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Liste des commentaires

Diamant

ls étaient vint et cent, ils étaient des milliers

Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés

Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants

Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent

Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres.

Jean Ferrat

Voilà le début de cette histoire, dès les premiers mots du texte de Jean Ferrat, les poils se hérissent sur les bras. Je sais que je vais pénétrer dans ce que l'homme a inventé de plus terrible durant le XXème siècle. Les camps d'exterminations, la cruauté à l'état pure, la barbarie sans nom, tout cela gratuitement, simplement pour des idéologies ignobles.

Des récits, des témoignages écrits, j'en ai lu en grande quantité, cependant celui-ci est différent par la particularité du personnage principal qui en est le narrateur. Un homme qui n'aurait jamais dû se trouver là, (comme toutes les personnes de toutes les façons), un lâche comme il se juge, un témoin parfois "un peu privilégié" de par son statut différent. Mais avec les nazis, tout peu, et va basculer d'une minute à l'autre, que dis-je, d'une seconde à l'autre.

C'est l'histoire d'un artiste, un artiste qui ne choisit pas de croquer ce qu'il aime, ou désire.

L’obligation de coucher sur ses précieuses feuilles la vie de Ravensbrück. Être le témoin de la noirceur, la maladie, les horreurs perpétrées, de la mort qui devient une compagne pratiquement insignifiante !

Cependant il faut tenir pour survivre et témoigner, les croquis seront là pour cela, il s'en fait une promesse.

Un livre bouleversant et poignant, je sais que cette histoire n'est qu'un roman, mais tout ce qui est décrit a réellement existé dans tous ces endroits abominables. Les phrases s’enchaînent et prennent aux tripes, impossible de découvrir l’intégralité en une seule traite. Besoin de pause, de sortir la tête et de penser à autre chose, en n’oubliant Jamais que tout cela a existé !

Stanislas Petrosky a su retranscrire dans un texte le visuel d'un dessinateur, sa vision de l'abject. J’ai pu apercevoir et imaginer ces dessins. J’ai vu le sombre, les nuances de gris, les ombres, les regards creux presque sans vie, résignés, les corps décharnés. Je n’ai par contre pas voulu voir les expériences de ses soi-disant médecin, ces passages, je les ai juste écoutés et enregistrés, garder une certaine distance.

Les faits sont justes là présent.

Un très beau livre, un récit qui peut être traumatisant, mais comme je dis toujours, un devoir de mémoire. On se doit de découvrir encore de telle histoire et ne pas oublier.

Merci M. Petrosky

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Ils étaient VINGT ET cent... de Stanislas Petrosky

Alors là....

Un récit qui prend aux tripes, qui nous émeut et à la fois qui nous fait réfléchir.

Un livre sombre, violent, révoltant.

Un livre simplement pour ne pas oublier que c'était il n'y a pas si longtemps, et que ce n'était pas de la fiction.

GUNTHER, jeune allemand opposé au régime nazi, excelle dans l'art du dessin.

Il se retrouve promu illustrateur officiel du camp de Ravensbrück, son oeil d'artiste interprète la vie et surtout la mort.

"Saisir l'horreur à la pointe d'un crayon."

Il me semble indispensable de dire que ce roman aussi passionnant est-il, reste une lecture difficile.

Ce roman serait pour moi à mettre entre toutes les mains qui s'intéresse à ces événements, à la situation et l'horreur des camps de concentration, d'extermination organisés par l'Allemagne du III ème Reich, même si on ne comprend toujours pas comment "ils" ont pu faire cela et fait cela.

L'auteur décrit d'une façon remarquable, précise, détaillée, une situation où tout étais mis en oeuvre pour anéantir la femme.

L'horreur....

La capacité du personnage principal à survivre, et au delà, à trouver l'énergie d'analyser et de transcrire sur papier à travers ses dessins ce que ces femmes captives ont vécu.

Sa capacité à se tromper sur les autres mais aussi sur lui et sa place au milieu de cette barbarie humaine.

