Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 640
Membres
1 013 214

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Il secoue sa tête et pose son front sur le mien.

— Toi, dit-il sombrement, tu parles quand tu es nerveux.

— Non, haleté-je.

Et c’est la vérité. Je ne le fais pas habituellement. Rex lève un sourcil.

— Seulement avec toi, ajouté-je.

Son sourire est lent et prédateur.

— Ne sois pas nerveux, dit-il, amusé.

Ouais, c’est ça, merci. J’ai seulement pensé que j’étais attaqué par un meurtrier, genre, il y a dix minutes. Je ne me suis jamais autorisé à réfléchir à la raison de ma nervosité et à ce que cela ferait de l’avoir contre moi, à l’intérieur de moi.

— C’est seulement… tu sais, les bois, et… il y a… est-ce que tu sais que statistiquement le plus grand pourcentage de tueurs en série vient du Midwest ?

Je n’arrive pas à croire que je viens de dire ça. Il y a le fait de bavarder parce que tu es excité, et ensuite il y a le fait de ressembler à un vrai psychopathe.

Rex me lance un regard étrange.

— Donc tu es nerveux parce que je pourrais être un tueur en série ?

Je secoue ma tête misérablement.

— Non, non, c’était juste pour dire. Désolé. Ignore-moi.

Afficher en entier

- D'accord, en tout cas, le fait est que Buffy, tu vois ? Au lycée, elle était tout en haut de la chaîne alimentaire. Jolie, populaire, avec des amis qui la vénèrent et qui n'ont rien d'autre à faire le vendredi soir que de la suivre en patrouille. Je veux dire, bien sûr, elle a eu des problèmes comme avec tout le truc d'Angel sombrant du mauvais côté - oh merde !

Il s'arrête, la main sur la bouche.

- Alerte Spoiler. Majeure Alerte Spoiler. Je suis tellement désolé.

Afficher en entier

Son attention est si totale que j'ai l'impression, juste pendant un moment, de me voir à travers ses yeux, mon corps secoué de plaisir présenté devant lui, mes lèvres tremblant pour un autre baiser, mes yeux écarquillés et désespérés. Je suis épinglé par son regard, son corps, ses doigts en moi, et l'amour que je peux sentir dans chacune de ses caresses. Il glisse un troisième doigt en moi, reposant seulement là, me remplissant, m'étirant uniquement avec de gentilles et lentes caresses, comme des algues à l'intérieur de moi, ondulant au gré des vagues. Mes yeux se remplissent de larmes. Je ne suis pas triste, seulement submergé, rempli à ras bord avec son corps, son attention et son amour.

Afficher en entier

Marjorie ne dit toujours rien et me regarde dans l'expectative.

- Euh, souris-je comme si c'était le geste magique qu'elle attend.

- Commande-le ! dit-elle.

- J'en veux un ?

- Non, commande le par son nom.

- Tu veux que je commande ma propre boisson- celle que tu sais que je veux parce que tu l'as nommée d'après moi ?

- Bah, personne d'autre ne vas jamais la commander, dit-elle clairement exaspérée.

- Alors pourquoi est-ce que tu... Oh seigneur. D'accord, je voudrais un "Daniel" à emporter s'il te plaît.

- Ça arrive tout de suite, Daniel, dit aimablement Marjorie.

Afficher en entier

- Oh, si Daniel. Toutes les femmes aiment les avants-bras. Chacune d'entre elles. Non vraiment, j'ai posé la question autour de moi et nous sommes toutes d'accord. Nous ne le sommes pas toutes au sujet de la justice qui devrait ou pas contrôler notre vagin, mais nous sommes toutes d'accord au sujet des avant-bras.

- Seigneur Jésus, Ginger, est-ce que tu t'es battue avec les anti-VIG à nouveau ? Ils vont faire exploser ta boutique.

- Ils me donnent envie de tomber enceinte juste pour pouvoir avorter et faire une vidéo sur YouTube et leur envoyer.

