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Extrait ajouté par Melodie-26 2022-02-08T01:55:32+01:00

« -Tu as fini de me hurler dessus?

-Non.

-Quelle femelle susceptible tu fais…

-Et toi quel sale con.

-Je suis Hybride, je sais ce que je veux. »

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Extrait ajouté par Melodie-26 2022-02-08T01:54:56+01:00

« -Je suis Hybride. Je ne remets pas mon instinct en cause, je m’y fie et j’ai eu raison : plus je te connais, plus tu me plais. Tu es mienne et j’en suis ravi. »

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Extrait ajouté par Sombre_grimoire 2021-11-20T14:21:22+01:00

- Qu'est-ce que tu fais ?

Elle se figea et le dévisagea.

- Ben je me sers... enfin j'essaie.

- Je veux ça. Prends le poisson.

Elle observa l'autre assiette géante : trois types au moins de poissons, avec riz et légumes sautés.

- Je ne mange pas de poisson.

- Je veux ça, répéta-t-il.

Elle lui gifla la main quand il voulut se saisir de ce qu'elle avait choisi.

- La prochaine fois, c'est le couteau que je te plante dans la main si tu essaies de me piquer mon assiette. Je suis ici contre ma volonté. Le moins que tu puisses faire, c'est me laisser choisir ce que je mange.

Il fit la grimace mais retira son immense battoir.

- Tu es mal élevée.

- Parce que je suis à bonne école.

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Extrait ajouté par Melodie-26 2022-02-08T01:56:03+01:00

« -… C’est un macho, un enfant gâté limite malpoli… mais aussi un type incroyablement doux et sexy. »

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Extrait ajouté par mythik 2021-11-20T14:13:09+01:00

Tout le règne animal la haïssait. Jadis malade à cette idée, elle avait cessé de s'en faire quand les rongeurs s'étaient mis à l'attaquer. Trop, c'était trop.

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Extrait ajouté par LizzyNilde 2021-11-19T15:46:28+01:00

— Balivernes, ma vieille. T’as juste joué de malchance.

— Ouais, tu me l’as déjà sortie, cette excuse-là. C’était pile avant de me présenter ce gentil petit chaton que les Johnson venaient d’adopter et qu’ils avaient emmené au resto. Tu te rappelles ce qui s’est passé ?

La jeune mariée hocha la tête.

— Il a craché et a voulu te sauter dessus.

— Les animaux me détestent, déclara Mary en haussant les épaules.

— Pas les Hybrides, rétorqua Mel après un regard à la ronde. J’en ai même vu deux ou trois loucher sur ton décolleté. Faut dire que t’as du monde au balcon, à rester penchée comme tu le fais.

— C’est plutôt ma gorge qu’ils doivent mater.

Mel lui décocha ce regard irrité que Mary connaissait si bien.

— Tu ne crains rien. Ces gens sont vraiment… humains. Oublie qu’ils ont des crocs, meuf. Et tiens-toi droite comme ta maman a dû te le seriner un million de fois. Allez, du nerf !

— Ma mère ne m’a jamais dit ça.

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Extrait ajouté par Sombre_grimoire 2021-11-19T15:02:32+01:00

- Je ne suis PAS à toi, arrête de le répéter en boucle ! Je n'ai rien d'un petit animal qu'on adopte parce qu'il est entré par hasard.

Il grogna en sourdine.

- Si. La preuve, je l'ai fait.

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Extrait ajouté par Saya80 2021-11-18T16:56:31+01:00

L’homme-lion ne percuta pas Mary mais celle-ci l’entendit respirer. Il semblait tout proche… Puis elle sentit le souffle chaud de l’Hybride dans son cou. Un peu de sa chevelure hirsute lui caressa la joue. Elle gémit.

Il devait être en train de choisir le meilleur endroit où mordre afin de provoquer la plus grosse hémorragie possible.

Il la renifla de nouveau et grogna plus fort. Cela tenait plus du grondement.

Mary geignit encore, bien en peine de crier. Son corps ne lui obéissait plus à pareil degré de terreur. Elle s’étonna de ne pas se pisser dessus puis se souvint qu’elle était allée aux toilettes avant d’essayer de fuir.

