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Il posa doucement une main sur ma joue et juste après, je le regardai poser ses lèvres contre les miennes. Elles étaient douces, tendres, il embrassait divinement bien. Je lui retournai son baiser, me laissant aller à son envie qui faisait augmenter ma fièvre. J’échappai un frémissement lorsque je sentis qu’il mordillait ma lèvre inférieure avant de laisser une traînée de baisers sur mon menton, ma mâchoire puis en descendant vers mon cou. Ses doigts délicats écartèrent une mèche qui recouvrait mon oreille pour mieux dévorer mon cou.

— Pourquoi il n’y a plus cette barrière entre nous ? soufflai-je tout en gardant les yeux fermés.

Il ne répondait pas.

Hé merde, je compris aussitôt, c’était un rêve !

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• Tes manières de fille parfaite qui ne commet pas de crime ou d’infraction s’arrêtent ce soir.

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Keeper était un village rempli de mystère et j’allais assurément tout faire pour découvrir ce qui se passait ici. Après des cauchemars, des moments où je m’endormais n’importe où, il y avait Jackson, un type qui était devenu étrange avec moi en apprenant que j’étais une Sawyer et, pour finir, il y avait River, encore plus troublant celui-là.

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(Chapitre 32 / Madison & River)

— Hum... dis-moi, c'est comment... c'est comment l'enfer ?

Il ferma lentement le livre puis me contempla. Au bout de quelques longues secondes, il dévia le regard et marcha jusqu'au bord du toit, il était si près qu'il pouvait tomber.

— C'est... froid. On est seul. Complètement seul. J'arrive à voir et à entendre tous les autres, mais je ne les vois pas. Ils sont autour de moi, j'entends leurs murmures. Leurs cris. Leurs délires. Je n'arrive pas toujours à voir mon frère. Il est comme une ombre qui flotte et je suis la même chose pour lui. Mais parfois, quand on arrive à être très proches, j'arrive à le voir. Comme quand je suis allé chez toi et que tu as dit mon nom, je suis venu, et Ayzen était au même endroit, alors il était flou, je pouvais le voir. En plus, de l'autre côté, les images de notre mort tournent en boucle dans notre tête. Ce qui veut dire que je revois et que je ressens régulièrement le moment où j'ai perdu la vie. Quand ça se produit, je fais une sorte de crise d'épilepsie. En plus, on souffre de faim. On ressent très bien le besoin de boire et de manger et pourtant, c'est comme si tous les jours on mourait déshydraté ou de faim sans pouvoir étancher cette soif. C'est comme être vivant, mais enfermé dans une forêt glaciale à mourir jour après jour. À entendre tous les autres à s'en rendre fou. Mais se sentir complètement seul. Seul pour toute l'éternité. Mais depuis t'es là... je peux te toucher, je peux discuter, je peux te voir et tu me vois... C'est indescriptible. Tu as le don de pouvoir voir tous les morts autour de toi. Mais ils ne t'approchent pas alors tu ne portes pas attention à eux. Si tu t'immerges complètement dans mon monde, tu verras tout... Mais je ne te suggère pas de le faire... tu pourrais être bouleversée.

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(Chapitre 15 / Madison & River)

— Tu dis n'importe quoi. Et puis bien joué, la tentative de changer de sujet. Tu m'as droguée et déshabillée. Donne-moi une bonne raison de ne pas appeler les flics.

— Ma-di-son, fit-il en détachant les syllabes de mon nom tout en penchant la tête sur le côté. Ne fais pas semblant d'être choquée pour des somnifères administrés à ton insu. Le mal coule dans tes veines. Contrairement à toi, je suis un ange. T'es bien pire. Je suis même surpris : tu caches bien ce côté de ta personnalité, même si tu n'as plus de mémoire. Parce que moi je sais que le danger t'attire. Tu ne seras jamais du genre à appeler les flics pour quoi que ce soit. T'as passé trop de temps avec les humains barbants et ennuyeux. On dirait que t'es devenue comme eux. Pauvre Satan, il serait déçu de toi...

— Toi qui penses me connaître, tu te trompes... Et... quoi ? Qu'est-ce que t'as dit ? Satan ?

— Yep.

River mordilla sa lèvre de manière aguicheuse tout en retenant un sourire mesquin. Définitivement, cela lui plaisait de m'énerver.

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—T’es trop mignonne quand tu te fâches.

Ses yeux tombèrent pour reluquer mes cuisses et son sourire grandit.

—T’avais grand besoin d’une bonne nuit de sommeil.T’étais à la masse.

—Dis-moi que tu plaisantes ? Parce que sinon, bien sûr, quand les gens sont fatigués, on les drogue, c’est tout à fait naturel ! C’est tellement galant de ta part, merci de te soucier de moi comme ça !

—Il n’y a pas de quoi.

J’allai prendre le verre sur la table de chevet. Après avoir dévisagé River, j’examinai le fond d’eau sous la lumière du jour. Il y avait effectivement des résidus blancs, comme une sorte de poudre.

—Seigneur.

—Le Seigneur n’a rien à y voir. Tu devrais arrêter de constamment implorer les ô Seigneur et ô mon Dieu. Sortant de la bouche d’une sataniste, c’est plutôt inédit…

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