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En tant que rebelle, je croyais pouvoir être enfin moi-même. Hélas, on dirait qu’une rebelle télévisée doit se plier elle aussi à toutes sortes de contraintes.

ilovethehost.overblog.com

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À l’hôpital je retrouve ma mère, la seule personne à qui je puisse confier ces malheureux. Il lui faut une minute pour les reconnaître, dans l’état où ils sont, et elle affiche alors une expression consternée. Non pas du fait de voir des personnes maltraitées de cette manière, elle en recevait tous les jours au district Douze, mais parce qu’elle réalise que ce genre de choses se déroule dans le Treize également.

ilovethehost.overblog.com

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— Toujours en vie, je murmure en me tenant le visage à deux mains.

Mon sourire est si large qu’il doit ressembler à une grimace.

ilovethehost.overblog.com

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Extrait ajouté par Loumiel 2013-07-05T10:36:02+02:00

J'ai l'impression d'avoir fermé les yeux quelques minutes à peine, mais quand je les rouvre, je sursaute : Haymitch est assis à mon chevet. Il patiente. Peut-être depuis des heures, si j'en crois l'horloge. J'envisage de crier pour qu'on vienne, mais il faudrat que je l'affronte tôt ou tard.

Il se penche vers moi et m'agite sous le nez un petit objet suspendu à un mince câble blanc. j'ai du mal à faire le point dessus, mais je devine aussitôt de quoi il s'agit. Il laisse tomber l'objet sur mon lit.

-Voilà ton oreillette. Je te laisse une dernière chance de la porter. Si tu l'enlèves encore une fois, je te ferais équiper de ça.

Il brandit une sorte de casque audio en métal que je baptise aussitôt l'entrave crânienne.

-C'est une unité télécom autonome qui se verrouille autour du crâne et du menton. Et je serais la le seul à posséder la clef.Si tu réussis je ne sais comment à la désactiver... (Haymitch jette l'entrave crânienne à côté de l'oreillette et sort une minuscule puce argentée)... je les autoriserai à t'implanter ce transmetteur dans l'oreille de manière à pouvoir te parler vingt-quatres heures sur vingt-quatre.

Haymitch jour et nuit dans ma tête. L'horreur. Je grommelle :

-Je garderai l'oreillette.

-Pardon?dit-il.

-Je garderai votre foutue oreillette ! Dis-je d'une voix assez forte pour réveiller la moitié de l'hôpital.

-Tu es sûre? Parce que les deux autres solutions me conviennent aussi bien.

-Oui, je suis sûre. (Je ramasse l'oreillette et lui jette son entrave crânienne à la figure, mais il l'attrape au vol. Il devait s'attendre à ma réaction.) Autre chose ?

Haymitch se lève pour prendre congé.

-En attendant que tu te réveille, j'ai mangé ton déjeuner.

Je baisse les yeux sur le bol de ragoût vide au milieu du plateau sur ma table de chevet.

Je grogne dans mon oreiller :

-Je vais vous dénoncer.

-Ne te gêne pas, chérie.

Il quitte la pièce, sachant parfaitement que je ne suis pas du genre à moucharder.

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Extrait ajouté par Alwenna 2013-06-28T15:48:28+02:00

Les gens n'ont pas besoin d'ailes pour survivre.

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Extrait ajouté par anonyme 2013-06-28T11:19:30+02:00

Je veux dire aux rebelles que je suis en vie. Je suis là, dans le district Huit, où le Capitole vient de bombarder un hôpital rempli d'hommes, de femmes et d'enfants désarmés. Il n'y a pas de survivants.

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Extrait ajouté par lulu02 2013-06-11T17:48:32+02:00

- Tu aurais pu t'épargner cette peine. Elle n'est pas là,lui dis-je. ( Buttercup m'adresse un nouveau feulement.)Elle n'est pas là.Tu peux feuler autant que tu veux. Ce n'est pas sa qui ramènera Prim.

Le nom de sa maitresse lui fait dresser la téte et pointer les oreilles. Il pousse un miaulement plein d'espoir.

- Dehors! ( Il évite le coussin que je lui jette.)Fiche-moi le camp! Il n'y a rien pour toi ici ! (Je commence à trembler, furieuse contre lui.)Elle ne reviendra pas. Elle ne reviendra jamais!

J'attrape un autre coussin et je me léve pour mieu viser. Des larmes surgies de nulle part me coulent sur les joues.

-Elle est morte.(Je me prend le ventre a deux mains pour atténuer la douleur. Je me laisse tomber à genoux, en serrant le coussin contre moi et en pleurant.)Elle est morte, saleté de chat! Elle est morte.

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Je leur apprendrai comment je survis . Je leur dirai que certains matins , je n'ose plus me réjouir de rien de peur qu'on me l'enlève . Et que ces jours-là, je dresse dans ma tête la liste de tous les actes de bonté auxquels j'ai pu assister . C'est comme une jeu . Répétitifs . Un peu lassant , même , après plus de vingt ans.

Mais j'ai connue des jeux bien pires.

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Peeta dit que tout ira bien. Nous sommes ensemble.Et nous avons le livre. Nous saurons leur expliquer d'une manière qui les rendra plus courageux. Mais un jours, il faudra bien leur parler de mes cauchemars.D'ou ils me viennent.Pourquoi ils ne s'effaceront jamais complètement.

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Nous continuons à plumer nos oiseaux en silence. Puis il m'annonce:

-J'ai vu Peeta hier. A travers le miroir sans tain.

-Qu'est-ce que tu en as pensé?

-Quelque chose d’égoïste, m'avoue Gale.

-Que tu n'avais plus à être jaloux de lui?

J'arrache une poignée de plumes d'un coup sec, et un nuage de duvet flotte autour de nous.

-Non. tout le contraire, dit Gale e m'ôtant une petite plume que j'avais dans les cheveux, Je me suis dit... que je ne pourrais jamais rivaliser avec ça. Quelles que soient mes souffrances; (Il fait tourner la plume entre son pouce et son index.) je n'aurai aucune chance s'il ne guérit pas. Tu ne pourras jamais l'oublier. Tu te sentirais toujours coupable d'être avec moi.

-Comme je me suis toujours sentie coupable de l'embrasser, à cause de toi, dis-je.

gale soutient mon regard.

-Si je croyais une seule seconde que c'est vrai, je pourrais presque accepter tout le reste.

-C'est vrai, dis-je, Mais ce que tu as dit à propos de Peeta l'est aussi.

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