Extraits

- "How many of your people can kill a vampire one-on-one ?"She didn't answer."Each one of mine can. They've been trained to kill them, because Nez and I spent a decade trying to murder each other. He sent me the head of my childhood friend, and then he and I had coffee in Charlotte a week later. That's the kind of man Nez is. So snarl all you want, princess. But you will marry me, because you have no choice. You won't win this fight with farmers. You need a cold ruthless bastard like me, and I'm the only one here."

/////////////////////////////////////

- "Combien de tes gens peuvent tuer un vampire en un contre un ?" Elle ne répondit pas. "Chacun de mes hommes le peut. Ils ont été entraînés pour les tuer, parce que Nez et moi avons passé une décennie à essayer de nous assassiner. Il m'a envoyé la tête de mon ami d'enfance, et ensuite, lui et moi avons pris un café à Charlotte une semaine plus tard. C'est le genre d'homme qu'est Nez. Alors, gronde tout ce que tu veux, princesse. Mais tu vas m'épouser, parce que tu n'as pas le choix. Tu ne gagneras pas ce combat avec des fermiers. Tu as besoin d'un salaud froid et impitoyable comme moi, et je suis le seul ici."

« - Tête de noeud arrogant!

- Harpie!

- Enfoiré!

- Pétasse! »

…

« - Pourrissez en enfer d’Ambray.

- Je vous aime aussi chérie. « 

Hugh s’appuya sur la clôture du corral. En effet, c’était un problème. Une démonstration de force était la seule façon de retenir le Légat. L’alliance devait paraître solide comme le roc ou Nez miserait sur leur retraite et attaquerait quand même. Lamar avait raison. Ils devaient surmonter cet obstacle. Ils devaient offrir un front parfaitement uni.

— Il existe une méthode éprouvée pour qu’une telle alliance paraisse sûre aux yeux du monde, offrit Lamar d’un ton circonspect.

Hugh lui jeta un coup d’œil.

— Une union, explicita-t-il, comme s’il craignait que le mot ne lui brûle la bouche.

— C’est-à-dire ?

— Une union civile, Précepteur.

— Mais de quoi parles-tu, bon sang ?

Lamar prit une profonde inspiration.

— De mariage ! éructa Bale.

Hugh fusilla Lamar du regard.

— De mariage ?!

— C’est ça.

La folie les avait pris. Il ne voyait que ça.

— Et qui va se marier ?

— Vous.

La réalisation de ce qu’il venait d’entendre le frappa comme un sac de briques. Il sortit la première chose qui lui vint à l’esprit.

— Mais qui diable voudrait m’épouser ?

— Eh bien, vous êtes séduisant, et imposant, et… (Lamar chercha ses mots.) Ils sont désespérés.

— T’as fumé quoi, là ? Je suis sans un sou, exilé. Je ne possède rien…

Il laissa de côté le fait qu’il était brisé.

— Et un alcoolique en rémission, compléta Lamar avec un hochement de tête entendu. Mais encore une fois, ils sont désespérés. Et nous sommes à court de nourriture.

Hugh ferma les yeux un long moment. Le monde partait en vrille et il avait vraiment besoin de se ressaisir.

— Et qui suis-je censé épouser ?

— Leur… hmm… chef, l’Enchanter…

Ses yeux s’écarquillèrent.

— Tu veux que j’épouse un homme ?!

— Non ! Bien sûr que non ! s’écria Lamar en secouant frénétiquement la tête. C’est une femme. L’Enchanteresse Blanche ! Pas un homme.

He rested his forehead against the back of her head. “Elara…” “Please,” she whispered. “Please don’t say anything you’ll regret in the morning.” His voice was a low snarl. “Sometimes when I lay awake in the middle of the night, I think of you.” “Don’t…” “Sometimes there is nothing left and all that’s anchoring me here is knowing you’ll pick a fight with me in the morning.” “Hugh...” “What do you want more than anything? Tell me what it is, and I’ll rip the world apart to bring it to you.”

'I'm not asking.' Stoyan stepped in front of him. 'I trusted you. I follow you. Not Roland. Roland didn't make me promises. You did. You sold me this idea of belonging to something better. The Iron Dogs are more than a job. A brotherhood, you said.'

'A family, where each of us stands for something greater,' Lamar said.

'If you fall, the rest will shield you,' Bale said.

'Well, by God, we're falling,' Stoyan said.

“I now pronounce you husband and wife. You may kiss.” Hugh stepped toward her. “Try to make this look good.” “I’ll do my best not to vomit in your mouth.” Is that so? Okay. He wrapped his hand around the back of her head, feeling the silky strands of her hair slip through his fingers, leaned forward, and kissed her. She gasped a little into his mouth, and he kissed her the way he would kiss a woman he was trying to seduce, enticing, promising, claiming her. She tasted fresh and sweet. What do you know? He had expected poison and ash. People cheered. Elara dug her fingernails into his arm. He nipped her lip on the way out and let her go. She looked like she would claw him bloody.

He needed more. She was still too beautiful, too regal, too much. “Aren’t you supposed to have some little kids running around throwing flowers? Or did you sacrifice them on the way?” Her face jerked. “Yes, I did. And I devoured their souls.” There she was. “Good to know. The photographer is snapping pictures. Say cheese, love.” Elara gave him a brilliant happy smile. “Cheese, dickhead.” He did his best to look the way a groom might if he was actually marrying this creature and imagining getting her out of that gown tonight. “Rabid harpy.” “Bastard.” The pastor, a man in his thirties with dark hair and glasses, stared at them, his mouth slack. “Start the ceremony,” Hugh told him, putting some menace into his voice. “Before we kill each other,” Elara said.

The weapon clashed, the two men throwing all their strength and speed into their strikes. The magic was down, but Hugh moved with insane precision: fast, flexible, strong, anticipating his opponent's movements.

Things used to be simple. Too simple. He was a man who killed one father, failed the other, and left a trail of destruction in his wake four continents wide. When he looked back now, he saw bodies. It never bothered him before. He'd felt vague pangs of guilt, but never this. It wasn't natural. That was the only explanation. If he felt all this hsit now, he would've felt it when he was doing it. He should've benn bothered. That part of him had been suppressed and he wasn't the one doing that suppressing.

///////////////////////

C'était simple avant. Trop simple. Il était un homme qui avait tué un père, déçu l'autre, et laissé un sillon de destruction large comme quatre continents sur son passage. Quand il regardait en arrière à présent, il voyait des corps. Ça ne l'avait jamais dérangé auparavant. Il avait ressenti de vagues pincements de culpabilité, mais jamais cela. Ce n'était pas naturel. C'était la seule explication. Si il ressentait toute cette merde maintenant, il aurait du la ressentir tandis qu'il était à l'oeuvre. Il aurait du être ennuyé. Cette part de lui avait été supprimée et il n'était pas celui à l'origine de cette suppression.

“Have you ever noticed, Oscar, that when people say, ‘You’re a smart woman,’ what they really mean to say is ‘But I am smarter?’”