant aux autres, Marcus doit faire pâlir d'envie le Diable et Keris ferait bien de surveiller ses arrières, la roue tourne...
Vivement la suite !

"j'ai bien accroché jusqu'à ce que Adam arrive".

Au départ c'était plutôt bien, avec Charlotte, jeune femme fraîche et jolie, qui vit une vie que je qualifierais de "standard" ; un appart, un job, des cops. Le genre d'héroïne qu'on pourrait retrouver chez Sophie Kinsella. Donc j'ai bien accroché.
Puis débarque le jeune Elias, 10 ans. Là ça a commencé à coincer quand elle n'a pas réfléchi bien longtemps de quoi faire de ce gosse, appel aux parents, aux flics, à la DASS... Non à peine s'était-elle fait la remarque qu'elle décidait qu'il allait rester chez elle, un peu comme on adopte un animal. Éventuellement le mettre à l'école, ce qui me semble logique, mais non là encore, elle l'a jugé trop intelligent pour ça !
Bon, à ce moment, je me suis dit que j'allais quand même continuer, et puis la fraîcheur et les répartis craquantes du gamin m'ont conquise.
Et puis débarque la version adulte de Elias, son frangin de 25 ans, Adam... En 2 paragraphes, je l'ai trouvé encore plus immature que son frérot de 10 ans, bien que l'on comprenne un peu leur façon de penser, ayant vécu quasiment en autarcie durant leur courte vie, mais quand même...
Charlotte qui malgré ses réflexions personnelles assez rythmées et percutantes, semble accepter presque trop facilement ces intrusions dans sa vie bien rangée. Jusqu'à accepter en une dizaine de phrases l'idée d'épouser Adam pour sa protection.
2 jours après elle se rend compte qu'elle l'aime à en mourir, juste après s'être fait "emballer" sur le sèche linge...
Puis arrive le coup de l'arrestation. Les 2 adultes sont embarqués chez les flics et s'en sortent grâce à l'intervention du majordome de Môssieur qui se fait passer pour un avocat, qui malgré sa plaidoirie n'a pas sorti d'arguments irréfutables pour faire libérer le beau Adam, qui est tout de même accusé de meurtre. En à peine 5 heures de garde à vue ils sont libres et tout va bien. Bienvenue à Bisounoursland ! Et pendant tout ça, le jeune Elias était toujours à l'appart ?! Mais bien sur, un gamin de 10 ans est laisser seul, alors que les flics sont en train d'embarquer les adultes. Bon bah faut croire qu'en littérature on peut tout se permettre.
J'ai quand même insisté. Mais quand Adam fait une déclaration d'amour à te faire hurler de plaisir à Charlotte, qu'il connait depuis quoi ? 15 jours. Qu'elle est la femme de sa vie et qu'il l'aimera et la protégera jusqu'à donner sa propre vie, alors que malgré son côté immature, il est ce que je qualifierais "un mercenaire", je m'attendais à ce qu'il soit un peu plus dur, voire carrément con avant de déclarer sa flamme et surtout, lorsque cette déclaration intervient après qu'il soit aller consulter un conseillé conjugal ?!
Là j'ai dit stop ! Dommage, car le début était plutôt réussi. J'aurais aimer du développement dans la construction des faits. Pas cette impression d'asséner les idées, même bonnes, comme on dresse une liste de tâches à réaliser. On sent pourtant un fort potentiel d'imagination, de création, mais une faiblesse dans la construction. Finalement, j'ai eu l'impression de lire une mélasse de chick-lit-paranormal-fantastique-pollar. Et ça n'avait pas bon goût !!!

Une trilogie splendide !

Les histoires de 3 sœurs/filles de cœur. Unies dans la douleur autant que dans l'amour.

Le premier volet raconte l'épopée d'Ismae, jeune femme de 17 ans, mariée de force à un ignoble marchant, qui trouvera le salut au couvent de St Mortain, puis au côté de Gavriel DUVAL, demi frère bâtard de la duchesse.

Le second, narre l'effroyable destin de Sybella, fille du Diable et formidable guerrière, qui accomplira sa destinée au côté du légendaire "La Bête".

Quant au 3ème volet, il est l'épilogue magnifique qui réunira les 3 jeunes femmes, dont Annith, qui trouvera sa rédemption auprès de Balthazaar, mentor et amant...tant adoré.

3 vies différentes et pourtant si proches dans la douleur.
3 destinées cruelles qui loin de les avoir détruites, en ont fait des femmes fortes au cœur immense.
3 histoires intenses, belles et magiques qui m'ont empêchée de trouver ma rédemption dans le sommeil.

