Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 593
Membres
1 013 051

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par IceDoll

Extraits de livres par IceDoll

Commentaires de livres appréciés par IceDoll

Extraits de livres appréciés par IceDoll

Mes écrivains préférés sont ceux qui ont déclaré ne pouvoir vivre sans écrire: John Steinbeck, Ernest Hemingway, Robert Frost, des types pour qui l'écriture était aussi nécessaire que l'air et l'eau. Ecrire ou mourir. Cette devise me convient. Car j'en suis là. Ecrire ou mourir.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 22-09-2014 par Titie
Clarke se sent fondre dans ses bras et s'abandonne tout entière au baiser.
Un baiser qui a un goût de joie, et la joie a meilleure goût sur Terre.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Exemples de textos de rupture
[...]
Le faux cul : "Je ne te mérite pas"
Le Star Wars : "C'est fini car...je suis ton père"
Le Terminator : "C'est fini but I'll be back"
Le Lara Fabian : "Tout, tout, tout est fini entre nous"
Le geek : "Game over !"
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
La morale de cette histoire est qu’on oublie les choses qui sont vraiment arrivées. Le souvenir les remplace. La deuxième morale de cette histoire, si tant est qu’une histoire puisse avoir plusieurs morales, est que les Largueurs ne sont pas pires que les Largués. Une rupture n’est pas le fait de quelqu’un qui vous l’impose, elle se fait à deux.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Bellamy plunged into the lake and closed the distance between them with a few powerful strokes. He'd boasted about teaching himself to swim during his treks to the stream, and for once, he hadn't been exaggerating.
He disappeared under the water, just long enough for Clarke to feel a flicker of worry. Then his hands grasped her wrist, and she squealed as he spun her around, expecting him to splash her in retaliation. But Bellamy just stared at her for a moment before raising a hand and running his finger along her neck. "No gills yet", he said softly.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Règle n°18 : On assumera de pleurer devant les téléfilms de M6… Surtout ceux de Noël.
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
Autant la femme parfaite est une connasse, autant le prince charmant est un connard !
Car à l'instar de la femme parfaite... il n'existe pas.
Avez vous apprécié cet extrait ? +11
Règle N°30 :

On ne dira plus : "J'ai un gros cul"
MAIS
"J'ai le même cul que Jennifer Lopez"
Avez vous apprécié cet extrait ? +26
Conseils à suivre pour survivre à un mariage:
- Ne pas être plus belle que la mariée, sauf si on la déteste.
- Commencer à boire assez tôt, ça passera plus vite (mais en évitant quand même d'être bourrée au vin d'honneur).
- Éviter d'aborder les thèmes épineux lors du discours, tels que:
_ La vie sexuelle antérieure de la mariée.
_ L'ambiguïté sexuelle du marié.
_ La Shoah.
Avez vous apprécié cet extrait ? +16
Jésus a attendu 3 jours avant de ressusciter ! 4 c'était trop, 2, pas assez.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
date : 20-02-2012 par Megami
Pour la foule, qui a trop de têtes pour avoir une pensée et trop d'yeux pour avoir un regard, pour la foule qui, surface elle-même, s'arrête aux surfaces, Gwynplaine était un clown, un bateleur, un saltimbanque, un grotesque, un peu plus et un peu moins qu'une bête. La foule ne connaissait que le visage.
Pour Déa, Gwynplaine était le sauveur qui l'avait ramassée dans la tombe et emportée dehors, le consolateur qui lui faisait la vie possible, le libérateur dont elle sentait la main dans la sienne en ce labyrinthe qui est la cécité. Gwynplaine était le frère, l'ami, le guide, le soutien, le semblable d'en haut, l'époux ailé et rayonnant, et là où la multitude voyait le monstre, elle voyait l'archange.
C'est que Déa, aveugle, apercevait l'âme.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
-Vous vous êtes servi de moi.
-Que voulez-vous dire ?
-Que j’ai espionné pour vous, menti pour vous, que j’ai couru des dangers mortels pour vous. Tout cela pour assurer la sécurité du fils de Lily Potter. Et maintenant, vous m’annoncez que vous l’avez élevé comme un porc destiné à l’abattoir…
-Voilà qui est très émouvant, Severus, remarqua Dumbledore d’un ton sérieux. En êtes-vous venu à éprouver de l’affection pour ce garçon ?
-Pour lui ? s’écria Rogue. Spero Patronum !
De l’extrémité de sa baguette jaillit alors une biche argentée. Elle atterrit sur le sol, traversa la pièce d'un bond, et s'envola par la fenêtre. Dumbledore la regarda s’éloigner et lorsque sa lueur d’argent se fut évanouie, il se tourna à nouveau vers Rogue, les yeux pleins de larmes.
-Après tout ce temps ?
-Toujours, dit Rogue.
Avez vous apprécié cet extrait ? +50
Ça c’est, pour moi, le plus beau et le plus triste paysage du monde. C’est le même paysage que celui de la page précédente, mais je l’ai dessiné une fois encore pour bien vous le montrer. C’est ici que le petit prince a apparu sur terre, puis disparu. Regardez attentivement ce paysage afin d’être sûrs de le reconnaître, si vous voyagez un jour en Afrique, dans le désert. Et, s’il vous arrive de passer par là, je vous en supplie, ne vous pressez pas, attendez un peu juste sous l’étoile ! Si alors un enfant vient à vous, s’il rit, s’il a des cheveux d’or, s’il ne répond pas quand on l’interroge, vous devinerez bien qui il est. Alors soyez gentils ! Ne me laissez pas tellement triste : écrivez-moi vite qu’il est revenu…
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
- Inutile, grommela-t-il d'un air sombre. Je me fie à ta parole. Marché conclu?
- Tope là, dit Jack.
Ils se serrèrent la main.
- Je t'embrasserais bien, plaisanta Jack, si je n'avais pas peur que ça colle.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
- Crois moi, reprit-il. Si tu portes cette robe, tu ne le regretteras pas. Elle a été faite pour toi.
- Comment peux-tu t'y connaitre autant en vêtements féminins ?
Lucius sourit avec malice.
- C'est bon. Épargne-moi les détails.
Avez vous apprécié cet extrait ? +15
"-Que fais-là, Jess ?
-Peut-être qu'elle veut ses casseroles, se moqua Faith.
Tu sais, pour faire cuire ses lèvres.
-On ne sent même plus l'odeur du lièvre,rétorquai-je.
L'odeur de l'eau oxigénée est tellement forte. Tu devrais faire attention avec les décolorants, Faith, ou tu vas finir chauve.
_Ca pourais être pire, lanca t-elle en désignant ma coiffure. Il vaut mieux être chauve qu'avoir une tête de caniche*.
-Je préfère avoir une tête de caniche qu'être une vraie chienne."

