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Hotel Temptation, Tome 1 : Brûlante tentation



Description ajoutée par Jessica-142 2019-05-31T01:49:23+02:00

Résumé

Hotel Temptation TOME 1

En voyage professionnel en Islande, Margot voit ses plans contrariés par une tempête de neige. Et, comble de malchance, la voilà bloquée dans un hôtel tenu par Thor Ragnarsson, un Viking viril et macho qui ne cesse de la dévorer du regard ! Un comportement qui la scandaliserait, si elle-même ne rêvait pas d’arracher les vêtements de son hôte et de l’attirer dans son lit…

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Classement en biblio - 38 lecteurs

extrait

** Extrait offert par Caitlin Crews **

1

— Je suis vraiment navrée, déclara la réceptionniste avec une politesse exagérée. Le temps est en train de tourner, et vous ne pourrez pas atteindre Reykjavík ce soir.

Campée au milieu du hall luxueux de l’hôtel Viking, la Pr Margot Cavendish se redressa avec l’impression que son interlocutrice venait de la frapper en plein visage. Néanmoins, elle parvint à prendre sur elle et esquissa un sourire crispé. Inutile de se laisser emporter, alors que c’était surtout – et même complètement – contre elle-même qu’elle était en colère.

Elle avait vu les nuages arriver. Elle savait qu’il était risqué de parcourir tout ce chemin pour gagner ce lieu reculé, d’autant que l’homme qu’elle venait voir ne lui avait jamais promis de la caser dans son emploi du temps sans doute chargé en activités… douteuses. Il n’avait d’ailleurs même pas pris la peine de répondre à ses mails ni à ses coups de téléphone. Et, malgré ça, Margot était venue au débotté.

Voilà comment elle allait être payée pour son imprudence !

— Il neigeait déjà quand je suis arrivée, répondit-elle, comme si ses arguments avaient le pouvoir de la ramener au petit appartement qu’elle louait à Reykjavík pour son semestre sabbatique. Ça glissait un peu, mais ça allait.

Ce n’était pas totalement vrai : la route de montagne avait été traîtresse et, au sommet, la neige s’entassait bien plus haut qu’en ville. Pourtant, le chauffeur de taxi ne s’était pas laissé impressionner. Et puis, Margot avait quant à elle l’habitude des hivers rudes du Midwest depuis qu’elle y avait intégré le département des Sciences humaines de l’université, quelques années plus tôt, après son doctorat.

Ce n’étaient pas quelques dizaines de centimètres de neige qui lui faisaient peur !

D’un autre côté, elle n’avait jamais passé d’hiver aussi près de l’Arctique…

— Une tempête est en train de se former, insista la réceptionniste en tapotant sur son clavier, comme si, simultanément, elle transmettait l’information sur le Net.

Le badge épinglé sur sa poitrine indiquait Freyja.

— Les tempêtes hivernales sont imprévisibles dans la région. Alors si ça se trouve, ce sera fini demain matin !

— Demain matin ?

La voix de Margot résonna dans l’atmosphère feutrée du hall, et la jeune femme réprima un frisson. Il y avait quelque chose d’étrange dans cet endroit… Sans doute étaient-ce les fresques épiques représentant les combats entre feu et glace qui tapissaient tous les murs ; des elfes, des trolls, toutes sortes de créatures que l’on voyait partout… Et cet hôtel, monument au péché, que son discret propriétaire avait su rendre si attrayant, alors que Margot s’était attendue à quelque chose de glauque et de sombre… Déjà, elle imaginait tout ce qui devait se passer entre ces murs – même si elle n’avait vu, pour le moment, que ce fichu hall d’entrée.

Sentant qu’elle crispait de nouveau les épaules, elle prit une profonde inspiration et tenta de se détendre.

— Vous n’êtes tout de même pas en train de me dire que je vais devoir passer la nuit ici ?

Avait-elle trop insisté sur le mot « ici » ?

L’ancien propriétaire du célèbre hôtel Viking, Daniel St. George, un personnage haut en couleur, était mort dans un accident de voiture en Allemagne quelques mois plus tôt. Dans son testament, il distribuait l’impressionnante collection d’hôtels qu’il possédait à ses fils, des enfants illégitimes qu’il avait essaimés à travers le monde et qu’il n’avait pas voulu reconnaître de son vivant. Le Viking, un luxueux établissement qui s’élevait dans un lieu qui semblait être le bout du monde et qui se vantait de pouvoir assouvir tous les fantasmes de sa clientèle, en faisait partie. Comme il ne se trouvait qu’à deux heures de Reykjavík par beau temps, Margot avait décidé d’aller le voir de ses propres yeux.

Les recherches qu’elle menait portaient sur l’Islande et sa réputation de « pays le plus féministe du monde ». Margot était curieuse de voir comment le sexe et la drague, célèbres traditions islandaises, pouvaient se marier avec les dogmes du féminisme. À ses yeux, il s’agissait là d’un mélange impossible… Elle avait déjà passé près d’un mois à Reykjavík en compagnie de collègues de l’université d’Islande et interviewé bon nombre de noceurs à la sortie des boîtes de nuit de Laugavegur – une rue de la capitale réputée pour sa vie nocturne débridée.

Peu à peu, un nom avait commencé à revenir régulièrement à ses oreilles… Celui de Thor Ragnarsson, le nouveau propriétaire de l’hôtel Viking, fils aîné de Daniel St. George. Thor, qui d’après la rumeur pratiquait lui-même une bonne partie des expériences offertes à ses clients, semblait l’incarnation de tout ce que Margot détestait le plus chez les hommes – tant au lit qu’en dehors.

Trop de sexualité affichée. Trop d’autorité.

Non pas que les fantasmes et les préférences de cet homme aient la moindre importance pour Margot. Elle voulait juste savoir ce qu’il pensait du sexe en général, rien de plus.

Et quoi qu’il arrive, il ne se passerait rien. Même si elle restait coincée ici…

La secrétaire de Thor avait poliment refusé toutes ses demandes d’interview lorsqu’elle avait commencé à appeler au lieu d’envoyer des mails. Margot avait donc décidé de se rendre sur place et d’improviser.

Hélas ! elle n’avait même pas réussi à passer le hall. Freyja s’était montrée polie mais inflexible : le reste de l’hôtel n’était ouvert qu’aux clients, et ceux-ci tenaient à leur intimité. De plus, M. Ragnarsson était indisponible, même pour un entretien de cinq minutes. Bilan : venir avait été une erreur.

Et maintenant, Margot allait devoir payer cette escapade au prix fort.

— Il y a pire endroit pour être coincé par la neige, fit remarquer Freyja. Après tout, vous êtes à l’abri dans un hôtel. Dehors, il y a sans doute des gens bloqués sur la route qui attendent des secours.

— Peut-être, mais…

— Pourquoi n’iriez-vous pas vous installer au bar ? suggéra la jeune femme. Buvez quelque chose. Détendez-vous ! Pendant ce temps, je vais vous trouver une chambre pour la nuit.

Hélas ! il était clair que Margot n’avait pas le choix. Dehors, la neige s’accumulait déjà. On la voyait s’envoler en gros tourbillons derrière les baies vitrées, et la visibilité était si réduite qu’on avait l’impression d’être enfermé dans une boîte. Elle soupira : elle était devenue trop imprudente depuis un mois. Elle avait cru qu’en s’installant pour un temps en Islande elle deviendrait comme les habitants de ce pays et saurait affronter la neige aussi facilement qu’eux…

Pas un instant, elle ne s’était figuré qu’elle pourrait se retrouver coincée par une tempête dans un hôtel pour adultes. Le bâtiment entier respirait les liaisons secrètes et la luxure. Même les beaux bouquets, sur les tables, avaient quelque chose de décadent.

Tout cela était très… déconcertant.

Margot avait toujours considéré son corps comme secondaire. C’était une intellectuelle pure, pas une créature gouvernée par ses désirs. Bien sûr, elle aimait faire l’amour, comme tout le monde. Enfin, elle ne disait pas non à une bonne partie de jambes en l’air. Au mieux, c’était distrayant. Toutefois, elle n’en éprouvait jamais le besoin. Jamais il ne lui serait venu à l’idée de réserver une chambre dans un hôtel comme celui-ci, où l’on venait exclusivement pour laisser libre cours à ses fantasmes et s’adonner à des mises en scène théâtrales. Elle n’aimait déjà pas le théâtre sur scène, alors dans une chambre…

Margot parvint à garder pour elle ces réflexions sur les hôtels coquins et le théâtre et, avec un hochement de tête un peu crispé, s’éloigna du comptoir pour gagner une double porte qui donnait l’impression de se trouver dans une maison viking et qui menait au bar.

