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" _ Peu importe que je sois le premier. La seule chose qui compte, c'est que je sois le dernier." "_ Vous ne serez ni le premier, ni le dernier, ni quoi que ce soir entre les deux. Jamais de la vie." Il se mit à rire.

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« Rogan se radossa sur son siège.

— C’est affreux quand on lui rappelle qu’il est humain, me dit Augustin. Il ne sait pas comment le gérer. Dis-toi un truc, Connor : un jour, tu pourrais devenir père et avoir une fillette de ce genre rien qu’à toi.

Rogan le regarda comme si quelqu’un venait de lui vider un seau d’eau glacée sur la tête.

L’occasion était trop belle.

— J’en doute, dis-je. Il ne se mariera jamais. Il restera dans sa maison pour ruminer ses pensées solitaires, pleines de cynisme et d’amertume.

— Tout ça au milieu de piles de billets de banque et de jouets high-tech, ajouta Augustin. Comme une sorte de superhéros mélancolique.

Qui l’eût cru ? Augustin avait le sens de l’humour. 

— Peut-être devrions-nous investir dans un projecteur géant avec un R comme Rogan dessus…

Rogan piocha dans son portefeuille pour en sortir deux billets d’un dollar. Il fit glisser le premier vers moi et l’autre vers Augustin.

— Tenez. Ça me fend le cœur de voir des comiques sans le sou, dit-il.  »

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Il tendit la main vers moi.

Je me crispai.

Ses doigts s'approchèrent si près des miens que je crus un moment que nous nous touchions. Il prit la moitié restante de mon cookie et le contempla.

- C'est à moi, lui dis-je.

- Mmm.

- Il y a un pot entier de biscuits.

Quelque chose s'alluma dans son regard.

- C'est celui-ci que je veux.

- Vous ne pouvez pas l'avoir. Rendez-le moi, rétorquai-je, la main tendue.

Il examina le cookie puis le porta lentement à sa bouche.

- Connor, je vous préviens...

Il mordit le biscuit et se mit à mâcher.

- Je vous ai pris votre cookie et je l'ai mangé. Vous comptez faire quelque chose en retour ?

Je jouais avec le feu. Très bien. S'il mangeait mon cookies, je boirais sa boisson. Je fis mine de prendre son café. La tasse glissa hors de portée pour se positionner à côté de lui.

- Ce n'est pas fair-play.

- Il n'est pas question de fair-play mais de délicieux cookies.

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 — Je me moque de savoir comment vous viendrez, ajouta-t-il sur un ton décontracté, presque paresseux. Vous pouvez venir en tailleur, vous pouvez venir en jean.

Il jouait avec les mots pour me provoquer. J’avais bien compris ce qu’il sous-entendait par « venir ».

— Vous pouvez venir enveloppée dans une serviette, reprit-il. Ou venir nue. Sincèrement, c’est vous qui voyez. Tant que vous venez, tout me va.

On peut dire que t’es sûr de toi, hein ?

Bon, il était peut-être temps de lui rappeler que j’avais aussi du répondant. Je fis un minuscule pas en avant et relevai la tête comme pour l’embrasser.

— Et si je ne venais pas du tout ?

— Ce serait une tragédie, répondit-il dans un souffle. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour y remédier.

Ses yeux d’un bleu si intense me faisaient mille promesses. La promesse d’être un ouragan au lit, celle de me faire des choses que jamais je n’oublierais. J’y plongeai mon regard et tentai d’y projeter des promesses de mon cru.

— Tout ce qui est en votre pouvoir ?

Si je me penchais d’à peine deux centimètres, nos peaux se toucheraient. L’espace entre nous était si électrique[…] 

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« Au moment de franchir le seuil de mon bureau de l’autre côté du couloir, je crus que ma tête allait exploser. Une page d’un magazine de mariage était scotchée sur la porte en verre. Elle représentait une femme vêtue d’une robe extraordinaire façonnée à l’aide de longues plumes blanches. Quelqu’un – sans doute Arabella – avait imprimé l’un de mes selfies et découpé ma tête pour la coller par-dessus celle de la mariée. Un grand cœur dessiné au feutre rose et saupoudré de paillettes décorait la robe. À l’intérieur, quelqu’un avait écrit : N+R = AMÛR. Des petits cœurs roses flottaient tout autour de mon visage.

Excellente manière de faire bonne impression. J’aurais voulu disparaître sous terre.

De l’autre côté de la porte, j’aperçus une autre photo de mariée, décorée cette fois de symboles de dollar pailletés, qui m’attendait sur mon bureau. Sur la robe de la jeune mariée, de grosses lettres majuscules tracées de la main très sûre de Catalina épelaient : « Épouse-le. On a besoin d’argent pour l’université. »

J’allais devoir tordre le cou de mes sœurs. Il n’y avait pas d’autre solution. Aucun jury sur terre ne me condamnerait pour ça. Même en me passant d’avocat, je serais acquittée. »

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« Jamais de ma vie je ne m’étais sentie si seule.

Rogan s’interposa entre moi et les autres. Je captai quelque chose dans son regard. Quoi que ce puisse être – de la fierté, de l’admiration, de l’amour ? – je m’y accrochai comme à une bouée de sauvetage. Lui comprenait. À un moment de sa vie, il s’était retrouvé dans la même posture, tandis que les gens le contemplaient avec horreur. Et il avait dû se sentir bien seul car voilà qu’à présent il se plaçait devant moi pour faire bouclier contre leur jugement.

— Tu es fantastique, me dit Connor Rogan avec un sourire. »

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" Cet homme était une infection, une maladie dont je n'arrivais déjà pas à me libérer. Je n'avais pas besoin d'une nouvelle poussée de la fièvre Rogan."

