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Avec « il était une fois Wanda » l’auteur nous plonge à Paris dans les années vingt et nous conte le destin d’une femme courageuse et tenace. Wanda issue de la haute bourgeoisie Russe va suite à la révolution tout perdre et se retrouver à Paris. Grâce à son talent de peintre elle va réussir à s’émanciper et devenir indépendante. Dans ce cour roman Wanda nous fait voyager de la Russie à Deauville et nous faire croiser tout la jet set de cette époque Jean Cocteau, Suzy Solidor, Josephine Baker, Colette et tant d’autres. Une belle découverte et une bonne lecture.

une belle histoire historique franche et originale.. j'ai trop aimé voir cette ambiance de Paris, et les personnages sont super bien construits, dur à cerner. Je conseille mille fois !

Magnifique histoire d’une artiste naissante ne désirant rien de plus que la liberté. On suit Wanda, femme d’origine russe qui, alors que la Révolution saisie son pays dont la ville de Saint-Pétersbourg ; se retrouve à devoir vivre à Paris. Ayant pour premier but d’avoir une famille heureuse, accompagné de son mari Igor, et de son fils Boris, c’est de nombreuses surprises que la vie lui réserve.

Au sein de la capitale française, elle va se trouver une passion, un nouveau but : la peinture. Bien plus qu’un hobby, il s’agira pour Wanda d’une manière d’échapper à son quotidien bien morose. En effet, la grandeur de son mari n’est plus, celui-ci alterne entre les bons jours et les jours complètement ivres. Wanda veut casser cette routine, elle veux pouvoir être libre, c’est en compagnie de Jean et de Suzy que la jeune femme va pouvoir s’affirmer dans ce qui lui plaît, sans oublier le soutient de ses tantes.

Malgré une liberté durement acquise, cela ne sera pas sans conséquence. Tous les choix faits par Wanda nous montrent à quel point c’est une femme forte. Ce n’est pas la femme qui ne fait que s’apitoyer sur son sort, jusqu’à la fin de sa vie, elle est une battante et continue de vivre, avec ou sans ceux qu’elles aimes. Au fond, rien ne l’arrête.

Ce fut un plaisir de lire cette histoire, on s’attache à Wanda et à son parcours difficile. Mais également, on s’éprend de Jean et surtout de Suzy. La relation particulière d’amante de Wanda et Suzy, mais surtout cette véritable amitié est l’une des choses que j’ai le plus apprécié.

Merci à Alan Alfredo Geday pour m'avoir envoyer et permise de chroniquer "Il était une fois Wanda" !

Wanda, c'est l'histoire imaginé tirer de la vie de l'artiste Tamara de lempicka et relate l'histoire de cette jeune fille de la haute en Russie. Au début du livre, elle ne tarde pas à charmer Igor, un jeune fils qui doit hériter de la société familiale. Mais l'histoire bascule, car les Bolcheviks l'enlèveront lors des révoltes. Wanda s'en va avec son fils, en France rejoindre ses tantes, pour espérer vivre des jours meilleurs.

Wanda profite de Paris pour se découvrir. Wanda teste les plaisirs de la vie et s'épanouit . Les personnages secondaires sont bien développés. Ce livre est rythme même si un peu trop rapide. Une belle histoire

Pour commencer quand j'ai reçu le bouquin, j'avais beaucoup aimé le résumé car c'est une histoire qui se déroulait durant les années 20 à Paris une époque que j'adore, mais durant ma lecture je n'ai pas du tout accrocher à l'histoire, mes j'ai adoré le côté où il parlait peinture et beaucoup d'autres choses, malgré sa je reste mitigé de cette lecture.

Pour terminer l'histoire à était librement inspiré de la vie de Tamara lempicka ce qui je pense à fait que je n'ai pas autant accrocher que je l'aurais voulu.

Il était une fois Wanda est l’un de ces livres que l’on n’a pas envie de terminer. Je voulais continuer à suivre Wanda, sa vie, son succès, ses réussites et ses échecs.

Je me suis autant pris d’affection pour Wanda et son émancipation de femme libre dans ce Paris des années 20, que j’ai détesté son mari, tantôt coureur de jupons, tantôt ivrogne.

L’histoire est faite de rebondissements, l’auteur sait capter l’attention de ses lecteurs qui ne s’arrêteront pas avant d’avoir fini ce livre. Je ne peux que vous le conseiller. Il est rapide à lire et l’on ne s’ennuie jamais. Une petite pépite que je suis heureuse d’avoir pu découvrir !

