If We Were Villains

Très bon livre qui parle de théâtre et de drames même pour moi dont les seuls expérience de Shakespeare était un livre lu au collège cela reste compréhensible

Magnifique et émouvant !

Ce livre est un véritable tourbillon d’émotions qui saisit un peu plus à chaque acte. Je l’ai abordé sans apriori et il m’a touché au cœur. La lecture est intense, et la diversité des personnages est très bien rendue. À mon avis, pas besoin de connaitre Shakespeare pour apprécier votre lecture, l’autrice réussit très bien à rendre le tout cohérent et addictif. Je recommande !

Je ne saurais que dire. Amoureux de Shakespeare c’est un vrai régalé. De plus les personnages sont super et la narration d’Oliver est un régale. Ne pas savoir ce que chaque personnage pense ou fait c’est ce qui donne à toute l’histoire ce suspense jusqu’à la fin ! Je me suis régaler de ce livre !

Oliver sort de prison après avoir purgé une peine de 10 ans pour l'assassinat de l'un de ses meilleurs amis.

Juste avant sa sortie, Colborne, le policier fraîchement à la retraite, qui a mené l'enquête il y a 10 ans, vient lui rendre visite.

Colborne a toujours douté de la culpabilité d'Oliver lui demande de tout lui avouer.

Oliver accepte de tout lui dire une fois sortie à condition que personne ne soit de nouveau inquiéter.

Oliver a-t-il réellement tué son ami ou protège-t-il quelqu'un ?

Mon avis

J'ai bien aimé cette histoire. Le livre est très intriguant.

Tous les personnages ont un caractère bien différents. Certains sont plus attachants que d'autres.

L'intrigue est rondement bien menée.

Par contre, le style du livre est assez perturbant au début. Il mêle théâtre et roman. À l'intérieur, il est présenté comme une pièce de théâtre, en actes et en scènes. Certains passages font vraiment penser que l'on se trouve dans une vraie pièce de théâtre. Par contre, d'autres passages sont romancés.

Dans les 100 dernières pages, j'ai quand même trouvé de la longueur. L'histoire s'éternisait un peu trop.

Au final, il s'agit d'une jolie découverte littéraire !

Une très très bonne découverte !

J'ai eu un tout petit peu de mal à entrer dedans et à me sentir réellement concernée au tout début, probablement car je ne suis pas assez calée en univers Shakespearien, mais vraiment seulement au tout début ; l'autrice a rapidement réussi à complètement m'immerger dans son univers, à m'impliquer dans l'enquête, dans la recherche de la vérité.

Les personnages sont tous aussi intrigants et complexes les uns que les autres – sauf peut-être Richard, qui n’a suscité chez moi ni intérêt, ni aucune autre émotion positive -, et m’ont quasi tous beaucoup plu dans leur genre. Quasi, car comme je viens de le dire, je n’ai rien éprouvé d’autre que du mépris pour Richard et ce tout du long ; par ailleurs, je n’ai pas réussi non plus à m’attacher à Meredith. Sans être inintéressante, elle ne m’a jamais touchée, que ce soit par son histoire, ses actes, ou ses fêlures ; elle reste beaucoup trop dans le cliché duquel elle dit essayer de se défaire et n’est jamais parvenue à s’attirer ma sympathie.

J’ai apprécié la construction du récit, ces prologues dans le présent qui parsèment des indices pour titiller notre curiosité sur les événements que nous n’avons pas encore vécus, suivis du reste des chapitres retournant à l’époque du drame, développant l’évolution des liens délicats qui unissent nos protaonistes.

J'ai vraiment aimé cette plongée dans le milieu si particulier de ces étudiants en dramaturgie, l'exploration de la complexité de leurs émotions qui se mêlent à celles de tous les rôles qu'ils endossent jour après jour et finissent par ressurgir dans leur quotidien.

Je me suis prise au jeu de l'enquête, de la recherche du véritable coupable, de la manière dont les événements se seraient déroulés, et de pourquoi et comment l'histoire a pris ce tournant.

