Il était une gare
Auteur
- Jacques Deval (Écrivain)
Acheter neuf
Acheter d'occasion
Classement en biblio - 1 lecteurs
Commentaires récents
La Gare … Comme ça a été dit avant moi:"c'est le lieu de tous les possibles, de tous les destins, des adieux et des retrouvailles, des silhouettes entraperçues et des habitués de tous les jours. Des rires, des amours et des grands chagrins !"
Aujourd’hui, à Couvize, l’Express de Paris et le Vintimille de Marseille doivent faire halte suite à une panne de secteur. Débarquent alors au buffet de Noémie une superbe collection de personnages improbables… Du bourreau au clown, en passant – forcément – par la starlette, l’artiste et le truand ! Bref, un peu de nos facettes aussi …
L'histoire du bourreau de la république est particulièrement interpellante, et force la réflexion.
Belle pièce de théâtre, très bien écrite par un maître du genre.
Je la recommande
Afficher en entier
Livres ayant des thèmes similaires
Editeurs
Résumé
IL ÉTAIT UNE GARE - n° Plus 27 comédie de Jacques DEVAL, 8h. - 8f. - Durée 2h00 - Dans les années 50, entre Marseille et Paris, la petite gare de Couvize n’accueille que les voyageurs des rares omnibus qui s'y arrête. Cet après-midi-là, pour des raisons techniques le "Mistral" et "Vintimille" s'immobilisent pour plus de deux heures dans cette gare peu habituée à tant de trafic... Plusieurs voyageurs débarquent dans la salle du buffet pour tromper leur attente. Au total 16 personnages se croisent, s'aiment, s'observent, discutent, rêvent, pleurent ou rient : un véritable inventaire humain à la Prévert : pianiste, bourreau, jeunes mariés, bonne sœur, chef de gare, mère maquerelle, inspecteur de police, amoureuse désespérée, starlette, commis-voyageur... Jacques Deval, l'un des plus ingénieux auteurs dramatiques du XXème siècle, signait avec IL ÉTAIT UNE GARE, une pièce légère et grave, un patchwork théâtral souriant et bouleversant, d'une surprenante homogénéité. Avec ce style d'écriture inimitable, loué par Marcel Achard : "Il s'assoupit ou se durcit suivant l'histoire qu'il raconte. Il cabriole ou atteint un sérénité classique, suivant les personnages. Car ce sont eux qui décident du style, plus encore que leur destin."
Afficher en entier