Une trilogie Fantasy-romance comme on en trouve bien peu, et encore faut-il lire en VO, sans ça on se contente d'encore moins dans notre pays.

Un vrai délice !

Ce n'est pas un conte revisité comme je m'y attendais malheureusement. C'est l'histoire de la Belle et la Bête agrémentée de quelques petits trucs en plus du côté de l'histoire de la Belle.

Trop court à mon sens pour s’imprégner des sentiments de chaque protagonistes. La Belle semble tomber amoureuse du jour au lendemain. Ça manque grandement de "magie" sentimentale.

J'ai du mal à comprendre le besoin de réécrire sans nouveauté un conte très connu. Où est l'intérêt ?

Des auteurs beaucoup moins connus ont revisité cette histoire avec talent. Comme Amber Jeager et son roman The Cold King, ou encore Elizabeth Darcy et son roman The Eye of the Beholder. Des pépites !

A nous de les mettre en avant !

Lorsque j'ai vu pour la première fois la couverture, j'ai pris peur. Elle me rappelait les vieux romans à l'eau de rose de nos grands mères. Et pourtant, les nombreux avis positifs m'ont assurée qu'il fallait que je découvre ce roman. Et bien m'en a pris !

Khamsin "Storm", 4ème fille de l'ignoble Roi de Summerlea, a grandi dans l'indifférence totale du royaume auprès de sa nourrice. Seuls son frères et ses sœurs connaissent sont existence et tentent d'amoindrir la cruauté de son géniteur qui la rend responsable depuis ses 3 ans de la mort de sa mère. En effet, Storm porte un lourd secret, qui a fait d'elle une paria ; invocatrice des tempêtes elle n'est jamais parvenue à contenir son pouvoir.
Lorsque Falcon, son frère et prince de Summerlea commet l'impardonnable en volant la fiancée du Roi de Wintercraig et en tuant dans sa fuite le frère tant aimé de ce dernier, la guerre s'abat sur les deux royaumes.

Après 3 années de batailles sanglantes, Le Roi de Summerlea capitule enfin face au terrible Roi Wynter qui pour acquérir une force immense avait embrassé malgré les conséquences, l'incommensurable pouvoir du Cœur de Glace qui à force d'invocation, ronge doucement le peu d'humanité qu'il lui reste, le transformant en un Mage noire au véritable cœur glacé dont les pouvoirs sont de plus en plus instables, menaçant ainsi tous les royaumes.

Lors du traité de paix, Wynter exige en paiement la main d'une des trois filles du Roi, sans douter qu'une 4ème existe. Et l'horrible Roi de Summerlea, de toute son arrogance et sa bêtise, va lui donner pour ne pas dire jeter, Khamsin, persuadé qu'en se débarrassant d'elle et de son pouvoir fatale, il causera la perte et de la fille et du Royaume de Wintercraig. Mais c'était sans compter sur un pouvoir dont il n'a jamais pu apprécier toute la grandeur....l'amour !!!


J'ai ris, pleuré, prié, hurlé à n'en plus finir tout au long de ce récit. Je dirais même que les 608 pages n'ont pas été de trop et même l'inverse. Beaucoup de seconds rôles tout aussi géniaux que les héros ont contribué grandement aux vagues de plaisirs que j'ai ressenties dans cette plongée fantastique. Page après page, j'ai dévoré cette aventure passionnée, torturée ! Enflammée par un érotisme que l'auteur a su préservé de toute vulgarité, j'ai bu ce récit comme une assoiffée.

L'intrigue qui sur un pavé aurait pu s'essouffler où perdre en cohérence est rondement menée jusqu'à la dernière ligne. C.L Wilson mène son histoire tambour battant à coup de complots, trahisons et passion, s'en jamais se tromper. Bravo !!! C'est un succès !

Une merveilleuse découverte de cette auteure qui, j'espère, continuera à nous régaler de ses histoires encore très longtemps.

Vivement la suite !!! Un vrai et gros coup de cœur !!!

Grosse déception sur ce roman.

L'histoire qui avait pourtant bien démarrée, comme une bonne romance-fantasy, bien que la romance n'a pas pointée le bout de son nez avant les 3/4 du roman, m'avait tellement conquise, que je n'ai pu le lâcher jusqu'à tard dans la nuit.
Moi qui suis anti esclavagisme sexuel dans les romans, j'ai pourtant été scotchée par la 1ère moitié du tome.

Tera, jeune femme guérisseuse, désespère de trouver un mari, tant que ses pouvoirs ne se seront pas manifestés, jusqu'au jour où son idiot de beau père la vend comme esclave au sanguinaire Seigneur Batumar.

