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Extrait ajouté par LiliMatoline 2018-12-12T09:05:07+01:00

Chapitre 1 :

« … Sous le choc, j’écarquille les yeux et ouvre une bouche toute ronde. Je songe de prime abord à une tentative de « car-jacking », mais la personne – un homme, me semble-t-il – qui vient littéralement de se jeter dans ma voiture ne me menace de rien.

– Roulez ! m’ordonne-t-on alors.

La voix, grave bien que paniquée, me confirme qu’il s’agit bien d’un homme. Et c’est un type qui ne manque pas d’air, de toute évidence !

– Mais enfin, sortez de ma voiture ! m’exclamé-je, outrée.

– ROULEZ !

Bien décidée à ne pas obéir à ce très grossier personnage – je ne suis pas taxi ! –, je lui lance un regard courroucé par rétroviseur interposé. Mais qui est donc ce… ce CONNARD qui ose débouler ainsi dans MA voiture sans ma permission ??

À cet instant, je me retrouve directement propulsée dans la scène la plus surréaliste qu’il se puisse imaginer. Car ce « grossier personnage », cet inconnu qui s’est invité dans ma Mini n’est en réalité pas si « inconnu » que cela…

Ses cheveux châtains sont complètement trempés, tout comme sa veste de costume et la chemise blanche qu’il porte en dessous, et ses yeux bleus scrutent au-dehors comme s’il avait la mort aux trousses. Pourtant, même ainsi, impossible de ne pas le reconnaître. Cet homme est… Evan Stevens ! LA star américaine du moment, celui qui joue dans la franchise : The Guardians !

Nom… de… Dieu… Pincez-moi, je rêve !!

Interdite, j’en oublie tout le reste et cale au beau milieu de l’avenue de France. Puis, comme pour être sûre qu’il ne s’agit pas d’une blague de mon rétroviseur, je me retourne pour le voir directement de mes yeux. Je croise alors le regard affolé de la star américaine.

– S’il vous plaît, roulez… m’implore-t-il presque, dans un français remarquable.

– Mais… pour aller où ?

À cet instant, une très jeune fille se colle à la vitre de ma voiture. Son cri me parvient aussi distinctement que si la radio n’était pas allumée, aussi fortement que s’il n’était pas couvert par la pluie martelant la carrosserie de la Mini. Sur la banquette arrière, je perçois le mouvement de recul d’Evan Stevens, avant de constater que d’autres personnes commencent à se diriger vers nous.

– Peu importe, où vous voulez ! Just drive !!

... »

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Extrait ajouté par LiliMatoline 2018-12-12T09:04:46+01:00

Chapitre 4 :

« …  «Chère Sarah Marcelle Agnessa Aristov,

Puisque vous n’avez pas voulu du teinturier, peut-être accepterez-vous que je vous prouve ma reconnaissance avec ces quelques fleurs. Car non, tout le monde n’en aurait pas fait autant.

XO, Juste Evan »

 

Alors là… Je me laisse tomber sur la chaise la plus proche, stupéfaite. C’est Evan qui m’a envoyé ces fleurs. C’est… Evan ! Un sentiment d’euphorie me prend, je me lève et exécute une petite danse de la joie dans mon salon. Frimousse, assis à côté du sac de sushis, me fixe comme si j’avais perdu la boule. Puis, toujours surexcitée, j’attrape mon téléphone et, le cœur battant, rédige un message.

 

 

to : evan.stevens.univers@gmail.com

from : sarah.frimousse@hotmail.fr

Juste Evan,

Vous êtes fou, ça ne valait pas un aussi beau cadeau.

Mais je vous remercie mille fois, les fleurs sont à couper le souffle.

Sarah Marcelle Agnessa Aristov

 

 

Une réponse me parvient presque aussitôt.

 

 

to : sarah.frimousse@hotmail.fr

from : evan.stevens.univers@gmail.com

Chère Sarah,

Je suis heureux qu’elles vous plaisent. Sérieusement, « ça » vaut largement ce modeste présent. Bon, peut-être pas les vêtements, mais votre discrétion, assurément…

Evan

... »

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Extrait ajouté par ninon64 2018-11-28T14:57:52+01:00

Je sursaute, puis me tourne vers l’entrée de la Bvlgarie V. Immédiatement, la panique disparaît, remplacée par quelque chose de beaucoup, beaucoup plus intense. Dès que mes yeux se posent sur lui, mon cœur explose dans ma poitrine et mes peurs s’effacent, reléguées au second plan par sa simple présence.

– Evan... lâché-je dans un souffle, étourdie par la violence de mes émotions.

Pendant un instant, nous restons figés à quelques mètres de distance. Je le regarde comme s’il était une apparition, comme s’il était la manifestation d’un songe et qu’il risquait de disparaître d’une seconde à l’autre. Lorsque je plonge dans ses iris couleur océan, la douleur accumulée ces dernières semaines s’apaise enfin et je ressens le besoin impérieux de le toucher. C’est la seule façon de m’assurer que je ne suis pas en train de rêver.

Je m’avance, il m’ouvre ses bras. La voilà, la définition de la plénitude. Elle tient dans ce moment précis, celui où je retrouve son contact, son odeur, sa chaleur, la puissance de ses bras. Il me serre aussi fort que je m’agrippe à lui.

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