Commentaires de livres faits par IceDoll
Extraits de livres par IceDoll
Commentaires de livres appréciés par IceDoll
Extraits de livres appréciés par IceDoll
Un baiser qui a un goût de joie, et la joie a meilleure goût sur Terre.
[...]
Le faux cul : "Je ne te mérite pas"
Le Star Wars : "C'est fini car...je suis ton père"
Le Terminator : "C'est fini but I'll be back"
Le Lara Fabian : "Tout, tout, tout est fini entre nous"
Le geek : "Game over !"
He disappeared under the water, just long enough for Clarke to feel a flicker of worry. Then his hands grasped her wrist, and she squealed as he spun her around, expecting him to splash her in retaliation. But Bellamy just stared at her for a moment before raising a hand and running his finger along her neck. "No gills yet", he said softly.
Car à l'instar de la femme parfaite... il n'existe pas.
On ne dira plus : "J'ai un gros cul"
MAIS
"J'ai le même cul que Jennifer Lopez"
- Ne pas être plus belle que la mariée, sauf si on la déteste.
- Commencer à boire assez tôt, ça passera plus vite (mais en évitant quand même d'être bourrée au vin d'honneur).
- Éviter d'aborder les thèmes épineux lors du discours, tels que:
_ La vie sexuelle antérieure de la mariée.
_ L'ambiguïté sexuelle du marié.
_ La Shoah.
Pour Déa, Gwynplaine était le sauveur qui l'avait ramassée dans la tombe et emportée dehors, le consolateur qui lui faisait la vie possible, le libérateur dont elle sentait la main dans la sienne en ce labyrinthe qui est la cécité. Gwynplaine était le frère, l'ami, le guide, le soutien, le semblable d'en haut, l'époux ailé et rayonnant, et là où la multitude voyait le monstre, elle voyait l'archange.
C'est que Déa, aveugle, apercevait l'âme.
-Que voulez-vous dire ?
-Que j’ai espionné pour vous, menti pour vous, que j’ai couru des dangers mortels pour vous. Tout cela pour assurer la sécurité du fils de Lily Potter. Et maintenant, vous m’annoncez que vous l’avez élevé comme un porc destiné à l’abattoir…
-Voilà qui est très émouvant, Severus, remarqua Dumbledore d’un ton sérieux. En êtes-vous venu à éprouver de l’affection pour ce garçon ?
-Pour lui ? s’écria Rogue. Spero Patronum !
De l’extrémité de sa baguette jaillit alors une biche argentée. Elle atterrit sur le sol, traversa la pièce d'un bond, et s'envola par la fenêtre. Dumbledore la regarda s’éloigner et lorsque sa lueur d’argent se fut évanouie, il se tourna à nouveau vers Rogue, les yeux pleins de larmes.
-Après tout ce temps ?
-Toujours, dit Rogue.
- Tope là, dit Jack.
Ils se serrèrent la main.
- Je t'embrasserais bien, plaisanta Jack, si je n'avais pas peur que ça colle.
- Comment peux-tu t'y connaitre autant en vêtements féminins ?
Lucius sourit avec malice.
- C'est bon. Épargne-moi les détails.
-Peut-être qu'elle veut ses casseroles, se moqua Faith.
Tu sais, pour faire cuire ses lèvres.
-On ne sent même plus l'odeur du lièvre,rétorquai-je.
L'odeur de l'eau oxigénée est tellement forte. Tu devrais faire attention avec les décolorants, Faith, ou tu vas finir chauve.
_Ca pourais être pire, lanca t-elle en désignant ma coiffure. Il vaut mieux être chauve qu'avoir une tête de caniche*.
-Je préfère avoir une tête de caniche qu'être une vraie chienne."
*car elle a les cheveux frisées.
( Tirés de la page 306-307 )
Lucius referma la porte derrière lui, et, malgré la douceur de ses dernières paroles, je tremblai dans le noir.