Alors que l'on découvre en même temps qu'elle, son nouvel univers de luxure, de meurtres et de tortures, on commence déjà à se demander pourquoi elle se pause plus fréquemment en victime qu'en combattante. Elle semble accepter sans trop rechigner sa nouvelle condition.
Craignant de subir l'horrible rituel opéré à chaque veille de départ au combat des hommes, à savoir le viol d'une jeune vierge, qui si elle a de la chance, terminera parmi les nombreuses concubines du Seigneur, et si malchance, finira comme catin de ses hommes (ouch!), Tera tente de survivre en prodiguant ses soins à ses nouveaux congénères.
Lorsqu'elle est remarquée par la 1ère concubine, aussi belle que cruelle, Tera se voit assignée la tâche d'empoisonner le frère de Batumar, pour que la fille de l'horrible bonne femme puisse se faire engrosser, à l'insu du type o_O ! Si Tera réussi, elle sera libre, si elle échoue, elle sera jetée en pâture aux guerriers. Evidemment elle échoue, et aide le monsieur à s'enfuir. Résultat, torturée et démise de ses fonctions, elle se retrouve aux prises avec les guerriers, mais ô miracle, ils sont doux comme des agneaux et se mettent à la protéger et surtout la cacher.
C'est bon vous suivez toujours ?!

Débarque enfin (on doit être aux 2/3 du roman là) le Seigneur Batumar, qui je rappelle, viole des vierges, et a de nombreuses concubines, avec moult bambins. Ce dernier ordonne que Tera devienne sa guérisseuse et l'amène dans sa forteresse, puis ils tombent amoureux....bla bla bla.

Plus aucune nouvelle de la 1ère concubine et de toutes les autres. Tout le chemin construit dans la première moitié du roman a complètement disparu. Le dernier quart du roman ne décrit que leur histoire, et Tera ne s'inquiète même pas des viols, des concubines...WTF??? Aveuglée par l'amour, elle fait abstraction de tout. De plus, alors que l'auteur avait décrit un monde de luxure avec brio sur la moitié du tome, l'union des héros fait l'effet d'un ballon de baudruche qui se dégonfle. 10 lignes pour dire qu'ils se font un pauvre bisous, une 'tite caresse et HOP.....dodo !!!

Et bien je suis restée scotchée, mais pas dans le même sens qu'au départ ! Je me suis pris une claque, mais pas celle que j'attendais.
L'auteur se lance dans plein d'idées, d'intrigues captivantes, et les laisse en plan s'en jamais y revenir. Et pour accélérer son écriture, elle fait des bonds de quelques mois entre chaque chapitre.

Ce qui avait démarré comme un bon fantasy, a tourné court et j'ai maudit l'auteur de m'avoir fait croire à ça. Lorsque j'étais en comité de lecture, j'ai lu des choses mieux écrites et surtout plus construites que je n'ai pourtant pas validées. D'autres ont moins de scrupules.

Dommage !

Alors que Louvaen Duenda, jeune veuve, sa soeur Cinnia et son père, ce dernier Marchant au bord de la faillite, tentent de survivre, harcelés par un riche notable auprès duquel ils ont accumulé diverses dettes, l'ignoble personnage exige la main de la cadette en paiement.

Louvaen, qui n'est pas femme à se laisser faire commet l'irréparable en menaçant d'une arme l'horrible bonhomme.

C'est alors que Cinnia, courtisée par un jeune lord, Gavin, depuis quelques mois, s'enfuit avec ce dernier pour trouver de quoi rembourser leur créancier. Mais Louvaen en maitresse de maison acharnée depuis la mort de sa belle mère ne l'entend pas de cette oreille, et part à la poursuite de sa petite soeur jusqu'au château de Ketach Tor...

Ballard de Ketach Tor n'est plus que l'ombre de lui-même. Maudit depuis 4 siècles par sa sorcière de femme morte lors de la mise au monde de Gavin, Ballard le Dominus du château, subit ses flux de haine à coup de torture physique qui dépassent l'imagination.

Brisé, blessé, mi-homme mi-bête, Ballard ne rêve que d'une chose, lors de ses brefs instants de tranquillité ; mourir et trouver enfin la délivrance. Mais la sorcière avant de trépasser avait tout prévu, car si Ballard supporte les pires atrocités en matière de torture, Gavin n'est pas en reste, puisque à chaque flux, il se transforme à son tour petit à petit en monstre. Seule la grande magie de Ambrose, le sorcier de la famille parvient à atténuer les souffrances des 2 victimes, mais sans jamais réussir à briser la prophétie. Prophétie dans laquelle il est dit que "seule un véritable amour brisera la malédiction, mais alors la rédemption du fils détruira le père...".