Et lorsque l'on a enfin toutes les clés en main, on a envie de recommencer notre lecture pour repérer tous les indices qui ont été disséminés, comprendre le double sens de certains dialogues, de certains échanges de répliques théâtrales qui surgissent à des moments qui ne sont finalement pas si anodins.

Bref, j'ai passé un très bon moment de lecture, je sais que c'est un livre que je relirai (enfin j'espère en trouver le temps), et je l’ai déjà conseillé à plusieurs personnes autour de moi, dont certains inconditionnels de Shakespeare.

Le gros point fort de se livre est pour moi les personnages. Ils sont humains et leurs relations sont complexe ce qui est très agréable a suivre. Evidement cela ne veut pas dire que j'ai aprecié tous les personnages ou que j'ai validé/compris toutes leurs decisions.

En revanche j'aurais voulu qu'on approfondi peut être un peu plus la personnalité de certains personnages secondaires peut-être trop caricaturaux Spoiler(cliquez pour révéler)même si c'est cohérant étant donné que l'intrigue se déroule du point de vue d'Oliver, on connait donc les personnages autant que lui

L'utilisation du théâtre de Shakespeare nous permet de découvrir ou redécouvrir ses œuvres sous un œil nouveau, ce qui est toujours positif.

Et pour être honnête je ne m'attendais pas à ce que l'intrigue prenne cette directionSpoiler(cliquez pour révéler) je pensais qu'on allait observé une recrudescence de la compétition entre richard et ces camarades, le voir mourir si tôt dans le roman m'a donc beaucoup surprise.

Malheureusement je n'ai pas du tout aimé cette lecture.

Plongée dans l’univers feutré et fascinant d’une académie d’élite où l’amour du théâtre rencontre la noirceur des passions humaines, If We Were Villains m’a littéralement happé. Le récit, habilement construit, explore les vies d’un groupe d’étudiants en arts dramatiques, aussi talentueux que fragiles, qui se perdent peu à peu dans les rôles qu’ils incarnent, brouillant la frontière entre la réalité et la scène.

Ce qui frappe avant tout, c’est l’écriture : riche, évocatrice, ponctuée de dialogues shakespeariens qui viennent renforcer la tension dramatique. On y trouve une alternance entre une narration captivante et des répliques d’une poésie brute, souvent empreintes de mélancolie. L’auteur, M.L. Rio, sait parfaitement doser le suspense tout en instillant un sentiment de tragédie inéluctable.

L’intrigue se tisse autour d’un crime qui viendra briser cet équilibre fragile. Si l’histoire elle-même m’a rappelé Le Maître des illusions, un roman que je tiens en haute estime, If We Were Villains se distingue par une approche plus introspective. Là où Donna Tartt explore une atmosphère oppressante et baroque, Rio met l’accent sur les émotions des personnages, leur lutte intérieure, leur culpabilité, et leur quête d’identité dans un monde où chaque mot et chaque geste sont une performance.

La structure narrative – des flashbacks entrecoupés par des interrogatoires – ajoute une profondeur supplémentaire, jouant sur les perceptions du lecteur et les non-dits. Ce procédé, tout en nous tenant en haleine, offre aussi une réflexion sur la responsabilité, le poids des choix, et l’art qui dévore.

En toile de fond, l’ombre omniprésente de Shakespeare, dont les pièces semblent dicter le destin des protagonistes. À mesure que la tragédie se dévoile, le parallèle entre fiction et réalité devient troublant. La loyauté, la jalousie, l’amour, et la vengeance prennent des dimensions presque mythiques, et l’on referme ce livre en ayant l’impression d’avoir assisté à une véritable catharsis.

Un roman puissant, subtil, et bouleversant. Si vous avez aimé Le Maître des illusions, ce livre est incontournable. Et si ce n’est pas encore fait, laissez-vous emporter par ce récit qui, tel un soliloque bien exécuté, vous hantera longtemps après la dernière page.

Un thriller t'as peur... 😆

Ok ok, bon je suis complètement vidée après cette lecture. C'était vraiment incroyable niveau émotions et ça jusqu'à la fin .. On a pas besoin d'en savoir des masses sur les personnages puisqu'on vit des instants d'échange, théâtral ou non avec eux et c'est amplement suffisant pour s'accrocher à eux.