L'auteur a ainsi pu décrire le système de ce camp, tel que mis en place par cet idéal nazi.

Une histoire dure qui relate les atrocités, la sauvagerie qu'ont subit les femmes dans la Shoah plus particulièrement à RAVENSBRÜCK.

Merci à Stanislas Petrosky et à EVIDENCE Edition pour ce merveilleux ouvrage.

Et surtout, n'oublions jamais....

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Diamant

Je ne lirai pas ce genre de roman tous les jours, mais je trouve qu’il est important de lire des œuvres comme celle-ci, afin de s’instruire et de ne pas oublier cette tragédie humaine qu’a été la Shoah. Dans “Ils étaient vingt et cent” les faits historiques et la fiction se mélangent pour créer une histoire poignante, déchirante, qui noue la gorge et donne les larmes aux yeux. J’ai même pleuré face à certaines scènes qui sont juste horribles et inimaginables.

Les descriptions sont réalistes, choquantes, et c’est la première fois que j’arrivais à visualiser la souffrance, les odeurs et les sons. Je peux dire que mes cinq sens étaient en alerte tout le long de l’histoire. C’est pour cela que si vous êtes sensibles, je vous conseille de réfléchir avant de vous lancer car il y a beaucoup de détails. J’ai beaucoup aimé “Ils étaient vingt et cent” car j’ai appris beaucoup de choses sur le camp de Ravensbrück et sur le quotidien morbide des femmes dans cet enfer. De plus, la fiction avec le personnage de Gunther et Edna m’a beaucoup ému ! Malgré que ça soit une lecture difficile, émotionnellement, je n’ai pas lâché le roman. C’était tout simplement impossible car j’avais envie de savoir comment ça allait se terminer et ce que nos personnages allaient devenir. Jusqu’au bout, ça a été une lecture addictive, déchirante et touchante ! 💛

Chronique entière : https://mademoiselleblue.home.blog/2021/06/03/chronique-ils-etaient-vingt-et-cent/

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Diamant

Je tiens particulièrement à remercier les éditions French Pulp et le site Netgalley qui m'ont permis de lire ce livre qui à été un vrai coup de cœur.

J'ai accroché de suite aux personnages Edna et Gunther. Je me suis vite attaché à eux. Gunther un jeune allemand qui est opposé au régime nazi mais qui dessine super bien, il va se retrouver illustrateur attitré au camp de Ravensbruck, il va interprété la vie et la mort dans ses dessins sous les ordres des nazis. Il à vécu l'horreur sous la pointe de son crayon. Il va y rencontrer la jolie Edna et va tout faire pour la sauver. Dommage que l'auteur n'en parle pas assez dans son livre.

Un livre lu d'une traite tellement j'ai accroché à l'histoire si émouvante à certains passages, captivante, remplie de suspens et de rebondissements avec des personnages très attachants surtout celui d'Edna. On se demande ce qu'elle à pu devenir à la fin.

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Or

Très bon récit des atrocités des camps de concentration pendant la deuxième guerre mondiale. L'horreur qu'ils ont subis ne s'est pas terminée à la libération des camps.

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Or

Un livre très dure, qui ne peut être que bouleversant, qui nous entraîne dans ce que l'âme humaine a de plus noire, mais aussi sur l’incroyable endurance et courage de femmes devenues par la force des choses des êtres extra-ordinaires. Ravensbrück, un camps quasi exclusivement féminin nous plonge dans une cruauté inhumaine que personne ne devrait oublier, afin que celle ci ne refasse jamais surface, car nous ne sommes à l'abri de rien. L’intérêt supplémentaire de ce livre est que l'histoire est conté par un jeune fermier allemand, Günther, qui se retrouve là par hasard, à être obligé de construire ce camps et d'y vivre. Ce qui sauve sa vie, ce sont ses talents de dessinateur, ce qui sauve son âme, c'est de vouloir devenir le témoin des atrocités qu'il dessine et ce qui le tient jusqu'au bout, c'est son amour pour Edna, une jeune juive. Un roman fort, d'un réalisme saisissant, sans tomber dans le voyeurisme à outrance et sans jugement, car si nous avions été à la place de Günther, qu'aurions nous fait pour sauver notre peau.....

