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L’introduction de l’histoire est longue, tout tourne autour de l’amour de trois hommes pour doña Sol avec de longues tirades pleines de sentiment, ça manque d’action et de variétés dans les dialogues, par la suite cela s’arrange.
C’est quand même bien écrit, avec des belles déclarations d’amour, des punchlines que seul Victor Hugo sait faire résonner.
Hernani à l’empereur : « Le bleu manteau des rois pouvait gêner vos pas.
La pourpre vous va mieux. Le sang n’y paraît pas. »
Même si le choix des prétendants n’offre pas de suspens, car il est fait depuis le début, le sort de chacun garde ses mystères jusqu’au bout, sur fond de querelles royaumes et d’égos.
Dans mon édition les notes en bas de pages ne sont pas envahissante, le dossier Bac à la fin et utile mais pas indispensable pour comprendre l’histoire, il permet de replacer la pièce dans son contexte.
Je l’ai lu par curiosité mais ce n’est pas ma tasse de thé.
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