Ikigami, préavis de mort, Tome 8

Deux histoires qui en plus de "distraire" le lecteur le font réfléchir sur la société et son organisation...

J'ai trouvé très intéressant le fait que l'ikigami soit remit à une personne qui souhaitait déjà mourir. Cette série est de plus en plus sombre, on se concentre plus sur le point de vu du livreur dans ce tome et on voit clairement de Fujimoto est mal à l'aise.

Deux histoires prenantes, mettant plus de côté le livreur que d'habitude. Le fait d'avoir un personnage souhaitant mourir et qui reçoit l'ikigami est une nouveauté intéressante.

L'ambiance semble plus sombre dans ce tome dans lequel Fujimoto ne se sent pas à l'aise.

Les histoires contribuent à nouveau à nous faire comprendre toute l'absurdité de la loi, et nous font réfléchir sur le sens de la vie en général.

La suite promet d'être plus tendue.

Je me suis sentie moins proche de ces personnages, moins « en phase » avec eux. J’ai donc un peu moins été envoutée par ce tome, même si le thème de la série est respecté et que la lecture est très prenante. Les tomes se dévorent, les uns après les autres, avec beaucoup de passion. Le sujet est bon, et il est très bien traité. Un grand bravo à l’auteur pour son imagination.

Encore un bon tome qui s'approche de la fin de la série.

Bonne suite toujours aussi passionnant. La tension augmente de plus en plus. Comment un tel système peut il encore tenir? voilà la bonne interrogation... Car mine de rien il vacille de plus en plus. Si au début la révolte couvant n'était que suggérer, elle est à présent ouvertement déclarée.

Nouvel opus, toujours aussi prenant !!! Fujimoto se sent épié, il pense avoir été mis sous surveillance... de plus il a le sentiment de s'éloigner de plus en plus de ce qu'il est vraiment pour plaire à sa hiérarchie.... comme dans les livres précédents, il se pose beaucoup de questions.... qui lui permettent semble-t-il de faire de mieux en mieux le point sur ses idées...

Les histoires courtes que nous propose l'auteur ne servent uniquement qu'à repondre à cette question : "Comment un homme peut il reagir en sachant qu'il ne lui reste que 24 heures avant de mourir?". Ce à quoi l'auteur repond merveilleusemnt bien en mettant en scene differents personnages dans differentes classes de la société.