L’homme-lion baissa la tête ; sa toison soyeuse lui effleura la joue de plus belle.

Puis il s’écarta brusquement.

Les secondes s’égrenèrent une à une… jusqu’à ce qu’elle sente quelque chose appuyer sur sa robe.

Des doigts brûlants. Sur les côtés de sa poitrine.

Cela la mit suffisamment en émoi pour qu’elle rouvre les yeux et tourne un peu la tête.

Elle le regretta aussitôt. L’homme-lion, penché sur elle, ne la touchait qu’avec ses immenses battoirs. Ceux-ci étaient plaqués de part et d’autre de ses seins dont son décolleté plongeant dévoilait une bonne partie. Il ne la dévisageait pas mais louchait sur sa poitrine avec l’air mauvais.

Il déchira sa robe sans crier gare.

En voyant tous les boutons céder, Mary parvint presque à hurler. Sa bouche s’ouvrit mais quand il releva la tête, le regard couleur or lui cloua le bec. Elle cessa même de respirer.

Il grogna et repencha la tête puis se baissa un peu tout en s’acharnant sur sa robe.

Les lions étaient réputés pour éventrer leurs proies. Mary était certaine de l’avoir lu ou entendu.

Après lui avoir dénudé l’estomac, l’Hybride ajusta la position de son immense carcasse jusqu’à ce que son visage flotte au-dessus du ventre de la jeune femme.

Elle geignit en le voyant ouvrir la bouche. Quelle horrible façon de mourir. À petit feu. L’égorgement aurait été bien plus rapide.

Il renifla de plus belle et lâcha les pans de sa robe avec ses mains effroyablement grandes. Elles étaient normales… sauf que la lumière qui émanait de la cascade était suffisante pour constater qu’elles n’étaient pas entièrement celles d’un être humain : ses doigts étaient excessivement poilus.

De la fourrure. C’est de la fourrure. Pauvre de moi !

Le colosse plaqua une paume sur son ventre. Mary hoqueta. Ça n’était pas douloureux mais il appuyait avec assez de force pour que le geste soit tout sauf doux. Ses doigts se replièrent ; elle sentit ses ongles pointus lui effleurer la peau. Cela non plus, ne faisait pas mal, bien qu’elle sente chaque pointe distinctement.

Il n’allait pas la mordre, non. Plutôt l’éventrer à coups de griffes pour accéder aux organes internes.

L’homme-lion baissa encore la tête et lui renifla l’estomac. Mary songea qu’il hésitait : quel morceau était le plus savoureux ?

Quand il bougea plus bas, elle put constater que sa robe était entièrement ouverte. Elle gisait en petite tenue.

Le monstre se pencha encore et renifla sa culotte blanche.

Pas là ! Miséricorde… Tue-moi avant de me mordre ou de m’éventrer à cet endroit !

Il s’approcha. Sa chevelure-crinière vint lui effleurer le ventre.

Elle gémit encore quand il appuya le nez contre son bassin.

L’Hybride grogna en réponse. Un son méchant, qui n’avait rien de joyeux. Il redressa un peu la tête de façon à la fusiller du regard. Et remonta un peu le long de son corps de femme.

Il est en partie humain.

Elle s’efforçait désespérément de dépasser ses peurs. Il avait l’air humain, et en même temps… pas du tout. Sa silhouette était quand même celle d’un homme en dépit de la crinière, de la fourrure sur sa poitrine, sur ses doigts, et des traits bestiaux de son visage. Et Mary était prête à tout pour survivre…

Aussi leva-t-elle lentement le bras. Il s’en rendit compte et loucha sur cette main. Qui tremblait violemment quand elle commença à lui caresser le torse.

C’était bel et bien de la fourrure. Dont la texture l’étonna. Elle n’avait pas caressé beaucoup d’animaux, ceux-ci ayant tendance à vouloir la mordre. Lui aussi risquait de le faire, mais à ce stade, autant risquer le tout pour le tout.