*car elle a les cheveux frisées.

( Tirés de la page 306-307 )
Avez vous apprécié cet extrait ? +16
- Tu étais vraiment la plus jolie créature que j'avais jamais vue, ce soir, murmura-t-il avec douceur. Lorsque j'ai dansé avec toi... et lorsque je t'ai vue partir, la tête haute, sans te retourner pour me regarder, disparaissant dans la foule... Peu importante où tu vivras ou qui tu choisiras d'épouser, Antanasia, tu seras toujours une princesse. Et je garderai en mémoire cette image de toi, tout comme je n'oublierai jamais comme tu as pleuré pour moi lorsque j'étais à l'agonie, étendu sur la table de la salle a manger. Ce sont deux cadeaux que tu m'as faits, et je les garderais toujours avec moi, aussi longtemps que je le pourrai.
Lucius referma la porte derrière lui, et, malgré la douceur de ses dernières paroles, je tremblai dans le noir.
Avez vous apprécié cet extrait ? +20
Lucius attrapa mon poignet. La pression était forte et sa peau très froide.
- Jessica... serait-ce de la viande ? Et l'interdiction de tes parents...
- Ce que papa et maman ne savent pas ne peut pas leur faire de mal. Alors ne dis rien, l'avertis-je, tout en repoussant sa main pour faire avancer mon plateau.
Je frottai mon poignet pour le réchauffer.
- Petite indisciplinée, lança Lucius avec un sourire conquis. J'approuve totalement.
Avez vous apprécié cet extrait ? +33
[...]
(America & Maxon).
- Maxon, ce n'était pas de la comédie. Si vous m'aviez demandé mon avis il y a un mois, la réponse aurait été très différente. Je vous connais à présent, et j'ai parlé en toute bonne foi. En toute sincérité.
- Merci alors, répond-il avec un petit clin d'oeil.
- De rien.
- Il aura de la chance, lui aussi.
- Pardon ?
- Votre fiancé. Quand il reviendra à la raison et vous suppliera de le reprendre.
- Ce n'est pas mon fiancé. Et il a fait une croix sur moi, il a été très clair là-dessus.
- Impossible. Il vous aura vue au bulletin ce soir, il s'en sera mordu les doigts. Même si, à mon sens, il ne vous mérite pas.
Maxon s'exprime sur un ton las et découragé, comme s'il avait vu cette situation se reproduire des milliers de fois.
- Et j'y pense, ajoute-t-il, si vous voulez éviter que je tombe amoureux de vous, cessez donc d'être aussi jolie. Dès demain matin, j'ordonne à vos chambrières de vous coudre des robes de bure.
- Arrêtez, Maxon.
- Je ne plaisante pas. Vous êtes beaucoup trop belle, c'est très dangereux. Lorsque vous quitterez le palais, nous serons dans l'obligation de vous attacher des gardes du corps. Vous ne survivrez jamais livrée à vos propres moyens, ma pauvre petite.
- Je n'y peux rien si je suis née parfaite.
Et je fais mine de m'éventer, comme si tout cela - la beauté, la perfection, l'intelligence - m'épuisait.
- Non, vous avez raison.
J'éclate de rire. Maxon a toujours l'air grave. Du coin de l'oeil, je remarque qu'il ne me quitte pas du regard. Lorsque je me tourne vers lui pour lui demander ce qui le captive autant, son visage n'est qu'à quelques millilètres du mien.
Et il m'embrasse, sans crier gare.
Je m'écarte aussitôt, surprise. Maxon recule lui aussi.
- Excusez-moi, marmonne-t-il, rouge comme une tomate.
- Mais qu'est-ce qui vous prend ?
- Pardon.
- Vous êtes tombé sur la tête ?
- C'est juste que... avec ce que vous avez dit tout à l'heure... et votre attitude de plus en plus amicale... j'ai cru que vos sentiments à mon égard avaient changé. Et je vous apprécie, je pensais que vous l'aviez compris. Et... c'était si terrible que ça ? Vous avez l'air catastrophée.
J'essaie d'arborer une expression neutre. Maxon semble avoir envie de s'enfoncer six pieds sous terre.
- Je suis navré. C'est mon tout premier baiser. Je ne sais pas quelle mouche m'a piqué, souffle-t-il. En fait... je vous demande d'accepter mes plus plates excuses, America.
Une chaleur inattendue s'empare soudain de moi. Son premier baiser, c'est à moi qu'il a voulu le donner.
Oui, je le reconnais, j'ai encore des sentiments pour Aspen. Je ne peux pas l'oublier en un claquement de doigts. Mais notre couple n'est plus qu'un amer souvenir et plus rien ne m'empêche de réserver à Maxon une place dans mon coeur. A part mes préjugés, peut-être. Des préjugés balayés par la réalité.
J'effleure son front de ma main.
- Que faites-vous ?
- J'efface de votre mémoire ce baiser raté. Je suis sûre qu'on peut mieux faire.
- America, on ne peut pas défaire ce qui a été fait, malheureusement.
- Bien sûr que si. Qui le saura, à part vous et moi ?
Maxon scrute mes traits, visiblement tiraillé. Je vois l'assurance gagner petit à petit son visage. Nous restons ainsi un long moment, les yeux dans les yeux, et je chuchote :
- Je n'y peux rien si je suis née parfaite.
Maxon s'approche de moi et m'enlace par la taille. Son nez chatouille le mien. Du bout des doigts, il frôle ma joue avec une délicatesse telle qu'on croirait qu'il a peur de me briser.
- Non, c'est vrai. Ce n'est pas de votre faute.
Les mains sous ma nuque, Maxon dépose un baiser sur mes lèvres, aussi léger qu'un murmure.
Un je-ne-sais-quoi de timide, d'hésitant, me fait chavirer. Sans qu'une seule parole circule entre nous, je sens une vague de nervosité le parcourir. Au plus profond de moi, je comprends qu'il m'adore.
C'est donc ça, être une princesse.
Au bout d'un moment, Maxon me relâche.
- C'était mieux ?
Je hoche la tête, muette. Maxon semble à deux doigts d'exécuter un saut périlleux.
- Puis-je ajouter quelques mots ? Je ne suis pas stupide au point de croire que vous avez complètement gommé votre ancien amour. Je sais quelles épreuves vous avez traversées, je sais que vous n'êtes pas arrivée là via un processus normal et je ne veux pas vous forcer la main. J'aimerais juste... savoir s'il serait possible...
Question épineuse. Suis-je prête à vivre une vie qui ne m'a jamais fait rêver ? à le regarder donner leur chance à d'autres filles afin d'être sûr de son choix ? à assumer des responsabilités énormes ? à aimer Maxon ?
- Oui, Maxon. C'est possible.
Avez vous apprécié cet extrait ? +203
- Bienvenue, m'annonça Lucius en ouvrant la porte de son appartement. Il fit un pas en arrière pour me permettre d'entrer. Tu es ma première invitée.
- Merde alors.
- Voilà une réaction qui fait plaisir, dit Lucius après avoir refermé la porte. C'est très élégant de la part d'une dame.
Avez vous apprécié cet extrait ? +70
- Tiens, tiens... fit Norrington. Jack Sparrow, n'est ce pas ?
- CAPITAINE Jack Sparrow, pour être précis, minauda Jack.
- Mais je ne vois pas votre navire, capitaine ? ironisa le commodore.
- Je suis sur le marché. Depuis peu.
- Il a dit qu'il était venu en réquisitionner un, dit l'un des gardes.
- Tu vois qu'il disait la vérité, intervint son compagnon. Ça c'est à lui, monsieur, ajouta-t-il en ramassant le ceinturon et le pistolet de Jack, qui voulut s'avancer pour les récupérer.
Norrington les examina et ricana.
- Pas de balle en réserve... Pas de poudre... Un compas qui ne fonctionne pas... Et je m'attendais presque à une épée en bois, conclut-il en dégainant l'arme de Jack, qui sourit piteusement. Vous êtes sans nul doute le pirate le plus pitoyable dont j'aie jamais entendu parler, se moqua-t-il.
- Ah, mais au moins, vous avez entendu parler de moi, plaisanta Jack.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
- Merci du fond du cœur, Jack, dit Barbossa avec un déplaisant sourire.
- Mais de rien, répondit Jack, pincé.
- Pas toi, dit Barbossa. C'est le singe qu'on a appelé Jack !
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
date : 16-08-2011 par Pamie
Puisse-t-elle se réveiller dans les tourments ! s'écria t-il avec une terrifiante violence en tapant du pied et en gémissant, en proie à une soudaine passion incontrôlable, poussée à son paroxysme. Elle a menti jusqu'au bout ! Où est-elle ? Elle n'est pas là... Elle n'est pas au ciel... Elle n'est pas morte... Où est-elle alors ? Oh ! Tu disais que tu te moquais de mes souffrances ! Et moi, je fais un prière, un seule, que je répéterai jusqu'à ne plus pouvoir bouger la langue... Catherine Earnshaw, puisses-tu ne jamais trouver le repos tant que je vivrai ! Tu as dis que je t'avais tuée... Reviens me hanter, alors ! Les morts hantent leurs meurtriers. Je crois... Je sais que des fantômes ont erré sur terre. Ne me quitte pas... Prends n'importe quelle forme... Rends-moi fou ! Mais ne m'abandonne pas dans cet abîme où je ne peux te trouver ! Oh, mon Dieu ! C'est indescriptible ! Je ne peux pas vivre sans ma vie ! Je ne peux pas vivre sans mon âme !

