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Vers quelle forêt secrète se dirige la photographe partie à la recherche d’un certain Boychuck, témoin et brûlé des Grands Feux qui ont ravagé le nord de l’Ontario au début du XXe siècle? On ne le saura pas. Au moment où s'amène la photographe, Boychuck vient tout juste de mourir.
Tom et Charlie, deux survivants, ignorent que la venue de la photographe bousculera leur vie. Ils feront la rencontre d’un personnage aérien, Marie-Desneige. Elle a 82 ans et tous ses esprits, même si elle est internée depuis 66 ans. Elle arrive sur les lieux comme une brise espérée alors que la photographe découvrira que Boychuck était un peintre et que son œuvre était tout entière marquée par le Grand Feu de Matheson.
C’est dans ce décor que s’élabore Il pleuvait des oiseaux. Nous voilà en plein cœur d’un drame historique, mais aussi pris par l’histoire d’hommes qui ont choisi la forêt. Trois êtres épris de liberté et qui ont fait un pacte avec la mort. Un superbe récit à la mesure du grand talent de Jocelyne Saucier, deux fois finaliste au Prix du Gouverneur général et récipiendaire du Prix à la création artistique du CALQ pour l'Abitibi-Témiscamingue (2010).
Je vois ce livre un petit peu comme un ovni. Ce n’est pas du tout mes goûts littéraires habituels et si je ne devais pas le lire pour la fac, je ne l’aurais jamais connu. C’est assez perturbant, car je n’arrive pas à définir si j’ai apprécié ou non.
Les chapitres étaient courts, la plume ne m’a pas particulièrement accroché, mais ça l’a fait. Toutefois, j’ai eu du moins à rentrer réellement dans cette histoire. J’étais une spectatrice extérieure qui lisait et découvrait les événements comme quand on déroule un film.
Emotionnellement parlant, je n’étais pas vraiment impliqué et pourtant, je comprends pourquoi cette lecture est particulière. C’est un livre où la mort côtoie la vie, un livre où la mélancolie et la solitude se mêle à la liberté et à l’amour.
J’ai aimé le fait que l’on retrace un événement passé (des incendies) à travers des tableaux que nos protagonistes vont trouver et le cheminement qui va se suivre tout autour. Ce que j’ai préféré et sans aucun doute le paysage naturel et les petits moments de vie de nos personnages. C’était en toute simplicité néanmoins c’était… Vrai. Ça avait un côté assez sensible.
Enquêtant sur un survivant mythique des grands feux ayant ravagé la région Nord de l'Ontario, une photographe découvre, au milieu des bois, une petite communauté de vieux briscards. Ils ont laissé leur vie derrière eux et s'en sont offert une deuxième, au cœur de la nature.
Mais la vie de ces ermites , bravaches et frondeurs, va être bouleversée le jour où une très fragile vieille dame va venir se réfugier dans les bois...
Quelle délicatesse dans l'écriture et dans la manière dont cette histoire est racontée ! Quelle sensibilité aussi ! Il y a quelque chose de régénérant dans ce roman qui nous présente des personnages qui, vaille que vaille ont su, malgré les extrêmes difficultés qu'ils ont connues, s'arranger de la vie et tout voir avec une extrême acuité. Ni pathos, ni angélisme dans ce roman où la mort fait bien évidemment partie du parcours.
Quel récit émouvant! L’écriture est poétique à souhait et nous plonge dans une fiction psychologique entraînante. Les personnages sont attachants autant par leur qualité que leur défaut. La vieillesse, la perception de la mort et la vision de la société rendent l’histoire des plus captivantes.
Une photographe pénètre la vie d’ermitage de deux hommes pour en apprendre plus sur Ted, le survivant des grands feux, dans le Nord Ontarien. Charli et Tom recevront par la suite une autre femme, venue vivre parmi eux, saine d'esprit semble-t-il, mais internée depuis 60 ans. Ted laisse son mémorium sous forme de toiles mystérieuses que Marie-Desneiges, la nouvelle ermite, arrive à déchiffrer et fait le récit émouvant de la vie de Ted. Un décor de nature, des interrogations sur la vie, la présence acceptée de la mort, les pluies d'oiseaux décrites par une mystérieuse femme...
Des personnages très peu originaux, mais qui portent trop bien l'histoire que l'auteur leur a choisis. Trois vieilles personnes décidant de s'exiler dans la forêt pour décider de ce que sera leur vie : l'un refuse de vivre le reste de sa vie malade, le deuxième décide de quitter sa vie de débauche et le troisième, un homme brisé par l'amour. Ils se réunissent tous dans les bois pour vivre une vie d'ermite, mais d'ermite libre. Un peu avant la légalisation de la mort assistée, ce roman plonge le lecteur dans un monde qui apparaît simple, mais qui au fond montre un désir de mourir en paix et de vivre en harmonie avec soi-même.
Un roman qui était sombre, mais sans grande aventure. C'est probablement le seul point négatif que je lui ai trouvé. Les personnages sont attachants, mais l'histoire n'a pas réellement de buts ni de complexité.
Résumé
Vers quelle forêt secrète se dirige la photographe partie à la recherche d’un certain Boychuck, témoin et brûlé des Grands Feux qui ont ravagé le nord de l’Ontario au début du XXe siècle? On ne le saura pas. Au moment où s'amène la photographe, Boychuck vient tout juste de mourir.
Tom et Charlie, deux survivants, ignorent que la venue de la photographe bousculera leur vie. Ils feront la rencontre d’un personnage aérien, Marie-Desneige. Elle a 82 ans et tous ses esprits, même si elle est internée depuis 66 ans. Elle arrive sur les lieux comme une brise espérée alors que la photographe découvrira que Boychuck était un peintre et que son œuvre était tout entière marquée par le Grand Feu de Matheson.
C’est dans ce décor que s’élabore Il pleuvait des oiseaux. Nous voilà en plein cœur d’un drame historique, mais aussi pris par l’histoire d’hommes qui ont choisi la forêt. Trois êtres épris de liberté et qui ont fait un pacte avec la mort. Un superbe récit à la mesure du grand talent de Jocelyne Saucier, deux fois finaliste au Prix du Gouverneur général et récipiendaire du Prix à la création artistique du CALQ pour l'Abitibi-Témiscamingue (2010).
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