Lorsque l’on commence le roman, on retrouve Wanda telle qu’elle nous est présentée dans le résumé. Nous découvrons donc un personnage ayant vécu des événements lourds à porter et un futur incertain en compagnie de son fils. Cette première partie permet de donner les bases concernant la vie de Wanda. On peut vite comprendre que son personnage est à la fois complexe et simple. Un effet paradoxal qui fait de l’effet. Cela dit, j’ai trouvé malgré tout que le début était un peu trop lent à mon goût. Certes, comme je viens de le dire, des bases sont posées, mais selon moi, il y avait trop de choses ou alors cela était peut-être dû au fait que l’auteur a écrit son roman sans aérer le texte par plusieurs paragraphes. Il y a parfois des pages entières sans que l’on ait la possibilité de respirer. J’avoue avoir été déstabilisée par ça et je pense que cela pourrait déplaire à d’autres lecteurs.

Cependant, cette surprise étant passée, j’ai continué ma lecture et je me suis laissé prendre au jeu de voyager à travers les mots. Je ne peux pas dire que je me suis attachée à la protagoniste – Wanda – parce que je n’ai pas trouvé d’élément me le permettant. Toutefois, j’ai trouvé intéressant de suivre ce personnage dans sa nouvelle vie. Je ne m’attendais pas à tous les événements qui se sont déroulés, ce fut donc un plaisir de les découvrir. Le suspense était donc de mise dans une certaine mesure.

Je n’ai pas toujours été en accord avec Wanda, je trouvais que c’était parfois un peu limite, mais je dois dire que la fin ou plutôt le prologue m’a rassurée. D’ailleurs, à la toute fin du roman se trouve un poème qui m’a donné des frissons lorsque je l’ai lu. Je n’ai pas pu résister à le relire quelques fois.

En somme, j’ai passé un bon moment dans ce roman malgré quelques points négatifs. Mais l’histoire mérite de faire son petit bonhomme de chemin auprès du lectorat.

Rythmé et coloré par une bande d'artiste qui célèbre la liberté et l'insouciance après la grande guerre. Tout en légèreté, « Il était une fois Wanda », nous conte les mésaventures d'une jeune aristocrate ayant fuit la révolution russe.

Wanda est originale, déterminée, vive, maline, passionnée de peinture. Bien que mère d'un petit garçon et mariée à Igor, elle va s'affranchir de beaucoup de contraintes. Elle connaîtra de nombreuses difficultés mais sa bonne étoile veille.

Dans le Paris des années folles, à la Rotonde, dans les ateliers, à Deauville, le monocle et ses garçonnes, le champagne coule à flot et Wanda fréquente Jean Cocteau, laisse libre cours à ses désirs avec Suzy Solidor et Colette. Finalement, elle rencontrera un amateur d'art qui lui ouvrira les portes de New-York et voilà notre princesse russe partie pour les États-Unis. Sa babushka avait raison : avoir du talent, c'est un cadeau empoisonné. le chemin est plus difficile…

Alan Alfredo Geday s'est inspiré de la vie de Tamara de Lempicka pour cette histoire. C'est un livre écrit au même rythme trépidant que la vie de Wanda avec énormément de détails et l'auteur possède un réel talent de conteur.

Un joli voyage dans le temps pour les vacances ainsi qu'un coup de coeur assuré.

Merci à l'auteur pour sa confiance

#alanalfredogeday#NetGalleyFrance

Dans ce court roman de fiction historique, on suit Wanda, jeune mère et épouse russe expatriée à Paris.

Wanda, c'est une jeune femme un peu naïve, un peu choyée. J'ai beaucoup apprécié la façon qu'elle a d'être vivante dans ce roman, à la fois agaçante par son côté femme du monde, pour qui tout a été donnée à la naissance et à la fois touchante, par sa recherche de liberté. Je ne saurais dire si j'apprécie cette femme ou non, en tout cas l'auteur réussit à la rendre tangible.

Inspiré de Tamara Lempicka, j'ai aimé rencontré les auteurs du Paris libre et virevoltant du 20e siècle. On y retrouve Jean Cocteau, André Lhote, Joséphine Baker et Suzie Solidor. Ce Paris des artistes a tout pour plaire et j'ai adoré l'ambiance décrite !

Je crois que je n'ai pas mis plus d'étoiles parce qu'il me manquait l'intrigue, le revirement de situation, le "truc" qui me reste en tête et me donne envie d'en savoir plus et de repenser à ce livre, après l'avoir refermé. Voyez ce court roman comme une parenthèse dans le Paris étincelant et magique des années 20 !

Une très bonne lecture ! L'auteur a su nous transporter de la Russie à Paris. Un beau roman autour de l'art sous toutes ses formes ! Addictif mais instructif il comblera les artistes, mais aussi les personnes amatrices d'art.

Les personnages sont très bien construit et je suis ravie d'avoir eu la chance de découvrir l'époque folle des années 20 !