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Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent. Douzième étage. Rogan appuya sur le bouton pour forcer les portes à se refermer puis dévisagea Cornelius.

- C’est mon remplaçant ?

Quoi ?!

- Je ne vous ai pas remplacé !

- Evidemment. Je suis irremplaçable.

Cornelius prit la parole dans un filet de voix.

- Rogan ? Le boucher de Merida ? Mad rogan ?

- Oui, répondis-je à l’unisson de Rogan lui-même.

- C’est lui, le R sur la robe ? demanda Cornelius, les yeux écarquillés.

Pense a des jolis nuages, à de mignons lapins, ne pense pas à la photo de robe de mariée…

Rogan prétendait ne pas être télépathe mais il était capable de projeter des images mentales, ce qui signifiait qu’il pouvait sans doute capter des impressions si je me concentrais trop sur certaines choses.

- Une robe ? Quelle robe ? demanda Rogan avec l’acuité d’un requin ayant reniflé du sang dans l’eau.

- Laisser tomber, lui dis-je. Cornelius, un mot de plus et je me tire.

Rogan plissa les yeux. Il avait reconnu le nom. Ce qui signifiait qu’il était impliqué jusqu’au cou dans cette histoire avec Forsberg. C’était bien ma veine.

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Rogan turned to me.

- Come with me to my house. I have some information you'll want.

Enter my lair, said the dragon. I have shiny treasure for you to play with, I'll keep you warm and safe, and if it suits my purpose, I'll chain you to the floor and kill your client by throwing quarter at him with my magic. Been there, done that.

- I don't think so. But I'll be happy to discuss things with you in daylight in a very public place. Would you like my card ?

When I was in college, one of my professors liked creative descriptions, and whenever he had to indicate that some historical figure was in a moment of monumental rage, he'd say he had thunder on his brow and lightning in his eye. I never understood what that phrase meant until Rogan's face demonstrated it for me.

Cornelius took a careful step back. Troy backed up too. Yes, I did just tell Mad Rogan no, and look, the planet was still turning.

- Your card ? Rogan said, his voice very calm and quiet.

- It's a little piece of paper that has my phone number, email address, and other contact information on it.

I waited to see if his head would explode. I should'n have taunted him, but I was really pissed off.

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De Trevinos lived in Southwyck, on a lake, next to a golf course. It would take us good fifty minutes to get there.

I glanced at Rogan. His jaw was set. He stared straight ahead, his eyes iced over. I’d seen fury in them before, but this new crystallized rage chilled me to the bone. Whatever was going on in his head was dark, so, so dark. It grabbed hold of him and pulled him under to a terrifying place where there was only glacial anger. When people got mad, they stormed, they ranted, they let it out in one way or another, but he was holding all of it in. His rage had no passion to it. I wanted to reach in there and drag him out into the light, so he’d thaw.

“Connor?”

He turned and looked at me, as if waking up.

I had to say something. I said his name, something had to follow. “What happened to Gavin?”

“He made a deal.”

I took an exit onto Sam Houston Freeway. The road repair crews were working on the shoulder again and I had to drive next to the temporary concrete barriers. Never my favorite. The only thing worse was when there was an identical barrier on the other side at night when it was raining.

“What kind of deal?”

“A year in the juvenile boot camp facility, until he turned eighteen, followed by ten year commitment to the military in exchange for his testimony against Adam Pierce. If he manages to graduate from the boot camp program. If he fails, he will serve ten years in prison.”

“That’s a good deal.”

“Under the circumstances. He happened to have talent, so we used it as a bargaining chip.”

He was slipping away again. I wasn’t even sure why it was so important to keep him here with me, but it was.

“Have you been practicing with a gun since our last encounter?” I kept my voice light.

He just looked at me.

“No? Rogan, you said yourself, you’re a terrible shot.”

Okay, so this wasn’t the best way to bring him out, but that’s all I could think about.

“You’re riding shotgun. If bandits attack this pony express, how are you going to hold them off without a gun? Are you planning on rolling down the window, announcing yourself, and glaring at them until they faint from fear?”

He didn’t say anything. He just kept watching me.

I opened my mouth to needle him some more.

The concrete barrier on the right of us cracked as if struck by giant hammer. It stayed together, but huge fractures crisscrossed it. The cracks chased us, shooting through the concrete dividers with tiny puffs of rock dust. His magic ripped into cement with brutal efficiency. It brushed by me and I almost swung the door open and jumped out.

The cars behind us swerved, trying to shift lanes away from the fractured barriers.

“Stop,” I asked.

The cracks dropped back.

“Would you like me to drop you off?” I asked.

“Why would I want that?”

“So you can brood in solitude.”

“I don’t brood.”

“Plot horrible revenge, then. Because you’re freaking me out.”

“It’s my job to freak you out.”

“Really?”

“That’s the nature of our relationship.” A spark lit his eyes. “We both do what’s necessary, and after it’s over, I watch you freak out about it.”

“I don’t.”

“Oh, I don’t want you to stop. I find it highly amusing.”

That’s the last time I try to cheer you up. Go back into your dragon cave for all I care.

“Would you like me to break one more, so you can take a picture for your grandmother?” he offered.

“I changed my mind,” I told him. “I don’t want to talk to you.”

He chuckled.

I should just stop trying.

Grandma Frida would think it was really neat.

I took my phone off the console and held it to him. “Okay but only one or two more. Just enough for the vine.”

“Your grandmother has a vine account?” The barriers fractured.

“Yes. She’ll probably post it on her instagram, too. Okay, that’s enough, thank you, or the Volvo behind us might have a heart attack.”

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