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Holly Gibney de l'agence de détectives Finders Keepers est censée être en congé. Mais il lui est impossible de refuser la demande d’aide désespérée de la mère de Bonnie. Puis elle découvre une seule boucle d'oreille à proximité de l'emplacement du vélo abandonné de Bonnie. À quelques pâtés de maisons de l'endroit où Bonnie Dahl a disparu, vivent les professeurs Rodney et Emily Harris. Ils sont l’image de la respectabilité bourgeoise : des universitaires semi-retraités à vie.
Mais ils cachent un terrible secret dans le sous-sol de leur maison bordée de livres. Holly doit maintenant faire appel à tous ses formidables talents si elle veut découvrir la vérité derrière les multiples disparitions dans sa ville du Midwest.
" Holly a vu, et vécu, bien pire (après tout, elle était à l'intérieur de la cage), et elle ne dispose pas d'une soupape de sécurité poétique : tout ce qu'elle à écrit dans ce domaine était (soyons honnêtes) très mauvais."
Stephen King nous embarque une nouvelle fois dans ce que l’humain peut présenter de pire. Un très bon roman, un très bon roman d’un auteur qu’on ne présente plus. Des personnages détestables, d’autres d’une Amérique profonde, d’une Amérique qui souffre, d’autres auxquels on ne peut que s’attacher. Une enquête menée d’une main de maître.
Grande amatrice de Stephen King, j'ai eu un peu plus de mal à avoir des coups de coeur pour ses tous derniers livres, que je trouvais de plus en plus contemplatifs et moins riches en suspense horrifique.
Ce livre a été une superbe découverte, l'histoire est palpitante et le portrait de Holly très touchant. C'est un personnage complexe, extrêmement bien écrit et qui nous réserve des surprises, notamment à la fin. J'ai eu un vrai coup de coeur pour elle.
Contrairement à ce que j'ai pas mal lu dans les commentaires, je n'ai pas été gênée par les arcs narratifs autre que centrés sur l'enquête, je les ai trouvé importants pour le développement des personnages comme les relations de Holly avec son entourage, ses drames personnels (après tout, le livre porte bien son nom !) ou bien celui de la poétesse qui pour moi était un arc fondamental dans ce récit. Bref c'est du Stephen King, il nous plonge dans un univers complexe et construit en profondeur et c'est assez habituel venant de lui que les livres soient aussi longs.
Je n'ai pas non plus été gênée par l'omniprésence du covid. L'action se déroule en 2021, en plein coeur de la pandémie et de toutes les mesures qui en ont découlé, et tout ça faisait bel et bien partie du quotidien à cette époque. J'ai trouvé ça au contraire extrêmement réaliste et encore une fois propre à l'auteur qui est un expert pour retranscrire des tranches de vies très riches en détails.
C'est un grand oui pour moi, ce livre entre dans mon top Stephen King, je suis contente de l'avoir lu et d'avoir été aussi attachée aux personnages et surprise jusqu'à la fin.
Pas vraiment de suspense, on connaît les coupables dès le début.
L'auteur développe les personnages tout au long de l'histoire, mais sans suspense, sans recherche de coupables, l'histoire est longue.
Les passages traitant du Covid sont un peu lourds à lire. Il en va de même pour les passages parlant de politiques. On retrouve de plus en plus l'avis de l'auteur dans ses passages et cela peut déranger les lecteurs.
Alors, je ne m'attendais pas à ça quand j'ai commencé ma lecture.
J'ai été un peu perdu au début car on passe du passé au présent de chapitre en chapitre, mais j'ai réussi à trouver le rythme et apprécié ces différentes histoires qui s'entremêlent au fur et à mesure de l'enquête.
Il faut avoir l'estomac bien accroché car les détails ne nous sont pas épargnés et ça peut parfois être peu ragoutant... Mais c'est du Stephen King après tout!
Stephen King ne cessera jamais de m'étonner. Avec une maitrise rare, un sens aigu de la formule, un humour dévastateur, il croque le portrait de Holly, touchante et volontaire, aux prises avec de redoutables prédateurs.
Rien ne manque à ce roman écrit pendant le Covid, tout sauf indulgent avec son époque et les travers de l'Amérique profonde et de ses dirigeants. C'est corrosif, impertinent, horrifiant à souhait. La fin est grandiose et on en redemande même si, je dois l'avouer, ce que je préfère chez l'homme de Bangor, c'est son amour immodéré pour le Fantastique.