Lorsque Gavin retourne au château accompagné de la belle Cinnia, Ballard est loin de s'imaginer dans quelle galère ils sont tombés, car Louvaen arrive....

C'était fantastique, magique, incroyable. J'ai dévoré ce roman, bien trop court malgré ses 400 pages. Grace Draven est une maitresse en la matière. Ses romans sont des petits bijoux de romance-fantasy.

Que du bonheur !

Une perle de la littérature fantasy YA !!! Cette auteure me tue et j'adore ça !

Nouvelle série très prometteuse de cette auteure de talent, maman de la série Cat's Eyes Chronicle (rien à voir avec le dessin animé de notre enfance).

Lorsque Sienna, jeune femme de 17 ans se retrouve exilée du royaume de Windridge à la suite d'une injustice, elle est loin d'imaginer les chemins dangereux par lesquels elle va voyager avant de découvrir qu'elle est sa vraie nature et sa destiné.

Alors que le monde vit sous la menace constante des attaques de dragons, Sienna un brin rebelle commet l'irréparable en amenant bien malgré elle The White, LE dragon des mythes et légendes qui terrorise depuis des décennies des peuples entiers.

Et lorsque l'héritière du royaume est enlevée, la sentence tombe ; Sienna est bannie du royaume et envoyée sur la côte ouest.

Profitant de l'arrivée d'un groupe de chasseurs de dragons avec à sa tête la grande sorcière du Roi, Maitresse Ashyra, le lord de Windridge leur confit Sienna. Qui pour tenter de réparer sa faute, devra leur servir de guide à travers les contrées sauvages.
Dans son malheur, Sienna devra cohabiter avec des soldats assoiffés de vengeance, qui n'ont aucune limite dans leur désir de justice à l'encontre de la demoiselle.

Craignant pour sa vie, elle va se lier d'amitié avec 2 chasseurs de dragons, dont la légende vivante Le Fire's Bane, Darius Karsyn, qui selon les histoires, a tué des dizaines de dragons, fendant leur carapace armé de son sabre légendaire sans craindre les lames de feux létales que crachent ces créatures sanguinaires.

On dit de lui qu'il est immortel...

Mais Sienna est loin d'imaginer qu'elle est sa véritable destiné. Elle va devoir faire des choix pour la survie de son peuple et peut être aussi celle des dragons.

Son périple dangereux ne fait que commencer !

Ce roman est tout simplement magnifique !

Entre rêve et réalité, j'ai plongé avec délice dans ce récit mêlant fantastique-fantasy et bit-lit.

Tish Everett, jeune infirmière anglaise vivant seule de nos jours, trouve un pendentif contenant la photo d'un bellâtre portant redingote et haut de forme. Ce qui aurait pu n'être qu'une simple breloque, est en fait un artefact qui permet au porteur de voyager dans le temps et entre les mondes.
Désormais, chaque nuit, lorsque Tish s'endort, elle se réveille dans un nouveau monde peuplé de créatures toutes plus étranges les unes que les autres. Si dans notre monde les vampires sont les méchants et les lapins sont les gentils, dans le monde de Sang c'est tout l'inverse. Les vampires sont des Bludmen (jeu de mot pour Blood-men) vivant comme tout à chacun comme les êtres humains, les mignons petits lapins, ou poneys...etc sont ici des Bludbunnies, Bludpony...etc et n'ont rien de sympathique.
Si au départ ça a pu me faire sourire, j'ai assez vite déchantée, car ils n'ont rien de drôle, sauf quand Tish les shoot pour éviter de se faire grignoter.

Criminy Stain quant à lui est le summum des héros peuplant ce genre de récit. Malgré son statut de Bludman, il n'a pas l'arrogance propre à ce genre de personnage. Ce qui le rend d'autant plus attachant. En plus de sa magie et de son fort pouvoir d'attraction, il est le maître d'une caravane de saltimbanques tous plus intriguant que touchants. L'univers steampunk rend l'ensemble splendide.

Le point fort de ce récit est aussi l'intrigue qui souvent passe en second plan dans ce style de roman. Superbement construite, elle accroche le lecteur page après page sans jamais s'essouffler, bien au contraire.

La parfaite cohésion entre l'intrigue en générale et l'intrigue amoureuse, font de cet écrit une vraie pépite.

Il va être difficile de trouver mieux dans les prochains mois.

Par chance c'est une série !

Foncez

Voici la série qui va me réconcilier avec cette collection ! Car depuis les Ombres de Kresley Cole j'avoue ne pas avoir trouvé mon compte.

