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Histoire de la violence



Description ajoutée par x-Key 2015-11-03T17:37:42+01:00

Résumé

J’ai rencontré Reda un soir de Noël. Je rentrais chez moi après un repas avec des amis, vers quatre heures du matin. Il m’a abordé dans la rue et j’ai fini par lui proposer de monter dans mon studio. Ensuite, il m’a raconté l’histoire de son enfance et celle de l’arrivée en France de son père, qui avait fui l’Algérie. Nous avons passé le reste de la nuit ensemble, on discutait, on riait. Vers six heures du matin, il a sorti un revolver et il a dit qu’il allait me tuer. Il m’a insulté, étranglé, violé. Le lendemain, les démarches médicales et judiciaires ont commencé.

Plus tard, je me suis confié à ma sœur. Je l’ai entendue raconter à sa manière ces événements.

En revenant sur mon enfance, mais aussi sur la vie de Reda et celle de son père, en réfléchissant à l’émigration, au racisme, à la misère, au désir ou aux effets du traumatisme, je voudrais à mon tour comprendre ce qui s’est passé cette nuit-là. Et par là, esquisser une histoire de la violence.

E. L.

(Source : Seuil)

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Classement en biblio - 92 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par rabanne73 2022-04-06T16:59:52+02:00

Je sentais que si une chose n’était pas dite au moment où elle devait l’être elle disparaissait, sans possibilité de retour, irréversiblement, la vérité s’éloignait, s’échappait.

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Commentaire le plus apprécié

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Parce que j'avais apprécié son ouvrage précédent ("En finir avec Eddy Bellegueule"), j'ai décidé de lire celui-ci dans la foulée. Au final, j'en ressors déçue. Je n'ai pas retrouvé le joli verbe mais j'ai trouvé le style inutilement ampoulé. J'ai trouvé le propos confus, perdu entre le viol (terrible), le racisme ordinaire (commissariat) et la scission entre le milieu d'origine de l'auteur et celui où il évolue désormais. J'ai senti le narrateur terriblement seul, où qu'il soit, aussi bien chez sa sœur qu'avec ses amis parisiens... C'est probablement ce qu'il l'a mené à cette rencontre improbable qu'il laisse entrer chez lui... Ce livre est dérangeant, non pas en raison du sujet traité et de sa force destructrice, mais bien parce que je ne suis pas sure, au final, que l'auteur puisse un jour réellement "En finir avec Eddy Bellegueule" et élargir son champs d'écriture. Triste!

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Pouasson34 2023-11-09T18:11:37+01:00
Lu aussi

*** Écouté en version audio ***

Un livre assez dérangeant, écrit avec un style parfois difficile à suivre. "En finir avec Eddy Bellegueule" jonglait beaucoup entre différents langages lui aussi mais le propos était plus structuré.

Ce fut néanmoins une lecture intéressante.

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Commentaire ajouté par renaud-1522 2023-06-16T12:12:32+02:00
Lu aussi

J'ai été extrêmement agacé par ce livre d'Edouard Louis : agacé, car le sujet est intéressant, mais la forme...! Pour moi, le style et la forme sont importants mais doit-on les sentir? doit-on les voir? doivent-ils nous être imposés tout au long de l'ouvrage avec l'impression péremptoire de dire : " vous avez vu comme c'est bien écrit, comme le projet littéraire est puissant?"

Eh bien, malheureusement, c'est très mal écrit, et ce qu'il pourrait y avoir de vertige dans le rapport entre l'agresseur et l'agressé est anéanti - tout comme l'intimité - par le déploiement volontaire et cérébral du style de Louis, qui semble douter lui-m^me de sa légitimité d'écrivain...

Franchement, très agaçant!

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Commentaire ajouté par rabanne73 2022-04-06T16:48:04+02:00
Lu aussi

Lu en 2016 (date du sortie du livre). Un récit autobiographique, sans concession, qui est une analyse post-traumatique, une thérapie par l'écriture, résiliente, salvatrice.

Si j'avais mieux digéré son premier roman, ce récit est tout de même d'une authenticité probante, d'un iconoclasme certain.

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Commentaire ajouté par Ahlstrom 2020-11-08T20:29:33+01:00
Bronze

En lisant le titre de l'ouvrage, je m'attendais à ce que le narrateur fasse la généalogie d'un crime dont il a été victime un soir de Noël, et qui le hante toujours. C'est plus ou moins ce qu'apporte le livre, et quelques petites tranches de vie en bonus.