En juillet 2021, pendant l’épidémie du covid, Holly Gibney ferme provisoirement les portes de son agence de détectives privés « Finder Keepers ». Son principal collaborateur est malade et confiné chez lui et elle ne peut pas compter sur ses meilleurs amis qui l’aident parfois, Barbara et Jérôme Robinson. De plus, elle vient de perdre sa mère, Charlotte, morte des suites du covid. Via l’application Zoom, elle assiste à l’enterrement de cette femme qui était contre la vaccination. En revanche, Holly a bien pris ses doses de Moderna, porte un masque, et utilise le gel désinfectant. Déprimée par la situation, la quadragénaire sort pourtant de sa torpeur quand une certaine Penny Dahl lui téléphone pour lui demander de chercher sa fille Bonnie Rae, disparue. Alors, même si la motivation n’est pas au rendez-vous, Holly mène l’enquête… Ne serait-ce que pour échapper au harcèlement de sa cliente. En réalité, dans ce livre, les événements sont présentés dans le désordre, avec des flash-backs. Le lecteur assiste d’abord à un meurtre de 2012. Et comme nous sommes dans le genre de l’horreur, les descriptions sont affreuses. Un écrivain, Jorge Castro est drogué, enlevé, jeté dans une cage à barreaux placée dans la cave d’une grande maison victorienne. Affamé, assoiffé, diminué à cause des sédatifs, migraineux, il souffre. Ses tortionnaires le poussent à manger du foie cru… et finalement le tueront pour le dévorer. Qui sont les assassins très cruels ? Il s’agit d’un couple d’anciens professeurs d’université, que le pauvre Jorge connaît, Rodney et Emily Harris. Ces deux retraités sans histoire s’impliquent encore dans la vie de leur ancien établissement. On leur donnerait le bon Dieu sans confession tant ils sont ordinaires, anonymes. Et pourtant, Stephen King nous prévient : il faut se méfier des petits vieux qui ont l’air bien gentil. D’ailleurs, je remercie l’écrivain. Grâce à lui, si des personnes âgées en fauteuil roulant s’approchent pour me demander leur aide pour pousser leur fauteuil roulant à l’intérieur d’un van (et en profiter pour me droguer avec une seringue), je me sauve à toute vitesse ! Grâce à ce mode opératoire bien rôdé, les adorables vieillards kidnappent Bonnie (la bibliothécaire de la faculté), Ellen Craslow (la femme de ménage de la faculté), Peter Steinman (un adolescent du quartier), Cary Dressler (un jeune, homme à tout faire du bowling où jouait Rodney). Que font-ils après avoir torturé leurs connaissances ? Ils les mangent, fabriquent des onguents avec leur graisse, tout cela dans le but de guérir de l’arthrose, des douleurs, et de l’Alzheimer. Alors, ils dévorent la cervelle de leurs victimes (en dessert, avec de la crème fraîche et Stephen King affirme que c’est délicieux !). Ils se frictionnent avec le baume magique qui estompe la douleur. En bref, les anciens professeurs croient en la panacée qui leur offrira la jeunesse. Sauf que les remèdes s’avèrent inefficaces dans la durée. Il faut toujours plus de cadavres pour se nourrir et par conséquent, plus de victimes. Il faut donc un plan bien rodé. Entre les deux, Emily Harris est le chef de la bande puisque son mari perd la tête. Et c’est bien la plus odieuse du couple. Méchante, elle déteste tout le monde. Homophobe, elle hait Jorge. Elle n’aime pas Bonnie en raison de sa beauté et de sa jeunesse. Elle exècre Ellen car celle-ci est végane, têtue, lesbienne et surtout afro-américaine. D’ailleurs, elle emploie des mots injurieux pour désigner les gens. Au lieu de « noire », elle dit « négresse ». En plus, elle est jalouse. Lorsque Barbara Robinson vient la voir pour lui montrer ses poèmes car elle fait partie d’un jury d’écrivains, elle reçoit un choc et l’adresse à une collègue avec l’espoir que celle-ci l’envoie promener. Emily ne supporte personne et surtout pas l’intelligence, la beauté, la jeunesse et le grand talent de Barbara… qui est justement une afro-américaine pour couronner le tout (selon l’horrible mégère raciste). Aussi, la vieille affreuse nourrit le projet de dévorer la cervelle si brillante de cette petite jeune fille qui ose savoir créer ! Barbara s‘en va voir Olivia Kingsbury, une très célèbre poétesse avec les qualités que nous aimons : justesse, gentillesse, générosité. Cette militante tolérante et bienveillante devient le mentor de Barbara et l’inscrit même à son insu à un prestigieux concours de poésie qui permet la publication d’un recueil et une très coquette somme d’argent au gagnant. Olivia est tout le contraire d’Emily, la détestable meurtrière. Comme le monde est petit, Barbara