Si la trame de base est récurrente dans la réalisation du roman à savoir, une jeune femme de classe moyenne qui tombe entre les "crocs" d'une créature paranormale d'un rang bien supérieur, le cadre à la steampunk bien que léger, rend l'histoire presque fascinante.
Au-delà de la romance attendue, l'intrigue bien construite sans tomber dans l'excès a su capter la lectrice blasée du genre que je suis, avec succès.
Je suis conquise et en redemande.
Vivement la suite !

Si vous pensiez être unique dans votre vie de couple avec enfants, cette BD prouve le contraire.

J'ai ri du début à la fin, et me suis retrouvée dans à peu près toutes les situations.

Bien que l'auteur se défend de toute ressemblance avec sa vraie vie, il faut l'avoir vécu pour comprendre toute la subtilité de cette ouvrage qui nous fait sentir beaucoup moins seul pour le coup !

J'imagine tout le travail fournit par l'auteur pour dépeindre une mini histoire en une seule planche et pourtant c'était beaucoup trop court à mon goût (je parle de la BD bien sur ^^).

Un vrai bonheur à lire et regarder à 2 !

Une traduction abominable a rendu ce récit très vite ennuyeux ! J'ai eu l'impression de lire un texte non-corrigé. Dommage, car l'idée était sympa.

L'héroïne qui passe les 3/4 du roman à refuser de croire au monde parallèle et ses créatures envoutantes, succombe après un fou rire dont je n'ai toujours pas compris la provenance.

Le héros aussi charismatique soit-il, n'est qu'une copie des multiples héros de ce genre qui peuplent les récits de la mouvance BIT-LIT qui s'essouffle gravement.

On sent cependant de la qualité et des idées dans la façon qu'a l'auteur d'amener son récit, mais une piètre traduction a tout fait capoter !

J'ai eu la désagréable sensation durant toute la lecture de lire un fantasme de l'auteur, certainement du au métier de Evie, le perso féminin de l'histoire. Ou une mauvaise fanfic de quelqu'un qui s'est réveillée un matin en se disant écrivain. Ça aurait pu fonctionner si l'auteur avait fait preuve d'originalité, de renouveau et pas se contenter de refaire ce qui a déjà été mainte fois exploité !

Très déçue, car l'emballage était prometteur, mais le contenu bien creux !

J'ai longtemps hésité à le mettre en OR, d’ailleurs s'il pouvait exister une catégorie entre l'argent et l'or ce serait bien. Disons qu'il entrait dans cette catégorie jusqu'à la moitié du roman, mais est retombé un ton plus bas par la suite.

Sans parler du style ou de la traduction difficile à lire par moment : j'ai vu des "vous disez..." o_O, Miranda que je trouvais prometteuse au départ a finit par me taper sur les nerfs. Dépeinte comme une jeune femme forte, capable de croiser le fer avec n'importe quel escrimeur aguerri, de se fondre dans les bas fond londoniens déguisée en petit voyou, se trouve finalement démunie face à un Archer intimidant mais ô combien attirant et attisant. J'aurais aimé que les actes de la demoiselles soient aussi francs et sincères que ses paroles. C'était perturbant dans un premier temps, et agaçant au fils des pages. Bref !

Archer quant à lui, est le héros qui me fait vibrer, mais encore une fois, une petite déception quant à la nature de ce qu'il cachait qui loin d'être une atrocité, n'est en fait qu'une malédiction qui le rend beau comme une statue de glace (faudra lire le roman pour comprendre ma dernière remarque).

J'aurais aussi aimé savoir qu'elle était la cause des pouvoirs étranges de Miranda, mais l'auteur a du juger que ce n'était pas nécessaire.

A côté de tout ça, c'est une jolie histoire sur le thème belle et la bête revisitée sur font d'intrigue policière et mythologique.

Espérons que les romans suivants soient mieux développés !

Je ne connais pas le conte d'origine et c'est peut être ce qui m'a manqué pour bien comprendre toutes les subtilités de ce roman.

Une belle romance tout de même avec une héroïne qui tend peut être un peu trop vers la compassion. Quant au héros, malgré son statut de mage, il n'a pas ce côté arrogant souvent propre à ce genre de personnage et c'est tout à son honneur.

Si au départ tout s'enchaine assez vite, on tombe malheureusement dans une sorte de routine à partir de la moitié du roman, et les quelques situations dangereuses n'auront pas vraiment réussi à me sortir de cette torpeur.

Les seconds rôles sont presque aussi attachants, voire surpassent les héros par moment.

Ca reste quand même une bonne lecture, même si la dynamique du départ aurait été fort appréciable si elle avait perduré.