Il se frappa la tête contre le tronc noueux et, levant les yeux, hurla, non pas comme un homme, mais comme une bête sauvage qu'on larde jusqu'à la mort de coups de couteau et d'épieu.
Avez vous apprécié cet extrait ? +25
Il y eu un grand fracas lorsque les crochets du Basilic tombèrent en cascade des bras d'Hermionne. Se ruant sur Ron, elle lui passa les bras autour du cou et l'embrassa en plein sur la bouche. A son tour, Ron lâcha les crochets et le balai qu'il tenait entre les mains et lui rendit son baiser avec tant de fougue qu'il la souleva de terre.
-C'est vraiment le moment ? interrogea Harry d'une voix timide.
Voyant que sa question n'avait d'autre effet que de resserrer l'étreinte de Ron et d'Hermionne qui se balançait sur place en s'embrassant, il haussa le ton:
-Hé! Il y a une guerre en cours !
Avez vous apprécié cet extrait ? +59
date : 23-11-2011 par moumouthe
-On ne t'a jamais dit que les garçons ne pleurent pas? a dit Adam.
-J'ai récemment découvert quelque chose, ai-je réparti sans chercher à arrêter les larmes de roulaient sur mes joues. Les garçons ne pleure pas mais les hommes oui
Avez vous apprécié cet extrait ? +101
-Personne ne prendra de décision aujourd'hui, traduisit maman. Il est tard, et nous sommes tous fatigués et bouleversés. De plus, Lucius, Jessica n'est pas prête à envisager le mariage. Par chance, elle n'a même encore jamais embrassé un garçon.
Lucius me regarda avec un petit sourire narquois.
-Vraiment ? Aucun prétendant ? C'est scandaleux. J'aurais pensé que ton aptitude à manier la fourche attirerait des célibataires dans cette région de paysans.
Avez vous apprécié cet extrait ? +12


  • aller en page :
  • 1
  • 2

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode