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Soudain il la lâcha d'un geste vif qui l'embarrassa.

—Vous me déconcertez, Ian, dit-elle.

Elle se rendit compte qu'elle avait parlé à voix haute et s'éloigna de lui avant de retourner en courant vers le campement.

Ian la suivit des yeux, les mains nouées derrière le dos, comme à

son habitude. Puis il s'obligea à se détendre. II la désirait, il devait bien se l'avouer.

Sans doute était-ce là une simple réaction d'homme sain. Elle était merveilleusement belle, et terriblement féminine.

Mais il y avait autre chose ; Ian venait de comprendre qu'elle était attirée par lui, elle aussi. Et cela ne l'arrangeait pas tellement ! Il se sentait capable de contrôler son désir, mais il ignorait totalement s'il pourrait contrôler celui de la jeune fille !

Toute cette affaire devenait satanément compliquée.

Ian décida de rester aussi éloigné d'elle que possible durant le reste du voyage. Il se montrerait lointain, indifférent. Cette résolution prise, il se sentit mieux.

Quand il retourna au campement, Judith s'était déjà retirée sous la tente que Gowrie et

Alex lui avaient dressée. Il vint s'asseoir près de Brodick. Les deux autres guerriers dormaient déjà profondément. Il croyait aussi son ami endormi, mais celui-ci se tourna vers lui.

—Elle est anglaise, Ian. Ne l'oublie pas. Ian lui lança un regard lourd.

—Ce qui veut dire... ?

—Tu as envie d'elle.

—Bon Dieu, comment peux-tu savoir ce dont j'ai envie ?

Brodick ne se laissa pas impressionner par le ton de Ian, ils étaient amis depuis si longtemps !

De plus, Brodick avait les intérêts de Ian à cœur, et Ian le savait.

—Si tu n'y prêtes garde, Alex et Gowrie ne tarderont pas à s'en apercevoir.

—Bon sang, Brodick...

—J'ai envie d'elle aussi !

—Tu ne peux pas l'avoir ! s'écria Ian sans réfléchir.

—Je te trouve bien possessif !

Ian resta silencieux, et Brodick soupira.

—Je croyais que tu haïssais les Anglais, reprit Ian au bout d'un moment.

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« Judith, bien décidée à impressionner sa nouvelle amie, ne réfléchit pas plus avant. Elle tendit la main vers l'insecte, mais quand elle sentit les ailes contre sa paume, elle ferma instinctivement les doigts. Et elle se mit à hurler. France Catherine bondit à bas de son rocher pour l'aider de la seule manière qu'elle connût: elle se mit à hurler aussi. Judith tournait autour du rocher en criant si fort qu'elle en avait pratiquement le souffle coupé, et France Catherine courait derrière elle en poussant des hurlements non moins perçants. »

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« D'un doigt, il l'obligea à lever le visage vers lui. II avait l'intention de lui annoncer que tout danger était écarté, mais il l'oublia à la seconde où leurs regards se rencontrèrent.

Un désir insensé l'envahit, un désir contre lequel toute discipline était impuissante. Il avait une folle envie d'elle. Il se pencha doucement, lui laissant tout le temps de protester si elle n'était pas consentante, mais Judith ne bougea pas.  »

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« —Dis-moi, Ian… reprit Brodick au bout de quelques minutes.

—Te dire quoi ?

—Si tu as l'intention de la garder ou non.

—Et si c'est non ? 

— Alors, moi, je la garde... »

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« —Vous vous sentez en sécurité, avec moi. C'était aussi la vérité.

—Vous savez que je vous protégerai toujours, ajouta-t-il.

Les yeux de Judith s'emplirent de larmes. Ô Dieu, si seulement c'était possible!

—M'aimez-vous, Ian ? demanda-t-elle.

Il l'embrassa doucement.

—Jamais je n'ai eu envie d'une femme comme je vous désire. Et vous me désirez aussi. Ne le niez pas.

Elle baissa la tête.

