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Extrait ajouté par Sky00 2017-12-09T14:26:13+01:00

« Les lèvres d’Alex tremblèrent.

— Je… Je peux prendre soin de moi-même. Je ne t’ai pas demandé de me défendre.

— Je sais. Je sais que tu n’as rien demandé. Mais en l’occurrence, j’avais des informations que tu ignorais, et j’ai pris l’initiative de me débarrasser de lui.

— Oh, pour mon propre bien, sans doute, releva-t-elle avec un grognement qui alla directement à son sexe toujours plus dur. Alors toi, tu peux me dire ce que tu as l’intention de me faire, mais… mais pas lui ?

— Mon esprit est un cloaque quand je pense à ce que j’aimerais te faire, Alexandra, mais au moins, je le garde pour moi ! Je n’en parle pas à mes potes. Je ne l’annonce pas au monde entier, même s’il suffit de nous regarder pour comprendre ce que nous attendons l’un de l’autre. La seule personne qui a accès à ces projets est la femme qu’impliquent toutes les choses perverses et dépravées que j’aimerais lui faire. Je ne sais pas si tu cherches un bad boy ou un gentil garçon, mais ce ne sera pas moi. Moi, je peux t’offrir un homme qui sait comment traiter sa femme.

— Tu triches, gémit-elle.

— On s’en fout. Je suis un putain de sale bâtard qui sait ce qu’il veut et fera tout pour l’obtenir. Je détruirai quiconque dira du mal de toi, quiconque posera une main sur toi, quiconque se mettra sur mon chemin. Mais je refuse tout compromis. Je ne déciderai pas pour toi, et je ne laisserai pas les circonstances poser un quelconque vernis sur la chose parce que je suis séduisant en smoking ou parce que tu te sens belle dans ta robe. Je ne te promets pas un conte de fées. Je n’y crois pas. Mais si tu viens me chercher de ton propre chef pour passer la nuit dans mon lit, je te promets que tu ne le regretteras pas. Je te montrerai ce que c’est que de se sentir vénérée. »

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— J’ai passé une nuit merveilleuse, Alexandra.

Elle retira sa parka d’un mouvement des épaules et le laissa tomber par terre. Elle mit tout le déhanchement qu’elle put dans sa démarche pour monter l’escalier, lui offrant une vue parfaite sur les fesses qu’il avait regardées avec tant d’adoration la nuit précédente et qu’il ne toucherait plus, ni dans cette vie ni dans aucune autre.

— Moi aussi, lança-t-elle d’un ton sec. Maintenant, ramasse ton foutu manteau et dégage avant que ta grosse tête pleine de vent soit embarquée par le blizzard !

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Il était temps d’allumer le petit bois. Les charmes discutables de Matt semblaient perdre leur effet et Alexandra regardait discrètement mais régulièrement vers le buffet. Excellent. Eli avait trouvé son point d’attaque. Il alla remplir une assiette pour elle et s’approcha à temps pour entendre Matt se plaindre de la difficulté à réserver cent cinquante chambres d’hôtel avec un délai court, surtout hors saison.

- Pas de souci l’an passé, là-dessus, répondit Alexandra.

Matt parut offensé.

- Les Hawks ont été nuls après la saison, expliqua-t-elle.

- Oui, j’ai compris.

Eli toussa pour cacher un rire. Pas étonnant qu’elle ne puisse pas garder un homme. Maintenant, la prochaine étape des tactiques imparables pour sortir avec une femme pompier.

"- Ma chérie, tu dois être morte de faim. Mange quelque chose.

- Oh, merci, monsieur le m… Je veux dire, merci, Eli ! (Petit sourire timide.) C’est tellement attentionné."

Il tourna autour de sa proie, révélant ses crocs métaphoriques – en l’occurrence, un assortiment de petites bouchées délicieuses –, puis… il s’aperçut qu’il avait été pris de vitesse par ce foutu Bastian Durand.

- Vous semblez avoir faim, dit celui-ci en déposant une assiette garnie entre les mains d’Alexandra.

Elle ouvrit la bouche à cette vue, soit parce qu’elle était surprise de cette attention, soit parce qu’elle bavait déjà devant le contenu.

- Je devrais me mettre quelque chose en bouche pour retenir ma langue trop bien pendue, c’est ça ?

Les trois hommes la regardèrent fixement.

- Oh, je parle de nourriture, idiots !

Elle engloutit une boulette de viande et se tourna vers Eli, un sourcil levé face à l’assiette garnie qu’il tenait.

- Est-ce pour moi, monsieur le maire ?

- Non. Tout est pour moi et tu ne peux pas y goûter !

Elle fit de son mieux pour ne pas sourire. Bon Dieu, cette femme lui plaisait un peu trop…

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-Eli, la nuit de l’incendie, j’ai évalué la situation et pris la décision qui avait le meilleur ratio risque/avantages. Tu valais le risque, et maintenant, je savoure les avantages !

Il parut sonné. L’idée que quelqu’un l’estime était-elle si inattendue ? Il devait être constamment attaqué sur son image.

— Je ne suis pas certain de valoir la prise de risque. Je ne suis pas quelqu’un de bien.