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Argent

Gunther est le personnage allemand qui me manquait dans le panel de la seconde guerre mondiale. J’ai toujours trouvé qu’on manquait de nuances au niveau de l’engagement politique et du réflexe de survie même si au fil des mes lectures je change d’avis peu à peu. Ici on est face à un ado/jeune homme qui est dans la phase « rien à faire de l’actualité ». On n’a pas un nazi ni un résistant juste un ado qui vivait dans son monde jusqu’à ce que son père l’envoi comme travailleur volontaire. Il se retrouve contraint de construire Ravensbrück puis en tant qu’Allemand par la force des choses devient kapo. Pendant cette période, il prend conscience de l’actualité qu’il a raté et des ses conséquences. A ce moment là, il comprend que bien qu’il ne soit pas d’accord, la peur d’être envoyer au front puis celle de prendre le statut de prisonnier le contraint à faire profil bas, à subir et à faire subir. J’ai aimé être confronter à ce personnage qui n’a pas pris conscience tout de suite de ce qui se passait et quand enfin il comprend, il arrive à la conclusion qu’il n’est pas un héros et fera au mieux pour survivre. Il est lâche et l’assume, enfin lâche c’est vite dit car il tente à son échelle de limiter la casse. Etant dessinateur, il entreprend de tout dessiner pour avoir des traces des horreurs du camp. En se faisant prendre, il s’en sort en devenant le dessinateur officiel de Ravensbrück. Libre de circuler partout, on a sous la main un témoin de la vie du camp dans toute son horreur. C’est un roman dur, sans tabou mais qui arrive à présenter la diversité des exactions sans tomber dans la surenchère de l’horreur, dans un voyeurisme malsain. Le recul de Gunther associé à ses réflexions sur sa participation involontaire aide à obtenir une vision large, réaliste et nuancée des horreurs perpétués à Ravensbrück. Une lecture dur mais dont le choix de point de vue est vraiment bien trouvé.

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Diamant

Pour ne jamais oublier.

Gunther est un jeune allemand qui ne rêve que d'une seule chose devenir un artiste. Son précieux don pour le dessin pourrait sans conteste lui ouvrir maintes portes . Mais Gunther vient de la campagne et ici ce don n'apporte rien. Son père ne voyant pas d'un bon oeil le passe temps de son fils va le confier à un groupe de nazis en quête de volontaires. C'est ainsi que Gunther va se retrouver à Ravensbrück , témoin de la construction de ce camp et de tout ce qu'il va s'y produire. Son talent pour le dessin va attirer l'attention et le propulser dessinateur officiel du camp , un poste qui va le confronter aux pires horreurs que l'on puisse imaginer.

Il y a des livres qui nous marquent à jamais, qui laissent une empreinte si vivace dans notre esprit qu'il est impossible de les oublier et ce livre fait incontestablement partie de ceux là.

Quiconque me connaît un tant soit peu sait combien je suis friande de textes portant sur la seconde guerre mondiale , non pas par idéologie ou par goût pour la cruauté humaine mais simplement pour le fait qu'il ne faut pas oublier , jamais , le risque serait bien trop grand que l'Histoire se répète. Et malheureusement je constate que de plus en plus de gens oublient, se détournent du passé sans avoir conscience qu'il est nécessaire de se souvenir de ce qu'il s'est passé, de ceux qui ont péri sous le joug de la barbarie humaine pour éviter que toutes ces horreurs se produisent à nouveau, l'Homme ayant parfois du mal à apprendre des erreurs du passé.

Et ce livre est là pour cela, pour remettre quelques idées en place. Et je peux vous assurer que jamais vous n'oublierez cette lecture.