Wow-wow-wow ! J'ai vraiment beaucoup aimé ce conte revisité de Cendrillon, très revisité !

La belle famille est très peu présente durant tout le roman et n'a pas le côté méchant propre au conte d'origine.

Cendrillon est loin d'être la jeune femme presque timide et pleurnicharde que l'on connait ! Ici elle reste duchesse, même si pour payer les nombreuses taxes imposées par les nouveaux Roi et Reine de Erlauf, elle endosse avec bravoure les rôles donnés normalement au petit peuple.

Le Colonel Friedrich, faussement dépeint comme libertin dans le résumé, est un homme de loi, juste et droit, entier, lui conférant un surplus de charme dont il n'a déjà pas besoin.

Leur histoire bien que calquée (d'après la description de l'auteur) sur le Cendrillon d'Andersen, dépoussière avec brio ce vieux classique.

Un très agréable moment de lecture que je recommande vivement !

Une belle histoire d'amour sur le thème de la Belle et la Bête.

Une écriture simple et fluide qui allège le texte essentiellement en monologue, à cause d'une malédiction jetée sur les habitants du château !

J'aurais aimé que la Bête soit effrayante, plutôt que bornée, mais la fraîcheur et l'intelligence de la Belle a contrebalancé ce manque et rendu cette lecture agréable.

Ah voici le roman qui me réconcilie avec l'éditeur, car j'étais plutôt remontée sur le prix du 1er tome et sa piètre qualité. J'attaque le suivant avec grand plaisir !

Contrairement au 1er tome, la fantasy prend une place importante dans cette histoire, bien que le sujet principale reste la romance qui est ici construite avec cohérence et donne envie de poursuivre. Espérons que cela dure sur la série.

Bon par contre, je ne sais pas comment suivre l'auteur car on fait de sacrés bonds dans le temps, si le 1er tome était sur Lucien, l'empereur de Kjall, qui avait dans les 27 ans, dans ce tome ci, l'histoire se déroule 10 ans auparavant avec sa cousine, Rhianne et le 3ème tome repart dans le futur avec Celeste qui n'a que 8 ans dans le tome présent.

C'est déroutant !

Encore une très belle romance !

Même si l'héroïne a pu au départ me taper sur les nerfs avec son insolence poussée à son paroxysme, bien que l'on comprend son attitude vis à vis de son horrible père, les victimes de ses répliques acerbes ne méritaient pas tant de cruauté.
Heureusement, la belle va très vite s’assagir et murir ! Puisque pour la punir, son père va la marier de force à un pauvre ménestrel, qui en fait n'en porte que l'habit.
Un long voyage mêlé d'embuches démarre alors pour la demoiselle et son énigmatique mari.
Et alors qu'un avenir incertain se profile à l'horizon, ils vont apprendre à se connaitre et pourquoi pas s'aimer, mais encore faut-il se respecter et se pardonner avant d'y songer !

Une belle romance cependant parfois ennuyeuse. Pour celles et ceux qui n'apprécient pas le genre "triangle amoureux", même si ce n'en est pas vraiment un, mais ça on le comprend qu'à la fin, passez votre chemin.

Un genre de belle et la Bête revisitée, quant à savoir qui est la bête, parfois c'est l'héroïne qui m'a semblé incarner ce titre, mais pas dans le sens animal.

Ca reste cependant une belle histoire, mais sans plus !

Rien de transcendant dans ce 2ème tome de la série. Une pâle copie de The Cold King de Amber Jeager.

Un conte revisité de la Belle et la Bête, sans intrigue, ni suspense ! Une histoire en vase clos fade et terne malheureusement. La bête n'impressionne pas du tout et la belle n'a aucun charisme !

Nul besoin de lire le tome 1 pour comprendre l'histoire, les tomes sont totalement indépendants.

50% done ! Mais que se passe-t-il ? Je n'arrive pas à entrer dans ce nouvel opus que j'ai tellement attendu. Je n'espérais pas retrouver exactement le même genre d'histoire qu'il y a 8 ans car l'auteur a forcément évolué dans son écriture, mais je ne pensais pas être à ce point...euh je n'ose dire "déçue", mais je ne trouve pas d'autre mot ! Je redoute l'écriture de mon avis, que je vais ressentir comme une trahison envers Maria V Snyder, auteure tellement sympatique ! Mais.. que faire ?
Je regrette de ne pas avoir lu le spin-off (Glass)à l'époque, mais je n'étais pas capable de lire en VO à ce moment là, malheureusement c'est une grosse lacune pour comprendre ce 7ème tome qui est véritablement une suite, même si ce sont bien Elena et Valek qui en sont à nouveau les héros.