Gentil minou. Elle l’aurait volontiers dit à voix haute, sauf que cela risquait de se traduire par une effusion de sang. Le sien.

Sa pilosité thoracique était courte et hyper douce. Elle continua à le caresser. Gentil minou. Gentil minou énorme et bien flippant.

Elle arrêta son geste quand un bruit fort émana du torse de lutteur. Il lui fallut une seconde pour comprendre qu’il ronronnait.

Pleine d’espoir, elle se remit à le caresser.

Ne me tue pas, gentil minou.

Continuant à ne pas griffer ni mordre, il ronronnait tout en l’observant avec ses yeux d’or qui peupleraient à jamais les cauchemars de la jeune femme à la condition qu’elle survive.

Un plan germait dans sa tête. Mel avait plaisanté sur les deux choses que Neige préférait dans la vie : la nourriture et le sexe.

Or Mary se refusait à lui servir d’en-cas…

Elle porta un regard rapide sur lui et faillit se raviser. Il était vraiment le type le plus massif qu’elle ait vu. Cent cinquante kilos au bas mot. Ses yeux s’attardèrent sur les parties du corps de l’Hybride qu’elle pouvait voir. Il n’avait pas une once de gras.

Que du muscle et des os massifs.

Mary continua à lui caresser le torse. C’était facile : sa main tremblait tellement qu’il suffisait presque qu’elle se colle à lui.

Pouvait-elle faire en sorte qu’il la trouve plus appétissante en tant que femme qu’en tant que repas ? S’il était plus lion qu’homme, c’était baisé d’avance, mais pas dans l’acception sexuelle du terme. Quoiqu’à la réflexion, il devait être capable de la tuer en forniquant…

Il l’observait toujours et faisait moins pression avec ses doigts griffus. Elle se prit à espérer, ravala la boule qui s’était formée dans sa gorge et tenta de parler.

— Ne me fais pas de mal, par pitié.

Le ronronnement se mua en grognement.

Tais-toi ! Ne dis plus rien.

On disait de certaines personnes qu’elles murmuraient à l’oreille des chiens ou des chats. Il était possible qu’elle soit l’inverse et que sa voix pousse les animaux à attaquer. Une de ses tantes possédait le rire le plus agaçant de la planète. Chaque fois que cette femme se mettait à grogner et s’étouffer, soit ce à quoi ressemblait son rire, Mary avait envie de lui tordre le cou.

Aussi se remit-elle à le caresser, cette fois à deux mains. Il la regarda faire et ronronna de plus belle. C’était bon signe, songea-t-elle. Si elle insistait jusqu’à ce que Mel balance son bouquet, celle-ci l’appellerait et, en l’absence de réponse, enverrait Neige la secourir. Encore fallait-il qu’elle reste en vie dans l’intervalle.

Mary se calma un peu puisqu’il ne la tuait pas. Elle décida de recourir à ses ongles pour lui grattouiller la toison. L’Hybride ferma les yeux et ses traits durs s’adoucirent, comme s’il appréciait ce contact.

Le moral de Mary grimpa en flèche. Peut-être pourrait-elle l’endormir puis décamper. Il existait forcément un moyen de sortir du sous-sol !

Elle s’enhardit et caressa une zone plus large. Un téton, griffé par inadvertance, pointa aussitôt. L’homme-lion rouvrit les paupières, la regarda droit dans les yeux et continua à ronronner. Ils s’observaient de très près.

Mary, tentée de répéter sa supplique, préféra garder le silence. Il ne semblait pas aimer sa voix. Elle apprenait vite, surtout quand sa propre vie était en jeu. Il aimait qu’elle le grattouille ? OK, elle était prête à le faire jusqu’à ce que les secours arrivent.

Le plan était parfait… sauf que l’homme-lion décida de bouger. Elle tenta timidement de l’en empêcher en plaquant les mains sur son torse mais il réagit en glissant vers le bas et en la saisissant aux poignets. L’instant suivant, elle ne vit plus son visage – parce qu’il l’avait niché au creux de son soutien-gorge.

Le reniflement recommença.

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