L’établissement était vraiment décoré avec goût, ce qui justifiait sans doute le prix exorbitant des chambres. Il mariait sans fausses notes un style scandinave typique avec des meubles raffinés qui auraient été plus à leur place dans un hôtel particulier européen que dans le grand Nord. Étrangement, Margot eut impression que l’atmosphère du lieu l’apaisait peu à peu, à la manière d’une douce caresse sur sa peau…

Reprends-toi ! s’intima-t-elle.

Il était hors de question de succomber aux promesses sensuelles de cet hôtel. Elle n’était pas ici en tant que cliente. D’ailleurs, elle n’avait jamais eu besoin de mise en scène pour jouir, et elle était tout à fait capable de se faire plaisir vite et bien quand elle en avait envie. Ici, elle ne resterait jamais qu’une observatrice extérieure.

Et puis, pourquoi éprouvait-elle besoin de mettre les points sur les i, tout à coup ?

On eût dit qu’une partie d’elle-même craignait ce qui risquait de se passer si elle cédait à ce lieu. Qu’elle redoutait de se laisser ensorceler par la magie de ce décor étrange, alors qu’elle n’avait fait que traverser le hall d’accueil !

Quelle idée stupide ! Elle n’avait pas peur. Chez elle, en Amérique, elle avait désormais un poste de professeur titulaire, et il lui avait fallu bien du courage et de la ténacité pour arriver si haut. Elle était forte, douée, libre – ses deux derniers petits amis s’étaient d’ailleurs amèrement plaints de ce caractère trop indépendant, avant de claquer la porte son appartement…

Bon débarras ! avait-elle pensé une fois la douleur de la séparation passée. De toute manière, jamais elle ne rougirait de son autonomie. Au contraire, elle en était fière.

Alors se retrouver coincée pour la nuit dans un hôtel dédié aux fantasmes ne risquait pas de bouleverser ses certitudes !

Agacée par tout ce flot de pensées, elle poussa la double porte tout droit sortie de Beowulf et pénétra dans le bar. Jamais encore elle n’avait eu à ce point besoin d’un verre de vin !

Le décor de la salle était bien plus sophistiqué que celui du hall. Toute une gamme de rouges profonds rehaussés d’éléments couleur or s’associait à une ambiance « révolution industrielle ». Encore une fois, tout ça n’aurait pas dû s’assortir aussi bien et pourtant… La lumière était tamisée, discrète. Dans tous les coins, des fauteuils groupés attendaient les clients dans la pénombre. Une musique islandaise en sourdine complétait le tout, tandis que quelques couples, çà et là, discutaient à voix basse. Flirtaient. Et faisaient sans doute bien pis sous les lourdes tables de bois, hors de vue.

Arrête de voir du sexe partout ! se dit sèchement Margot.

Elle commanda son vin à un barman souriant et emporta son immense verre dans une alcôve, face aux fenêtres du fond de la salle. Là, au moins, elle ne serait pas tentée d’analyser les différents types de relations qu’entretenaient les clients de l’hôtel. Non, elle serait juste aux premières loges pour contempler le chaos qui régnait dehors.

Par moments, entre deux bourrasques, elle parvint à distinguer les vagues impressionnantes qui frappaient le pied de la falaise volcanique. Écume et roche noire, les caractéristiques de cette île du Nord si reculée… Hormis cela, elle ne vit que la neige qui tournoyait. Le vent, qui faisait trembler les vitres et hurlait à l’extérieur, ne paraissait plus aussi menaçant, maintenant que Margot était installée dans ce fauteuil moelleux, bien au chaud dans ce salon feutré.

Étrangement, elle ne se sentait pas en sécurité pour autant. Il lui semblait qu’un danger inconnu, impalpable, l’attendait au tournant.

— Excusez-moi, je…

Margot se figea, puis leva devant elle une main ferme, sans même regarder l’homme qui s’était approché.

— Merci, dit-elle froidement, mais je préfère rester seule.

— Vous êtes coincée par la neige dans un hôtel isolé, en plein blizzard, répliqua la voix masculine d’un ton amusé. Je ne vois pas comment vous pourriez être plus seule que cela !

Il parlait très bien l’anglais, mais avec un fort accent islandais qui fit frémir Margot comme une caresse sensuelle.

— Je sais que je me trouve dans un hôtel pour adultes…, commença-t-elle sèchement.

Elle leva les yeux vers l’intrus. Plus haut. Encore plus haut, jusqu’à trouver le visage d’un homme qui la toisait à la manière d’un dieu de l’Antiquité nordique.