—Je ne le nie pas, murmura-t-elle, mais désirer et aimer sont deux sentiments différents. Je pourrais ne pas vous aimer…

Elle sut aussitôt qu'elle venait de proférer un mensonge. Il le savait également.

—Oh si ! vous m'aimez.

Une larme roula sur la joue de Judith.

—Vous me mettez des idées irréalisables en tête...

Il prit tendrement son visage entre ses mains.

—Rien n'est impossible. Epousez-moi, Judith. Laissez-moi vous protéger. »

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—Votre mari vient de nous raconter une histoire tout à fait

étonnante, France Catherine, commença-t-il. En vérité, nous avons du mal à y croire !

Il ponctua cette déclaration d'un vigoureux hochement de tête, puis se tut. La jeune femme ne savait si elle devait parler. Patrick lui lança un coup d'œil encourageant, et elle répondit:

—Mon mari ne saurait mentir.

Graham eut un bon sourire et il demanda doucement:

—Voulez-vous nous expliquer les raisons qui vous ont poussée à

exiger qu'il respecte sa promesse ?

Il avait utilisé le verbe «exiger» délibérément, France Catherine le savait.

—Je suis une femme, et jamais je n'exigerais quoi que ce fût de mon époux. Je demande simplement que la parole de Patrick soit respectée.

—Très bien, dit Graham sur le même ton. Vous n'exigez pas, vous demandez. Maintenant, dites-nous pourquoi vous avez formulé une requête aussi outrageuse.

France Catherine se raidit. Outrageuse ! Elle respira un bon coup pour se calmer.

—Avant d'épouser Patrick, je lui ai fait promettre qu'il irait chercher ma très chère amie Lady

Judith Elizabeth quand je m'apercevrais que je portais un enfant.

Ma grossesse est presque arrivée à terme, à présent, et nous aimerions tous deux que ce problème soit réglé aussi vite que possible.

Visiblement, Graham n'était pas satisfait de cette explication. Il s'éclaircit la gorge avant de poursuivre :

—Lady Judith Elizabeth est anglaise. Cela ne vous gêne pas ?

—Non, monseigneur. Pas du tout.

—Croyez-vous que le respect de cet engagement soit plus important que le trouble que cela va causer ? Bouleverseriez-vous nos vies volontairement, petite ?

—Certainement pas !

Graham sembla soulagé. Il pensait sans doute pouvoir la convaincre d'abandonner ce projet absurde !

—Je suis heureux de l'entendre, France Catherine, dit-il en effet avec un regard apaisant à ses compagnons. Jamais je n'ai cru que cette enfant pouvait causer de tels ennuis. Elle va bien vite oublier cette absurdité et...

Elle ne le laissa pas terminer.

—Lady Judith Elizabeth ne causera aucun trouble.

Les épaules de Graham s'affaissèrent. Il ne serait pas si aisé de faire changer cette jeune personne d'avis, finalement.

—Ecoutez, mon enfant, les Anglais n'ont jamais été les bienvenus parmi nous. Cette femme devrait partager nos repas...

Un poing s'écrasa sur la table. C'était le guerrier Gelfrid qui manifestait son indignation. Il dit d'une voix grave:

—Par cette requête, la femme de Patrick porte la honte sur le nom des Maitland.

France Catherine sentit les larmes lui monter aux yeux. Elle commençait à paniquer. Quel argument logique opposer à la déclaration fracassante de Gelfrid?

Patrick vint se placer devant la jeune femme.

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— Chaque fois qu’elle a le choix, elle se tourne vers toi…

— Que veux-tu dire, Brodick ?

— Elle s’est collée à ton dos, pas au mien. Elle préfère aussi chevaucher avec toi.

— J’ai remarqué, avoua Ian en souriant. Mais elle me préfère simplement parce que je suis le frère de Patrick.

— Bon Dieu, c’est bien plus que ça !

Ian ne commenta pas cette déclaration.

— Dis-moi, Ian… reprit Brodick au bout de quelques minutes.

— Te dire quoi ?