est la meilleure amie de Holly… qui justement enquête sur la disparition de Bonnie. La détective ignore que la jolie blonde n’est que l’une des victimes des tueurs en série. Entre deux recherches, Holly est contactée par le notaire de famille. Seule héritière de sa mère, elle imagine simplement hériter de la maison de son enfance dont elle souhaite se débarrasser pour enfouir à jamais ses souvenirs désastreux. Car Holly se sent minable, pense avoir raté sa vie. Harcelée durant sa jeunesse, elle n’a pas pu faire les études qu’elle souhaitait à cause de sa mère. Elle n’a pu devenir une poète. Au fur et à mesure, elle découvre que Charlotte était une mère castratrice. Méchante, égoïste, conservatrice et aux valeurs arriérées, elle voulait tout contrôler, surtout la vie de sa fille. Avec ses remarques (dont le « Oh, Holly ! » très paternaliste et méprisant), elle la brimait sans cesse. Elle essayait de diriger sa destinée. Et quand Holly rencontre son futur employeur, un détective privé qui lui lèguera son agence, elle fait tout pour lui mettre des bâtons dans les roues (à la mort de son mentor). Elle raconte qu’elle a investi sa fortune dans des placements et que le conseiller est parti avec tout l’argent. Ruinée, Charlotte ne pourra pas donner d’argent pour renflouer l’agence qui heureusement se relèvera grâce à Holly. En fait, pour mieux briser sa fille unique, elle ment. Comme elle n’en faisait qu’à sa tête, lors de l’épidémie du covid, elle refuse de se faire vacciner, ne porte pas de masque, ne prend pas en compte la distanciation sociale, les précautions. Résultat, elle meurt et grâce au notaire, Holly découvre le pot aux roses et se retrouve millionnaire. Elle ne sera plus obligée de travailler… Mais en attendant, elle avance sur son enquête qui s’avère plus compliquée que prévu. Stephen King joue sur le suspens. Le lecteur a peur pour les personnages. Il s’attend à trouver ce qui est très convenu : à force de chercher, Holly va tomber dans le piège et se laisser enfermer par les deux vieux. D’ailleurs, c’est ce qui se passe. On tremble aussi pour Barbara qui figure sur la liste des victimes des enseignants dévoyés. Par bonheur, tout est bien qui finit bien car la détective a plus d’un tour dans son sac. Même blessée, elle parvient à déjouer la méfiance de Rodney. Celui-ci s’approche un peu trop d’elle et elle le tue en lui tranchant la gorge avec la boucle d’oreille de Bonnie. Quand Emily découvre que son mari est mort, elle veut le venger. Mais là encore, la jeune femme gagne. Elle réussit à tordre le cou de celle qu’elle traite à juste titre d’ordure. Voir mourir Emily et tout ce qu’elle représente est jouissif. Malgré les atrocités décrites, les personnages odieux, Holly s’en sort. Libérée de sa mère, de son passé et des contraintes, elle choisit de poursuivre son métier. Retraitée ? Jamais ! Les victimes sont vengées, Barbara gagne le prix de poésie, son frère Jérôme devient un écrivain publié. La « happy end » peut satisfaire le lecteur qui a été longtemps été tenu en haleine. « Holly » est un bon livre et je l’ai apprécié.
Très bon thriller , on y retrouve Holly Gibney pleine de problème personnel, et surtout en pleine période de COVID .
Ce que j'ai juste détesté dans ce livre !
Dès que Holly apparaissait, discours pro'vaccins vraiment affreux !
J'ai bien apprécié retrouvé Barbara et Jérôme aussi 😀 ainsi que leurs évolutions professionnel.
Les changements de points de vue entre Émilie et Rodney dynamise bien le roman ainsi que les retours dans le passé, ce que j'ai préféré dans le roman .
La dernière partie du livre était également très bien et dynamique, Holly m'a bien bien surprise !
J’ai lu le livre en lecture commune en octobre pour l’ambiance avec halloween. Je ne lis pas beaucoup de thrillers et c’est le premier Stephen King que je lis donc je suis partie sur ce livre avec un oeil neuf.
On connait les coupables dès le début du livre.
J’ai trouvé le livre prometteur au début mais cette impression est très vite passé. À partir du milieu de l’histoire, je trouve qu’il y a trop de longueurs dans les chapitres se déroulant dans le présent, durant l’enquête de Holly. Notamment avec les procédures qu’elle entreprend après la mort de sa mère. Au point où j’avais la flemme de lire parce que savais que je n’allais pas apprécier les chapitres du point de vue de Holly. Seuls les chapitres se passant dans le passé avec les Harris et leurs victimes sont intéressants. Cependant, mon intérêt pour l’histoire a augmenté vers la fin du livre et l’approche du dénouement.