Maria V Snyder est pourtant mon auteure favorite/chouchou depuis le début. En attendais-je trop ? Visiblement oui ! Ça me rend triste ! Espérons que la deuxième moitié va réussir à me capter.

Edit :

Eh bien voilà, j'ai terminé ce nouvel opus depuis 2 jours. J'ai du attendre ce délai pour me décider enfin à faire mon avis, histoire de ne pas me laisser enflammer par mes sentiments. Je l'ai classé en "ARGENT", et ça me rend malade, car je suis une fan inconditionnelle de cet auteur et ce depuis ses débuts (ça ne me rajeuni pas tout ça). Mais ce serait malhonnête et pas du tout objectif de ma part de le surclasser.

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Donc après quelques années d'absence, nous retrouvons enfin Elena et Valek. Comme je l'ai dit précédemment, dans un autre commentaire, je pense que j'en attendais trop. Enflammée par sa dernière trilogie dans laquelle j'avais pu apprécier les efforts de l'auteur pour corriger ce qu'on lui a souvent reproché, à savoir la séparation récurrente entre les tourtereaux de ses histoires, je m'étais persuadé qu'elle continuerait sur sa lancé avec ce 7ème tome qui reprend les aventures de son couple qui l'avait propulsée chez les grands! Malheureusement, c'est tout l'inverse et même pire qu'avant, car ici, les héros sont séparés de la fin du premier chapitre à l'épilogue, et si dans sa première trilogie, la connexion presque surnaturelle qui existe entre eux adoucissait grandement notre état de frustration persistante, ici j'ai rongé mon frein durant tout le roman, car de connexion il n'en est plus du tout question. Même si la cause est évidente, ça été le trop plein pour moi qui est venu s'ajouter à tous les autres mauvais points !

Donc voilà, comme dit dans la 4ème de couverture, Elena va perdre ses pouvoirs et Valek va jouer son poste de Conseiller et de chef de sécurité.
C'était prometteur...et pourtant !

Elena qui a subit une attaque sans savoir de qui ça venait, alors qu'elle se rendait auprès de Valek pour quelques jours de vacances, repart finalement vers la Citée pour tenter de trouver la cause de ce drame, sans avoir informé Valek de sa perte de pouvoirs. Cet entêtement à lui cacher m'a beaucoup énervée d'ailleurs, car au bout de 8 ans de vie "commune", je pense qu'il est important/normal de partager ses problèmes avec l'être aimé, ne serait-ce que pour trouver du réconfort, si ce n'est de l'aide. De plus, pour une romance YA, j'ai trouvé Elena très individuelle et c'est à ce demander si elle tient encore à Valek, tant elle pense très peu à lui, voire pas du tout, tout au long du roman. A l'inverse de Valek, qui revient souvent sur des choses de leur passé commun lors de son année de gouteuse, lorsqu'il se retrouve en Ixia, auprès du Commandant qu'il n'a pas côtoyé depuis 1 an tout en enquêtant sur le mystérieux attaquant.

A partir de là, l'auteur va monter son histoire à travers 3 points de vue répartis en chapitre, jonglant entre Elena, Valek et Janco. Ce qui aurait pu être fort intéressant, surtout celui de Valek, car cet homme tellement mystérieux a toujours fasciné et bien souvent j'ai lu des avis dans lesquels, les lecteurs auraient aimé connaître un peu (beaucoup) ce héros. Cependant, cette oscillation entre les POV a finalement plombé ce tome, le rendant long, extrêmement long et parfois même soporifique. Plusieurs fois, j'ai bien failli m'endormir sur Valek....euh sur son point de vue, pardon! Sans parler que cet homme qui a longtemps envahi mes rêves (pardon à mon mari), cet être que Maria Snyder avait bâti comme un roc, un dieu intouchable, est affaibli. Pas physiquement, mais les trahisons vont le rendre plus vulnérable, et ça, je n'ai pas du tout aimé. Surtout lorsque l'on découvre l'auteur de la trahison et par conséquent de l'attaque de Elena. Là j'avoue que j'ai hésité entre le "n'importe quoi" et le "c'est dégueu%*?! de lui faire ça"! Point positif cependant, les POV de Valek sont essentiellement des flash-back de son histoire avant l'assassinat du roi, mais là encore on se lasse assez vite de ses retours intempestifs qui ne servent pas spécialement l'intrigue présente, si ce n'est pour introduire un ou deux seconds rôles. Maintenant, avec quelques jours de recul, je tente de me persuader que Mme Snyder sait ce qu'elle fait, et ne m'a jamais déçue jusqu'ici, et donc j'espère avoir mal interprété des choses ! L'espoir fait vivre parait-il !