Le style est en soit assez simple et direct, presque mécanique par certains moments car il s'appuie très peu sur des images et se contente de décrire les actions ou les pensées du personnage. Le narrateur ne retranscrit pas vraiment ses émotions : il énonce ce qu'il a ressenti à tel instant, mais sans que cela imprègne le style. On sent que l'auteur a voulu d'un récit le plus externalisé possible, mais que le narrateur s'approprie progressivement : ainsi, si au début de l'ouvrage, la parole est partagée entre le narrateur et sa sœur, cette dernière relate de moins en moins les faits, en partie parce qu'elle ne paraît pas très fiable (elle digresse, interprète plus ou moins mal, omet des détails que le narrateur s'empresse de corriger), mais aussi parce que, à mesure que le récit avance, le narrateur gagne en capacité à raconter. Il s'approprie pleinement sa parole, qu'il ne contrôlait plus depuis son agression, et parvient enfin à mettre des mots sur ce qu'il ressent.

Il y a dans l'ensemble un effort très notable fait sur la forme : l'auteur joue avec la construction chronologique, la concordance des temps, les registres de langue, les digressions, les différents vecteurs de la parole, pour construire un récit qui se veut introspectif, mais agressif et perturbé. Ceci dit, et c'est le principal reproche que je peux faire à cet ouvrage, l'exécution est un peu artificielle, et finalement un peu en dessous de ce à quoi je m'attendais en lisant les premières pages. On sent que l'écriture est encore un peu jeune, que le style n'a pas encore été trouvé, car la plupart des procédés utilisés est finalement assez convenu : l'écriture ne surprend pas vraiment. Plus que les mots, ce sont les idées qui sont porteuses de tout le sens du texte, comme si l'auteur ressentait le besoin d'expliquer et de s'assurer que son message passait correctement, mais ne faisait pas assez confiance au sens des mots seuls pour le faire.

L'attitude de la victime envers le criminel est de plus assez ambiguë : elle oscille entre la peur, le rejet, des sentiments finalement bien compréhensibles, et un certain attachement pour son bourreau, qui n'est jamais déshumanisé et contre qui le narrateur n'a pas vraiment envie de porter plainte, que le narrateur ne veut pas pour autant voir puni. J'aurais préféré que cela ressorte plus dans le style, ou peut-être que le narrateur en vienne à admettre lui-même qu'il est perdu dans cette ambiguïté.

La question du racisme est également intéressante, car du fait des origines kabyles de l'agresseur, celui-ci se retrouve très vite catalogué par la police, ce que dénonce bien évidemment le narrateur. Mais en même temps, c'est un point de vue blanc sur le racisme que nous présente l'auteur : celui qui dénonce, qui se remet en question, qui détecte des signes du racisme, mais qui, finalement, ne comprend pas ce qu'est être une personne racisée. Alors non, je n'attendais pas de lui qu'il en soit capable, ni qu'il fasse preuve d'empathie envers son agresseur, mais c'est vrai que le monde très blanc dans lequel évolue Édouard et son impact sur son mode de pensée est quelque chose que j'ai eu en tête pendant tout l'ouvrage.

Pour résumer, c'est une lecture plutôt intéressante, presque agréable à lire compte tenu du sujet abordé tant le texte est aseptisé, mais qui a très peu d'impact sur son lecteur.rice. Un peu comme si le livre avait moins été écrit pour soulager son auteur que pour être lu.

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Commentaire ajouté par ChezVolodia 2020-03-01T09:57:34+01:00
Lu aussi

J’ai attendu que le battage médiatique fait à la parution de ce livre et le procès qui s’en est suivi s’estompent avant de le lire, ne voulant pas avoir l’esprit parasité par les avis des uns et des autres qu’ils soient bons et/ou mauvais.

Lorsque j’ai eu ce livre en main et l’ai compulsé pour la première fois, je dois avouer l’avoir reposé direct tellement j’ai été dérouté par le style et le langage employé, le tout me semblait au premier abord tellement désagréable et ardu à déchiffrer.

Comme il fallait s’y attendre, mon métier et surtout ma curiosité m’ont fait dépasser cette barrière et bien m’en a pris, car même si j’y ai pris un plaisir mitigé, il en ressort un traumatisme important pour l’auteur qu’il lui fallait exorciser et qu'il nous relate sans fausse pudeur.

Ce livre c’est l’histoireSpoiler(cliquez pour révéler) d’un viol, celui qu’a subi Edouard Louis, que nous apprenons à travers le récit que fait par téléphone, sa sœur à son mari, alors que l’auteur est caché derrière un rideau, et se fait fort d’apporter des précisions ou de rectifier les dire de sa sœur à l’attention du lecteur qui tient lui le rôle de « voyeur » ( et, qu'il suppose sans doute, n’aurait peut être pas compris le contexte dans lequel il s’est déroulé ou celui dans lequel sa famille évolue et la place qu’il occupe dans celle-ci)….

C’est en cela que le récit est dérangeant, je ne vois pas l’intérêt de faire jouer le rôle de « rapporteur » à sa sœur, à moins que ce ne soit plus facile pour lui de raconter cette histoire par l’intermédiaire d’un tiers et de se distancier ainsi des événements traumatiques qui se sont produits et dont il a été la malheureuse victime.

Ce qui me chagrine également c’est de mettre, dans la bouche de sa soeur, un langage très populaire au risque de la faire passer pour « analphabète ». On sait, il nous l’a suffisamment répété qu’il vient d’un milieu modeste de Picardie. Une région minée par le chômage, dont les natifs du cru ont un quotient intellectuel "assez médiocre", et au parlé franc, accompagné d’un accent à couper au couteau. On a compris que lui s’était sorti de cette crasse ignorance, en faisant des études et en reniant son milieu social d’origine. Mais là, c’est trop, ça sonne comme une marque de fabrique, comme la stigmatisation d’une région et de ses habitants dont il a exagéré les particularités à dessein, et sur lesquelles il a fabriqué sa renommée. Je trouve ça moche, de se servir des défauts vrais ou présumés de quelques uns pour faire rire et/ou pitié au détriment de ceux-ci, afin de s’assurer un certain type de lecteurs voire de s’assurer du succès.

Il va s’en dire également que je ne doute absolument pas de la véracité de son récit quant aux événements qui ont eu lieu, son ressenti, ses craintes, ses réactions la plupart légitimes bien que certaines, à mon sens, soient sujettes à caution. En effet, que ce soient ses amis à qui il a raconté l’affaire qui l’ont poussé à porter plainte, les excuses qu’il se trouve et accorde à son agresseur en raison de ses origines, ses atermoiements une fois la plainte déposée tout cela donne, à mon sens, une certaine discordance au récit eu égard à la gravité des faits.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2019-01-27T11:53:17+01:00
Lu aussi

C'est pour moi, sans aucun doute, et de très loin, le plus mauvais livre de cet auteur... J'avais été totalement séduite et embarquée par "En finir avec Eddy Bellegueule", et si j'ai moins aimé "Qui a tué mon père", je lui reconnais tout de même une puissance émotionnelle et une qualité d'écriture rare. Mais là, macache ! J'ai trouvé "Histoire de la violence" tout simplement mal écrit. La construction et le choix de narration, inutilement compliqués, ne rendent absolument pas justice à l'histoire qu'on en entendu raconter.

Il y a un nombre hallucinant de points de vue narratifs :

- Edouard Louis au présent-présent

- Edouard Louis au présent mais en fait dans le passé, quand il entend sa sœur raconter son histoire

- La sœur d'Edouard Louis qui raconte l'histoire

- Les amis d'Edouard Louis qui ont aussi un avis sur l'histoire

- Edouard Louis au passé proche au moment de dépôt de plainte

- Edouard Louis au passé proche au moment des faits

- Edouard Louis au passé plus lointain pendant son enfants/adolescence

- Reda au présent des faits

- Reda au passé qui raconte son histoire

- Le père de Reda, au passé encore plus lointain

Etc, etc...

Et si ce n'était pas assez compliqué comme ça, à chaque point de vue : un style narratif, une façon de comprendre, d'analyser et de raconter les faits qui lui est propre. L'exemple le plus parlant est probablement la sœur, retranscrite mot pour mot, fautes de français et répétitions propre à l'oral comprises. Mais il y a aussi à chaque point de vue un message sous-tendu. Par exemple, on veut clairement faire ressortir le racisme de la police française.

Par conséquent, je trouve qu'on s'y perdait un peu. On se demande vraiment pourquoi chercher la complication là où il n'y en avait pas vraiment besoin. Raconter les choses de façon chronologique et en se recentrant uniquement sur l'agression n'aurait-il pas été plus percutant et puissant émotionnellement ? Et comme on change en permanence de point de vue, de style et de rythme, j'ai trouvé l'ensemble assez pénible à lire. Le livre n'est pourtant pas très long, mais impossible pour moi de m'y plonger plus de 30 minutes de suite.

Quant à l'histoire racontée, en elle-même, je suis partagée également. D'un côté, c'est sûr que c'est touchant et émouvant. Comment pourrait-on ne pas avoir d'empathie et de compassion pour quelqu'un qui a subit un viol et une tentative d'homicide ? Et aussi, et c'est là toute l'originalité du livre, de l'empathie et de la compassion pour l'agresseur, qui a lui aussi, clairement, pas eu une vie facile. Mais là encore, je trouve les choix de l'auteur maladroits.

Le livre est parfois extrêmement borderline. Que le milieu social de Reda définit ce qu'il est aujourd'hui, et que cette violence qu'il subit depuis toujours l'ai poussé à ce type d'acte est une chose. Mais trouver ici une justification, permettant très clairement de minimiser les faits, et même de rejeter le bien fondé d'une procédure judiciaire (cf. le comportement de l'auteur vis-à-vis de cette procédure, après la publication du livre), j'avoue que j'ai du mal. Dans un pays où les victimes d'agression sexuelle ont tellement de mal à se faire entendre et prendre au sérieux, où la plupart d'entre-elles n'ose pas franchir la porte d'un commissariat, et quand elles le font, leur plainte n'aboutit à rien... Ce genre de rétropédalage m’horripile un peu.

Si le sujet vous intéresse, je vous conseille un roman sud-coréen, "Nos jours heureux" de Gong Ji-young. Il est plutôt orienté sur la peine de mort, mais a exactement le même message final que celui-ci. On y explique extrêmement bien comment toutes les formes de pauvreté et l'abandon de la société mènent à la violence. Les maladresses et le côté borderline en moins.

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Commentaire ajouté par fanfan50 2018-09-12T10:01:26+02:00
Argent

Ce roman tourne autour d'un viol d'un garçon sur un autre garçon. Je ne pense pas que ce thème ait déjà été utilisé dans d'autres romans d'une façon aussi complète. Le viol fut suivi d'une tentative d'homicide sur le narrateur, Edouard par son ami de hasard, Reda. J'avoue que cela ne m'a pas passionnée mais autour, l'auteur parle toujours de sa mère et du milieu sordide dans lequel il a grandi et cela, c'est un peu la continuité de son premier roman En finir avec Eddy Bellegueule. Il écrit bien, il imite même le parler régional quand il retranscrit le dit de la soeur d'Edouard. Mais j'avoue avoir lu en diagonale et rapidement beaucoup de passages. Je ne reviendrai pas dessus et n'en garderai pas un excellent souvenir. On peut dire que c'est un livre-témoignage de ce qui peut arriver entre deux êtres qu'ils soient ou non de même sexe. Que de violence !

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Commentaire ajouté par KmiLuna 2018-05-13T20:38:43+02:00
Or

Un témoignage dont l'écriture simple ne le rend que plus bouleversant.

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Commentaire ajouté par Serafima 2017-09-05T00:46:54+02:00
Lu aussi

L'histoire d'un jeune homme agressé sexuellement le soir du réveillon de noel.

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Commentaire ajouté par lorlan 2017-03-28T14:23:11+02:00
Lu aussi

Parce que j'avais apprécié son ouvrage précédent ("En finir avec Eddy Bellegueule"), j'ai décidé de lire celui-ci dans la foulée. Au final, j'en ressors déçue. Je n'ai pas retrouvé le joli verbe mais j'ai trouvé le style inutilement ampoulé. J'ai trouvé le propos confus, perdu entre le viol (terrible), le racisme ordinaire (commissariat) et la scission entre le milieu d'origine de l'auteur et celui où il évolue désormais. J'ai senti le narrateur terriblement seul, où qu'il soit, aussi bien chez sa sœur qu'avec ses amis parisiens... C'est probablement ce qu'il l'a mené à cette rencontre improbable qu'il laisse entrer chez lui... Ce livre est dérangeant, non pas en raison du sujet traité et de sa force destructrice, mais bien parce que je ne suis pas sure, au final, que l'auteur puisse un jour réellement "En finir avec Eddy Bellegueule" et élargir son champs d'écriture. Triste!

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Dates de sortie

Histoire de la violence

  • France : 2016-01-07 (Français)
  • France : 2017-01-05 - Poche (Français)

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