Afficher en entier

— Tu connais cette impression, essayé-je d’expliquer, quand c’est dimanche soir et que tu dois aller à l’école ou travailler le lendemain matin, mais ensuite il y a une tempête de neige et tu n’es pas obligé d’y aller ? Tu es comme ça.

— Je suis comme une catastrophe naturelle ? me taquine-t-il, mais son regard est attentif.

— Non, dis-je, me forçant à dire ce que je pense. Un soulagement. Tu es un énorme soulagement.

Les yeux de Rex s’adoucissent.

Afficher en entier

Puis il sort, fermant doucement la porte derrière lui. Son pick-up démarre à l'extérieur.

- Putain ! crié-je en frappant la porte. Merde, aie!

J'oublie toujours combien ça fait mal.

Afficher en entier

— Tu vas bien ? demande-t-il, sa main étalée sur ma poitrine.

Je hoche la tête, mais ne peux pas encore tout à fait laisser sortir les mots.

— C’est…

Je regarde autour de nous, puis de nouveau vers lui.

— C’est parfait.

— Trop bien pour être vrai ? demande Rex, en dégageant mes cheveux de mon visage.

— Non, lui dis-je. Seulement bien.

Afficher en entier

— Combien en as-tu eu à la fois alors ? demandé-je en imaginant sa mère comme Le Joueur de flûte de Hamelin, une lignée de chiens trottant derrière elle.

— Seulement un ou deux à la fois, dit Rex et il laisse son regard errer vers la fenêtre d’un air triste. Nous ne pouvions pas les emmener avec nous quand nous déménagions. Et nous déménagions si souvent. Cela me brisait le cœur, mais ma mère disait que les choses arrivent dans notre vie quand nous avons besoin d’elles. Et qu’il y aurait toujours un autre chien au prochain endroit où nous déménagerions. Elle avait raison à ce sujet, en tout cas.

Il semble toujours un peu contrarié, cependant.

— Tu penses qu’elle a raison ? Que les choses viennent dans notre vie quand nous avons besoin d’elles ?

— Nan, dit-il. Pas vraiment. Et de plus, même si c’est vrai, elle n’a jamais rien dit au sujet de les abandonner. Je faisais des rêves pendant des semaines après avoir déménagé, où j’étais en voiture avec ma mère et les chiens couraient derrière nous en aboyant sans comprendre pourquoi nous les laissions derrière nous. Je veux dire, et eux ? Nous sommes entrés dans leurs vies quand ils en avaient besoin, c’est sûr, mais ensuite nous les avons simplement abandonnés.

Sur ces mots, Marilyn entre dans la cuisine, reniflant sous la table pour un snack. Rex se penche et passe ses bras autour d’elle, la serre, et ensuite lui gratte la tête. Elle s’écroule sur le sol à côté de lui et il laisse une main sur sa tête.

— Gentille fille, dit-il tendrement. Mais ensuite, ajoute-t-il, d’une voix peu familière.

Elle est plus profonde que d’habitude et un peu forcée.

— Ensuite, je pense à toi – à comment tu es entré dans ma vie ce soir-là. Toi et Marilyn. Et je ne sais pas. Peut-être qu’il y a de la vérité dans tout ça après tout.

Afficher en entier

J’ouvre ma bouche pour protester. Mais… est-ce ce que je fais ? Je n’ai jamais pensé à ça comme ça. Je suppose que j’ai eu… mon meilleur comportement près de Rex. Mais c’est seulement parce que je ne veux pas le faire fuir. Je baisse les yeux vers ses grands pieds, ne sachant pas quoi dire.

— Je veux seulement dire que tu n’as pas à réfléchir autant à tout ce que tu fais.

Oui, j’ai déjà entendu ça auparavant. Je vous défie de trouver quelqu’un qui a fait des études supérieures qui ne le fait pas.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode