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Liste des extraits

« Les hommes m’ont appelé fou ; mais la science ne nous a pas encore appris si la folie est ou n’est pas le sublime de l’intelligence. (…) Ceux qui rêvent éveillés ont connaissance de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis. Dans leurs brumeuses visions, ils attrapent des échappées de l’éternité et frissonnent, en se réveillant, de voir qu’ils ont été un instant sur le bord du grand secret. »

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"Quand un fou paraît tout à fait raisonnable, il est grandement temps, croyez-moi, de lui mettre la camisole. "

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« Il roule sur un mot mystérieux et profond, terrible comme l'infini, que des milliers de bouches crispées ont répété depuis le commencement des âges, et que, par une triviale habitude de désespoir, plus d'un rêveur a écrit sur le coin de sa table pour essayer sa plume : Jamais plus ! »

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« A la ponne heire! Denez-phus dranguille et gombordez-phus pien, hu che phus paderai engore affec mon boing. Z'est le boulet gui ha tes elles, et l'ipou gui ha tes elles, et le témon qui ha tes elles, et le cran tiable qui ha tes elles. L'anche, il n'a bas t'elles et che zuis l'Anche ti Pizzare. »

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« Scrutant profondément ces ténèbres, je me tins longtemps plein d'étonnement, de crainte, de doute, rêvant des rêves qu'aucun mortel n'a jamais osé rêver; mais le silence ne fut pas troublé, et l'immobilité ne donna aucun signe, et le seul mot proféré fut un nom chuchoté : « Léonore! » - C'était moi qui le chuchotais, et un éco à son tour murmura ce mot : « Léonore! » Purement cela, et rien de plus. »

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« Un malheur qui naît de nos institutions républicaines, c'est qu'ici un homme possédant une grosse bourse n'a généralement qu'une très-petite âme à mettre dedans. »

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« Nous abandonnâmes aux vents tout souci de l'avenir, et nous nous assoupîmes tranquillement dans le présent, brodant de nos rêves la trame fastidieuse du monde environnant. »

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« Le journal dit : Son pied était petit ; – il y a des milliers de petits pieds. Sa jarretière n’est pas du tout une preuve, non plus que son soulier ; car les jarretières et les souliers se vendent par ballots. On peut en dire autant des fleurs de son chapeau. Un fait sur lequel M. Beauvais insiste fortement est que l’agrafe de la jarretière avait été reculée pour rendre celle-ci plus étroite. Cela ne prouve rien ; car la plupart des femmes emportent chez elles une paire de jarretières et les accommodent à la grosseur de leurs jambes plutôt que de les essayer dans la boutique où elles les achètent

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« Comme son raisonnement est évidemment entaché de parti pris, il aurait mieux fait d’abandonner ce côté de la question ; car, si l’on trouvait quelqu’un qui eût vu Marie, soit lundi, soit mardi, l’intervalle en question serait très-réduit, et, d’après sa manière de raisonner, la probabilité que ce corps puisse être celui de la grisette se trouverait diminuée d’autant. Il est toutefois amusant d’observer que L’Étoile insiste là-dessus avec la ferme conviction qu’elle va renforcer son argumentation générale

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« Observez ici la risible confusion d’idées ! Personne, pas même L’Étoile, ne conteste qu’un meurtre a été commis sur le corps trouvé. Les traces de violence sont trop évidentes. Le but de notre raisonneur est simplement de montrer que ce corps n’est pas celui de Marie. Il désire prouver que Marie n’est pas assassinée, – mais non pas que ce cadavre n’est pas celui d’une personne assassinée. Cependant, son observation ne prouve que ce dernier point. Voilà un corps auquel aucun poids n’avait été attaché. Des assassins, le jetant à l’eau, n’auraient pas manqué d’y attacher un poids. Donc, il n’a pas été jeté par des assassins. Voilà tout ce qui est prouvé, si quelque chose peut l’être. La question d’identité n’est même pas abordée, et L’Étoile est très en peine pour contredire maintenant ce qu’elle admettait tout à l’heure : « Nous sommes parfaitement convaincus – dit-elle – que le cadavre trouvé est celui d’une femme assassinée. 

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