— … mais je ne suis pas venue ici pour faire du tourisme sexuel, acheva-t-elle sans se laisser impressionner. Je suis là par accident.

L’homme éclata d’un rire tonitruant, et Margot s’étonna que les vitres ne volent pas en éclats. Elle sentait avec surprise les vagues de ce rire parcourir sa chair en frissons de plaisir, descendre le long de sa colonne vertébrale et au creux de ses reins pour venir allumer une flamme entre ses cuisses.

Le rire s’arrêta. L’homme la contemplait en souriant.

— Vous n’êtes pas dans une maison close, vous savez ! dit-il avec une pointe de douceur qui, cette fois, la traversa comme une brise d’été, au point qu’elle regretta soudain de ne pas être une cliente comme les autres. Comme lui.

— Quelles sombres histoires avez-vous bien pu lire sur cet établissement ?

— Aucune, mais la réputation de l’hôtel Viking est assez éloquente.

Margot avait l’habitude de voyager seule. En général, il lui suffisait de quelques mots froids et d’un regard distant pour décourager les messieurs trop insistants. Surtout en Islande, où la politesse était légendaire. Pourtant, l’homme qui la dévisageait à présent était… différent.

Pour commencer, il était incroyablement grand. L’Islande était certes remplie d’hommes vigoureux et de haute stature, descendants d’anciens explorateurs vikings, mais cet inconnu semblait encore plus impressionnant que la moyenne. Beaucoup plus. Son corps n’était que muscles tendus, comme s’il retenait un danger caché en lui et devait en permanence lutter pour ne pas le laisser filtrer.

Et pourtant, il s’était campé devant elle dans une attitude empreinte de nonchalance. Presque négligente.

Formée pour observer l’humanité de l’extérieur, scientifiquement, Margot dut se rendre à l’évidence : cet homme était sans conteste le plus fascinant qu’elle ait jamais vu. Il était beau. Ses cheveux couleur fauve se paraient d’éclats d’or et retombaient souplement autour de son visage comme s’il passait sans arrêt les doigts dedans – lui, ou de nombreuses autres personnes, s’il logeait réellement ici…

Et il avait un visage d’ange.

De hautes pommettes nordiques.

Une bouche sensuelle.

Des yeux bleu ciel.

Seigneur… Elle se sentit frémir.

— J’aimerais bien savoir ce que vous avez entendu sur cet hôtel, reprit-il de sa voix tranquille, chantante.

Margot fit de son mieux pour afficher une moue désintéressée, comme elle en avait l’habitude, mais ne fut pas certaine de réussir. Son cœur battait beaucoup trop fort, et trop vite. Toujours calée au fond de son fauteuil, elle se mit à jouer nerveusement avec son verre. Avait-elle l’air aussi exaspérée qu’elle le souhaitait ?

— Cet hôtel est une destination privilégiée pour des clients à la recherche d’un plaisir haut de gamme, sous toutes ses formes, répondit-elle, consciente de réciter presque mot pour mot le laïus du site Internet.

— Vous avez peut-être mal interprété le mot « plaisir », répondit-il.

Margot en douta fortement. Surtout face à ce sourire sensuel et irrésistible…

— La dénomination « hôtel pour adultes » a quelque chose de péjoratif… C’est comme cela qu’on pourrait appeler un hôtel de passe. Laissez-moi vous dire que cet établissement n’est rien de tel. L’hôtel Viking n’accueille que des hommes et des femmes venus passer un bon moment, de leur plein gré.

— Et il ne peut y avoir aucune zone d’ombre, bien sûr…, répliqua Margot. Surtout dans un établissement de ce standing, n’est-ce pas ?

À la voir, on aurait pu croire qu’elle passait une audition pour un rôle de puritaine au cinéma : les lèvres pincées et le nez froncé… Alors que la seule question qui la hantait était : comment cet homme faisait-il pour rendre les mots « bon moment » aussi sexy ?

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Commentaires récents

Or

Une belle histoire comme on les aime

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Lu aussi

Alors en matière de romance rapide, on est sur du très rapide. Je vous préviens tout de suite, tout se passe en une nuit donc niveau profondeur des sentiments faudra repasser.

C'est bien dommage que le tout soit bâclé parce qu'il y avait clairement du potentiel.

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Date de sortie

Hotel Temptation, Tome 1 : Brûlante tentation

  • France : 2019-08-01 (Français)

Activité récente

Titres alternatifs

  • Unleashed - Anglais
  • Unleashed (Hotel Temptation #1) - Anglais

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