— Si tu as l’intention de la garder ou non.

— Et si c’est non ?

— Alors, moi, je la garde…

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C'était une discussion légère, agréable, et Judith, les yeux clos, prêtait à peine attention aux paroles de Ian quand les noms de Brodick et Ramsey attirèrent son attention. Ils partaient chasser, lui disait Ian. Elle remarqua son intonation amusée.

Curieuse, elle demanda:

—Pourquoi ris-tu ?

—Ils vont chasser en Angleterre ! répliqua-t-il. —Pourquoi? insista-t-elle, décontenancée.

—Ils n'ont pas trouvé par ici ce qu'ils cherchaient. Alors ils suivent mon exemple.

—Ian, de quoi parles-tu ? Quel gibier veulent-ils chasser, exactement ?

—L'épouse!

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—Alors retourne-toi, murmura France Catherine. Tu comprendras… Judith jeta un coup d'oeil pour apercevoir l'homme en question. Et elle eut le souffle coupé. Dieu qu'il était beau ! Il eût été impossible de le décrire, car il aurait semblé banal. Or il était tout, sauf banal. Il était parfait avec ses cheveux sombres, ses yeux brillants et son sourire à faire tourner la tête des femmes. A cet instant précis, il souriait, justement.

— Tu as vu sa fossette ? N'est-il pas magnifique, Judith ? Comment aurait-elle pu ne pas remarquer la fossette ? Cet homme était outrageusement séduisant, mais elle n'avait pas l'intention de l'avouer. Elle taquina son amie.

—Lequel des trois est Ramsey ? demanda-t-elle d'un air innocent.

France Catherine comprit tout de suite et éclata de rire, ce qui attira l'attention des trois hommes. Ramsey sourit à la femme de Patrick avant de se tourner vers Judith. Ils se regardèrent un long moment. Elle se demandait comment on pouvait être aussi beau, et lui devait s'interroger sur son identité. Ian se leva. Il jetait à son épouse un regard tout à fait dénué d'aménité. Qu'avait-elle fait pour l'irriter ? Dès qu'elle aurait fini de contempler Ramsey, elle panier à couture et se leva lentement.

—Je pense que (Ian) Spoiler(cliquez pour révéler)ton mariest un peu jaloux, murmura France Catherine.

—C'est ridicule ! rétorqua Judith sur le même ton. Elle trouvait cela plutôt amusant, en réalité. Elle traversa la pièce en prenant soin de passer devant les trois nouveaux venus.

—Vous m'avez appelée ? demanda-t-elle à (Ian) Spoiler(cliquez pour révéler) son mari . Il la saisit violemment par le bras, la colla à son flanc en la maintenant fermement par l'épaule. Que lui arrivait-il ? Elle se mordit la lèvre pour ne pas rire. France Catherine avait raison, il était jaloux ! Devait-elle s'en trouver ravie ou insultée ? II lui présenta les nouveaux arrivants, et elle s'appliqua à accorder la même attention aux trois guerriers, malgré l'envie qu'elle avait de regarder exclusivement Ramsey. A peine les formalités terminées, Judith tenta de se dégager pour aller retrouver son amie. Mais Ian ne la lâcha pas. Il était encore furieux.

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Brodick attendit un long moment avant de parler. Il voulait être sûr que Judith ne pouvait l'entendre. Enfin il prononça à voix basse :

—Chaque fois qu'elle a le choix, elle se tourne vers toi…

—Que veux-tu dire, Brodick ?

—Elle s'est collée à ton dos, pas au mien. Elle préfère aussi chevaucher avec toi.

—J'ai remarqué, avoua Ian en souriant. Mais elle me préfère simplement parce que je suis le frère de Patrick.

—Bon Dieu, c'est bien plus que ça ! Ian ne commenta pas cette déclaration.

—Dis-moi, Ian… reprit Brodick au bout de quelques minutes.

—Te dire quoi ?

—Si tu as l'intention de la garder ou non.

—Et si c'est non ?

—Alors, moi, je la garde…

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