L’histoire se déroulant en 2021, le covid est très présent à travers les vaccins, les masques, le gel, les distances sanitaires etc. Personnellement, ça ne m’a pas dérangé mais je comprend que ça a pu / peut soûler certaines personnes.
Si j’avais lu d’autres « polars » de King, Carnets Noirs ou Billy Summers, celui-ci m’aura mis tous les bâtons dans les roues possibles pour l’apprécier…
Déjà, Holly apparaît dans plusieurs livres avant celui-ci. Elle a eu une vie, une évolution, des amis, familles connaissances…
Et quand on tombe par hasard sur ce livre-là sans avoir lu les précédents, il manque un paquet d’informations sur les collègues décédés de Holly, voire sa mère ou comment Barbara fut sauvée… Et plusieurs fois, ça m’a bien agacé qu’il fasse des liens avec des livres que je n’avais pas lu – allez, my bad, on dira, j’avais qu’à lire dans l’ordre…
Suite à quoi, King se fait ultra lourdement insistant sur Trump qu’il n’aime pas et les anti-covid. Et allez que régulièrement il fait la morale sur ceux qui ne veulent pas mettre le masque ou qui ne croient pas à la maladie… Le principal problème que j’y ai vu, c’est que ça revient assez lourdement et régulièrement, comme si on nous donnait tous les paragraphes la description de la pièce dans laquelle Holly se trouve ; au bout d’un moment, ça va, on a compris…
Il y a également eu toute l’histoire de Barbara et son frère, sa poésie et son bouquin sur sa famille. C’est interminablement long et inintéressant. J’ai pas accroché à cette vieille poétesse, aux cours de littérature et je me suis totalement désintéressé de Jérôme et la signature de son contrat – tout comme l’héritage de Holly...
On a donc déjà un bon tiers du bouquin que je n’ai pas aimé, voire la moitié tellement tout ça prend de la place.
Si on a du King dans le style, j’ai trouvé ce tome poussif.
Les deux vieux ont des vies monotones et blindées de répétitions malgré leur acte. J’ai tellement eu l’impression de lire plusieurs fois la même chose, c’était une horreur, un sentiment de faire du surplace…
Pareil pour l’enquête de Holly qui se noie dans les répétitions et les scènes que j’ai trouvées sans intérêt.
Alors oui, on peut reconnaître à l’auteur l’art d’écrire une enquête crédible, avec des interrogatoires qui ne servent pas forcément ou qui donne un début d’une once d’un bout d’esquisse de piste qui, mis en relation avec un autre début d’once de bout d’esquisse de piste, va donner un embryon d’ébauche d’amorce de naissance de soupçon…
J’ai trouvé ça interminable, ces répétitions d’interrogatoire et ces pistes répétées à chacun pour qu’il donne son avis, ça avance à une allure d’escargot !!
On n’a pas le stress oppressant des Carnets Noirs, on n’a pas l’originalité prenant de Billy Summers.
Non, là, ça se déroule poussivement.
J’ai vraiment commencé à apprécier le bouquin après la 400ème page, ce qui fait tard pour un livre de 500 pages…
Le style de l'écrivain est captivant et nous conduit vers un scénario manichéen. L'intrigue est impeccable et les personnages sont très bien réalisés. L'horreur mentale est présente partout.
Cependant, en plus d'offrir un thriller captivant, Stephen King a réussi à faire une véritable critique de la société américaine à travers Brio.
Et l'homme à la cravate rouge, Trump, en prend pour son grade, et pas seulement un peu... et cela me fait très plaisir, il faut l'admettre.
Et les abus qu'il a provoqués sont encore plus soulignés.
Cependant, il s'agit aussi des armes, des assurances maladies et du comportement des individus en général aux États-Unis. Ma liste n'est pas complète.
Finalement, ce roman est d'une grande qualité et d'une manière très subtile.
Résumé
Holly Gibney de l'agence de détectives Finders Keepers est censée être en congé. Mais il lui est impossible de refuser la demande d’aide désespérée de la mère de Bonnie. Puis elle découvre une seule boucle d'oreille à proximité de l'emplacement du vélo abandonné de Bonnie. À quelques pâtés de maisons de l'endroit où Bonnie Dahl a disparu, vivent les professeurs Rodney et Emily Harris. Ils sont l’image de la respectabilité bourgeoise : des universitaires semi-retraités à vie.
Mais ils cachent un terrible secret dans le sous-sol de leur maison bordée de livres. Holly doit maintenant faire appel à tous ses formidables talents si elle veut découvrir la vérité derrière les multiples disparitions dans sa ville du Midwest.
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