— Pourtant, je suis là.

— Devrais-je être jaloux de mon chien ?

Elle enfouit sa tête dans ses cheveux noirs ondulés, dissimulant sa joie.

— Tu as peut-être un look de star de cinéma, un charme diabolique, de beaux cheveux et un pénis géant, Eli Cooper, mais c’est ce chiot qui m’a conquise !

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Kinsey émit un son de mépris.

— Tu étais en forme, dans l’escalier. Ce bâtard ne t’a sortie de là que pour profiter d’une bonne com. Il sauvait surtout sa campagne, et maintenant, tu joues à son petit jeu tordu.

Le téléphone d’Alex sonna à cet instant et le visage souriant de Darcy illumina l’écran. Elle avait besoin d’interrompre la dissection familiale qui s’annonçait et répondit.

— Bon timing, D., l’inquisition a débarqué !

— Oooh, mets-moi en haut-parleur.

Alex leva les yeux au ciel mais obéit.

— Pour te représenter la scène, annonça Gage qui s’assit pour touiller son café en volant une moitié du muffin beurré d’Alexandra, Luke a un muscle qui danse la samba sur la mâchoire, Kinsey pense qu’Eli joue à de petits jeux malsains et utilise ma sœur, et Alex avance qu’elle lui en doit une pour lui avoir sauvé la vie.

Darcy eut un « Mmh » dubitatif.

— Ces photos de vous deux en train de rire chez DeLuca étaient très… intimes, je dois dire.

— Tout à fait ! grinça Luke.

Il leva son téléphone sur lequel une photo montrait Eli qui penchait la tête vers elle par-dessus leurs gnocchis au beurre et à la sauge. Elle avait dû être prise alors qu’il torturait Alex avec ses opinions ridicules sur les vaches, le mariage ou les Canadiens. Dieu merci, ce n’était pas l’instant où elle lui avait pris la main pour le réconforter alors qu’il pensait à ses parents. C’était trop intime pour être partagé avec le reste du monde.

— Luke, ta définition de la romance est peut-être d’aller voir une bande de connards baraqués et trop payés se taper dessus sur une patinoire avant de t’empiffrer de raviolis, mais je ne la partage pas. On a vu un match, on a mangé un morceau, fin de l’histoire.

— Sa popularité ne cesse de monter dans les sondages depuis l’incendie, fit remarquer Kinsey.

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— Nous prendrons quelques photos, nous irons voir les joueurs dans les vestiaires après le match… Vu votre lieu de travail, je pense que vous tiendrez le coup !

— Croyez-moi, j’ai vu assez d’hommes nus au travail pour porter plainte contre la ville sous prétexte d’environnement hostile ! (Il eut l’air inquiet et elle développa.) Je peux supporter un petit peu de pénis, Eli.

Il laissa échapper un rire de gorge qui lui donna chaud. Aucun espoir d’être immunisée, désolée ! S’il pouvait sourire et rire mais ne jamais parler, il serait parfait.

— J’espère que vous n’aurez pas à supporter un petit pénis, Alexandra.

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— Mettons quelques petites choses au clair, Dempsey. J’aurais pu renvoyer votre frère quand il a eu recours à la violence dans ce bar, en frappant un policier et en traînant dans la boue la réputation des pompiers de Chicago. J’aurais pu vous virer quand vous avez perdu la tête pour une stupide insulte et que vous avez, là encore, sali la réputation de votre caserne. Votre famille a une dette envers moi. Et puis, il ne s’agirait que de quelques rendez-vous en tête à tête.

Elle déglutit malgré la boule dans sa gorge asséchée.

— Vous avez parlé de rendez-vous en tête à tête ?

— Seriez-vous sourde en plus d’être agressive ?

— Je ne sortirai pas avec vous !

— Non, en effet. Ce n’est qu’une manœuvre publicitaire. Dieu sait pourquoi, les gens aiment notre duo. Ils aiment votre bouche insolente, ils apprécient notre histoire digne d’un feuilleton télévisé. Il y a même des paris sur les noms de nos futurs enfants. Sophie deviendrait la première présidente des États-Unis et Joshua irait éteindre les feux de forêt en Californie.

— C’est… C’est ridicule.

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- Tu parles de l’ancien des forces spéciales américaines qui répétait sans cesse qu’il y aurait toujours des secrets entre nous parce que (elle décrivit des guillemets imaginaires des doigts mais l’effet fut perdu sous ses gros gants protecteurs) « C’est comme ça qu’ça s’passe, bébé. »

— C’était un mec solide.

— Ô, mon frère, pourrais-je envisager un homme qui ne dorme pas avec un couteau sous son oreiller au cas où il laisserait filtrer des infos qui le forcent à choisir entre son devoir et mon besoin de savoir. Je devais porter des boules Quies par sécurité s’il se mettait à parler de ses missions en dormant !

— Bah, t’es bien difficile.

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Extrait ajouté par Nari 2018-07-07T11:46:12+02:00

- Tu penses pouvoir me sauver, Alexandra?

Elle frotta le nez contre le sien.

- Je sais que je l’ai déjà fait.

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- Se nourrir, jouir et respirer, les trois piliers de la vie.

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