- Jessica... serait-ce de la viande ? Et l'interdiction de tes parents...
- Ce que papa et maman ne savent pas ne peut pas leur faire de mal. Alors ne dis rien, l'avertis-je, tout en repoussant sa main pour faire avancer mon plateau.
Je frottai mon poignet pour le réchauffer.
- Petite indisciplinée, lança Lucius avec un sourire conquis. J'approuve totalement.
(America & Maxon).
- Maxon, ce n'était pas de la comédie. Si vous m'aviez demandé mon avis il y a un mois, la réponse aurait été très différente. Je vous connais à présent, et j'ai parlé en toute bonne foi. En toute sincérité.
- Merci alors, répond-il avec un petit clin d'oeil.
- De rien.
- Il aura de la chance, lui aussi.
- Pardon ?
- Votre fiancé. Quand il reviendra à la raison et vous suppliera de le reprendre.
- Ce n'est pas mon fiancé. Et il a fait une croix sur moi, il a été très clair là-dessus.
- Impossible. Il vous aura vue au bulletin ce soir, il s'en sera mordu les doigts. Même si, à mon sens, il ne vous mérite pas.
Maxon s'exprime sur un ton las et découragé, comme s'il avait vu cette situation se reproduire des milliers de fois.
- Et j'y pense, ajoute-t-il, si vous voulez éviter que je tombe amoureux de vous, cessez donc d'être aussi jolie. Dès demain matin, j'ordonne à vos chambrières de vous coudre des robes de bure.
- Arrêtez, Maxon.
- Je ne plaisante pas. Vous êtes beaucoup trop belle, c'est très dangereux. Lorsque vous quitterez le palais, nous serons dans l'obligation de vous attacher des gardes du corps. Vous ne survivrez jamais livrée à vos propres moyens, ma pauvre petite.
- Je n'y peux rien si je suis née parfaite.
Et je fais mine de m'éventer, comme si tout cela - la beauté, la perfection, l'intelligence - m'épuisait.
- Non, vous avez raison.
J'éclate de rire. Maxon a toujours l'air grave. Du coin de l'oeil, je remarque qu'il ne me quitte pas du regard. Lorsque je me tourne vers lui pour lui demander ce qui le captive autant, son visage n'est qu'à quelques millilètres du mien.
Et il m'embrasse, sans crier gare.
Je m'écarte aussitôt, surprise. Maxon recule lui aussi.
- Excusez-moi, marmonne-t-il, rouge comme une tomate.
- Mais qu'est-ce qui vous prend ?
- Pardon.
- Vous êtes tombé sur la tête ?
- C'est juste que... avec ce que vous avez dit tout à l'heure... et votre attitude de plus en plus amicale... j'ai cru que vos sentiments à mon égard avaient changé. Et je vous apprécie, je pensais que vous l'aviez compris. Et... c'était si terrible que ça ? Vous avez l'air catastrophée.
J'essaie d'arborer une expression neutre. Maxon semble avoir envie de s'enfoncer six pieds sous terre.
- Je suis navré. C'est mon tout premier baiser. Je ne sais pas quelle mouche m'a piqué, souffle-t-il. En fait... je vous demande d'accepter mes plus plates excuses, America.
Une chaleur inattendue s'empare soudain de moi. Son premier baiser, c'est à moi qu'il a voulu le donner.
Oui, je le reconnais, j'ai encore des sentiments pour Aspen. Je ne peux pas l'oublier en un claquement de doigts. Mais notre couple n'est plus qu'un amer souvenir et plus rien ne m'empêche de réserver à Maxon une place dans mon coeur. A part mes préjugés, peut-être. Des préjugés balayés par la réalité.
J'effleure son front de ma main.
- Que faites-vous ?
- J'efface de votre mémoire ce baiser raté. Je suis sûre qu'on peut mieux faire.
- America, on ne peut pas défaire ce qui a été fait, malheureusement.
- Bien sûr que si. Qui le saura, à part vous et moi ?
Maxon scrute mes traits, visiblement tiraillé. Je vois l'assurance gagner petit à petit son visage. Nous restons ainsi un long moment, les yeux dans les yeux, et je chuchote :
- Je n'y peux rien si je suis née parfaite.
Maxon s'approche de moi et m'enlace par la taille. Son nez chatouille le mien. Du bout des doigts, il frôle ma joue avec une délicatesse telle qu'on croirait qu'il a peur de me briser.
- Non, c'est vrai. Ce n'est pas de votre faute.
Les mains sous ma nuque, Maxon dépose un baiser sur mes lèvres, aussi léger qu'un murmure.
Un je-ne-sais-quoi de timide, d'hésitant, me fait chavirer. Sans qu'une seule parole circule entre nous, je sens une vague de nervosité le parcourir. Au plus profond de moi, je comprends qu'il m'adore.
C'est donc ça, être une princesse.
Au bout d'un moment, Maxon me relâche.
- C'était mieux ?
Je hoche la tête, muette. Maxon semble à deux doigts d'exécuter un saut périlleux.
- Puis-je ajouter quelques mots ? Je ne suis pas stupide au point de croire que vous avez complètement gommé votre ancien amour. Je sais quelles épreuves vous avez traversées, je sais que vous n'êtes pas arrivée là via un processus normal et je ne veux pas vous forcer la main. J'aimerais juste... savoir s'il serait possible...
Question épineuse. Suis-je prête à vivre une vie qui ne m'a jamais fait rêver ? à le regarder donner leur chance à d'autres filles afin d'être sûr de son choix ? à assumer des responsabilités énormes ? à aimer Maxon ?
- Oui, Maxon. C'est possible.
- Merde alors.
- Voilà une réaction qui fait plaisir, dit Lucius après avoir refermé la porte. C'est très élégant de la part d'une dame.
- CAPITAINE Jack Sparrow, pour être précis, minauda Jack.
- Mais je ne vois pas votre navire, capitaine ? ironisa le commodore.
- Je suis sur le marché. Depuis peu.
- Il a dit qu'il était venu en réquisitionner un, dit l'un des gardes.
- Tu vois qu'il disait la vérité, intervint son compagnon. Ça c'est à lui, monsieur, ajouta-t-il en ramassant le ceinturon et le pistolet de Jack, qui voulut s'avancer pour les récupérer.
Norrington les examina et ricana.
- Pas de balle en réserve... Pas de poudre... Un compas qui ne fonctionne pas... Et je m'attendais presque à une épée en bois, conclut-il en dégainant l'arme de Jack, qui sourit piteusement. Vous êtes sans nul doute le pirate le plus pitoyable dont j'aie jamais entendu parler, se moqua-t-il.
- Ah, mais au moins, vous avez entendu parler de moi, plaisanta Jack.
- Mais de rien, répondit Jack, pincé.
- Pas toi, dit Barbossa. C'est le singe qu'on a appelé Jack !
Il se frappa la tête contre le tronc noueux et, levant les yeux, hurla, non pas comme un homme, mais comme une bête sauvage qu'on larde jusqu'à la mort de coups de couteau et d'épieu.
-C'est vraiment le moment ? interrogea Harry d'une voix timide.
Voyant que sa question n'avait d'autre effet que de resserrer l'étreinte de Ron et d'Hermionne qui se balançait sur place en s'embrassant, il haussa le ton:
-Hé! Il y a une guerre en cours !
-J'ai récemment découvert quelque chose, ai-je réparti sans chercher à arrêter les larmes de roulaient sur mes joues. Les garçons ne pleure pas mais les hommes oui
Lucius me regarda avec un petit sourire narquois.
-Vraiment ? Aucun prétendant ? C'est scandaleux. J'aurais pensé que ton aptitude à manier la fourche attirerait des célibataires dans cette région de paysans.