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Extrait ajouté par Lutamoshi 2019-01-16T10:42:28+01:00

Les rêves qui reviennent sans fin, comment savoir qu'ils sont des rêves ?

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Extrait ajouté par Virgile 2009-11-01T15:41:28+01:00

Il lui rappela...mais il lui paraissait peu probable qu'elle sût, en toute connaissance de cause, à quoi elle s'était engagée. Lorsqu'elle l'aurait compris, il serait trop tard pour qu'elle échappât." "O l'écoutant se disait que peut-être il serait également trop tard, si longue elle serait à réduire, pour qu'il ne fût pas enfin épris de son ouvrage, et ne l'aimât pas un peu. Car toute sa résistance intérieure, et le timide refus qu'elle osait manifester n'avait que cette seule raison d'être : elle voulait exister pour Sir Stephen, si peu que ce fût...,et qu'il eût pour elle plus que du désir.

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Extrait ajouté par anonyme 2022-01-05T05:49:44+01:00

Alors je sais qu'elles ont défais les mains d'O qui étaient toujours liés derrière le dos, et lui ont dit qu'il faillait qu'elle se déshabillât, et qu'on allais la baigner, et la farder. On l'a donc mise nue, et on a rangé ses vêtements dans un des placards. On ne l'a pas laissée se baigner seule, et on l'a coiffée, comme chez le coiffeur, en la faisant asseoir dans un de ces grands fauteuils qui basculent quand on vous lave la tête, et que l'on redresse pour vous mettre le séchoir, après la mise en plis. Cela dure toujours au moins une heure. Cela a duré plus d'une heure en effet, mais elle était assise sur ce fauteuil, nue, et on lui défendait de croiser les genoux ou des les rapprocher l'un de l'autre. Et comme il y avait en face d'elle une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompait aucune tablette, elle se voyait, ainsi ouverte, chaque fois que son regard rencontrait la glace.

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Extrait ajouté par deydeyf88 2019-07-10T05:18:03+02:00

Si j'obtiens, par exemple le droit de jouer gaiement du banjo jusqu'à deux heures du matin, mon voisin perd la liberté de ne pas m'entendre jouer du banjo jusqu'à deux heures du matin. Si je parviens à ne rien faire, mon voisin doit travailler pour deux. Et l'on sait d'ailleurs qu'une passion inconditionnelle pour la liberté dans le monde ne manque pas d'entraîner assez vite des conflits et des guerres, non moins inconditionnelle.

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Extrait ajouté par Lutamoshi 2019-01-16T10:41:48+01:00

Les palmiers avaient l'air découpés dans la tôle, les promeneurs de mannequins de cire mal fondue, animés par une mécanique absurde.

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Extrait ajouté par Lutamoshi 2019-01-16T10:40:01+01:00

Mais O craignit de se faire moquer d'elle, avec ses fleurs de mélodrame. Elle apporta un jour un gros bouquet de jacinthes bleues, dont l'odeur est comme celle des tubéreuses, et fait tourner la tête : huileuse, violente, tenace, tout à fait celle que devraient avoir les camélias, et qu'ils n'ont pas.

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Extrait ajouté par Maatneferkara 2019-01-13T17:40:41+01:00

Les mains liées dans le dos, nue et les yeux bandés, O pénètre dans le château de Roissy, guidée par deux jeunes filles très belles aux robes d'un autre temps retroussées sur leur ventre et leurs reins nus. O passera quinze jours dans ce château où l'a amenée René, son amant adoré. Les sévices subis sont chaque jour renouvelés. O est offerte et prise, fouettée et murée dans le silence, O commence l'apprentissage de l'esclavage. Par amour pour René, O ira très loin dans la négation de soi. Elle abdiquera toute volonté et perdra définitivement sa liberté. Et si O change de maître, c'est pour mieux éprouver les plaisirs extrêmes qui résident dans le fait d'être totalement livrée, corps et âme au sens strict, à un homme qu'on aime et qui aime en retour. C'est un voyage sans retour qu'O entreprend dans des contrées méconnues où le plaisir naît d'une souffrance intolérable.

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Extrait ajouté par anonyme 2016-01-03T21:02:28+01:00

« C'est une destruction dans la joie. »

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Extrait ajouté par Mizy 2013-03-14T00:29:42+01:00

"Elle eut le sentiment qu'il voulait l'insulter, par son dédain, par son silence, par ce qu'il y avait de détachement dans son attention. Pourtant il la désirait tout à l'heure, maintenant encore il la désirait,...Que ne la prenait-il, fût-ce pour la blesser ! O se détesta de son propre désir, et détesta Sir Stephen pour l'empire qu'il avait sur lui-même. Elle voulait qu'il l'aimât, voilà la vérité : qu'il fut impatient de toucher ses lèvres et de pénétrer son corps, qu'il la saccageât au besoin, mais qu'il ne pût devant elle garder son calme et maîtriser son plaisir."

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