Malgré tout cela, son style est toujours présent, sa faculté à nous frustrer est grandissante ! Sa détermination à nous achever à chaque fin de tome avec un cliffhanger est omniprésente, et celui-ci ne déroge pas à la règle, c'est du lourd ! Les chamailleries frangin/frangine entre Leif et Elena sont toujours d'actualité, et sont peut être aussi l'une des choses qui m'a permis de tenir/poursuivre. Des prisonniers évadés, des morts bien vivant. Et une Elena qui, si l'on devait lui attribuer un pouvoir qui n'a pas disparu lui, serait celui de se fourrer dans le caca, mais Valek est et sera toujours là pour la sauver ! Un sauvetage bâclé malheureusement, en 3 pages c'était plié, si j'osais je dirais "tout ça pour ça ?". Un commandant toujours aussi énigmatique, si ce n'est plus, mais aussi décevant et je m'interroge encore sur le but de l'auteur sur ce coup là. Quant à Ari et Janco, bien que nous suivons le POV de Janco, il m'a manqué cette forte complicité qu'on leur attribuait lors de la 1ère trilogie. Je reste quand même très impatiente à l'idée de découvrir son prochain opus, mais j'avoue que je vais y aller avec une certaine appréhension ! Peut être qu'au final il n'est pas si bon de revenir sur un couple qui nous a tant fait vibrer et qu'il serait plus simple et plus intelligent de rester sur les bons souvenirs et sentiments procurés à cette époque là ! Je ne saurais le dire ! Mais c'est à réfléchir !

3,5/5 : J'ai longuement hésité à mettre au moins la note de 4, mais avec un peu de recul, je ressens comme un manque de quelque chose dans ce roman !

Merys, jeune femme guérisseuse kidnappée et rachetée par les hommes de mains du Seigneur de Donnishold, va pouvoir cependant, et ce malgré son état d'esclave, exercer ses talents puisque coïncidence, la fille du Seigneur Shaine s'est méchamment blessée lors d'une promenade à cheval. Grâce à cela, sa condition va très vite évoluer, lui permettant l'émancipation et donc la possibilité de vivre en femme libre et quitter ce royaume ! Mais la peste qui vient à frapper les terres de Donnishold, va la contraindre à faire des choix ! Fuir en femme libre et se détourner de ses obligations entant que Maitresse guérisseuse ou bien rester et tenter de soigner ses ex-geôliers ?

Malgré un roman qui fait quasiment 350 pages, il m'a manqué quelque chose d'important à mes yeux ! "La construction des sentiments des deux héros de l'histoire" qui ici, s'est établie en 50 lignes à cheval sur 2 chapitres ! Nous sommes passé de 0 sentiments à une héroïne très amoureuse avec pour seul détail un bond dans le temps de quelques mois durant lesquels visiblement la demoiselle est tombée amoureuse ! Mais à aucun moment il n y a eu de situations de complicité, de regards, de gestes laissant à penser que quelque chose se passait entre eux deux !

De plus le passage lors duquel elle trouve enfin le moyen de lutter contre la maladie qui ravage le royaume, m'est resté en travers de la gorge ! Trop ésotérique à mon goût, sur un roman qui n'a rien d'un fantasy à la base puisqu'il s'agit d'une simple RH ! J'adore la fantasy, c'est même mes lectures favorites, mais ici, ça n'avait pas du tout sa place !

Bref, je reste un peu déçue, mais cependant j'ai adoré les amitiés, les alliances, et même le Seigneur Shaine qui malgré le fait qu'il soit esclavagiste à la base, n'en reste pas moins un homme de bien, juste et droit !

J'attaque le tome 2 de la même collection rapidement !

J'aurais tellement désiré le classer en diamant, mais malheureusement, sans baiser ni aveux direct de sentiments je referme ce superbe roman avec une pointe de déception.
Hormis ce point négatif, ce fut un vrai délice à lire, une chevauchée de sentiments tous plus contradictoires les uns que les autres.

Un bon second roman dans cette série, mais bien en deçà de son grand frère, The Cold King !

Si l'histoire est sympathique, le déroulement est un peu lent et sans réelle surprises, sans parler de la fin, pour le coup, trop rapide, bâclée malheureusement !

Ce n'est en rien une suite du 1er tome, même si les protagonistes du 1 sont aussi présent ici ! Pas besoin de lire dans l'ordre !

Bref, un brin déçue, mais j'ai quand même hâte de lire les autres, si autres il y a un jour.