Comme je le disais Gunther est passionné de dessin depuis toujours. L'art c'est toute sa vie. Et son rêve est de faire de son art son métier. Mais il ne pouvait imaginer combien être reconnu dessinateur allait le conduire en plein enfer.

En commençant à travailler à la construction de Ravensbruck Gunther ne pouvait imaginer à quel point ce lieu allait devenir maudit . D'abord simple ouvrier sur le camp qui en plus de son travail usait son crayon pour relater ce qu'il voyait , il va devenir dessinateur officiel du camp . Il va alors devenir le témoin privilégié de tout ce dont les "officiels " du camp veulent garder une trace. Déjà marqué par ce qu'il voit au quotidien dans le camp, la violence , la haine de l'autre, les conditions de vie déplorables des prisonnières du camp , Gunther va découvrir que la barbarie n'a aucune limite .

Il m'est impossible de vous décrire ce que va découvrir mais Gunther mais sachez juste que tout ce qu'il nous décrit est vrai . Même si Gunther est un personnage fictif, né de l'esprit de Stanislas Petrosky, tout ce dont il est témoin et qu'il nous livre ici est réel, différents témoignages de survivants pouvant le confirmer.

Et cela rend cette lecture encore plus dure , plus poignante , plus révoltante.

Là où certains auteurs préfèrent suggérer les choses plutôt que de les détailler, Stanislas Petrosky prend le chemin inverse.

Gunther est dessinateur, son témoignage est donc très graphique, porté sur ces infimes détails qui nous rendent plus vivaces ce que l'on découvre. On a l'impression d'être avec lui , de voir de nos propres yeux les horreurs dont il est témoin.

Cela peut avoir un effet très oppressant par moments , très perturbant.

Stanislas Petrosky ne prend pas de gant avec le lecteur , il lui assène la vérité en pleine face , une vérité qui fait mal mais qui est nécessaire.

Dire que ce livre est fort et poignant serait un euphémisme tant il est au-delà de cela.

Je ne saurais vous en dire plus si ce n'est que ce livre fait partie de ceux qu'il faut absolument lire et faire lire à ceux qui aujourd'hui semblent ignorants du passé.

Une histoire au-delà des mots.

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Diamant

Sur une toile historique des heures les plus sombres du XXe siècle, Stanislas Petrosky nous immerge dans un roman noir et glaçant.

Loin des enquêtes pleine d'action de ses personnages L'embaumeur et Requiem, c'est tout en délicatesse et en émotions que l'auteur nous plonge dans la vie d'un camp de concentration. Gunther, le personnage principal, est enrôlé de force par les allemands pour aider à la construction du camp de Ravensbruck. Ne partageant pas les idées du Führer, il se laisse enrôler jusqu'à ce que les prisonniers arrivent au camp et que les tortures et meurtres commencent.

Il sera sauvé grâce à ses talents de dessinateur, il sera contraint de dessiner tous les coulisses du camp en échange d'une vie un peu plus décente sur le camp. Il décide de faire ses dessins en double pour faire un témoignage de ces années en enfer.

Ce roman est une pure merveille, un devoir de mémoire. Si les personnages principaux sont issus de l'imagination de l'auteur, la vie sur les camps, les différentes expériences faites sur les prisonniers et toute leur maltraitance.

Personnellement, j'ai été totalement happée par le roman, souffrant avec les personnages, j'ai dû prendre plusieurs pauses pour souffler.

Les personnages resteront dans mon esprit longtemps, ce roman a été fait pour que plus personne n'ignore ce qu'est la Shoah et pour ma part, c'est une mission remplie. Je connaissais déjà beaucoup de choses sur cette période via des livres et documentaires mais j'ignorais les camps strictement féminins... encore un pan d'histoire qu'on connaît moins et qui méritait d'être connu du plus grand nombre.

Bravo Stanislas pour ce livre qui hantera ma mémoire longtemps et merci.

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Diamant

http://saginlibrio.over-blog.com/2019/05/ils-etaient-vingt-et-cent.de-stanislas-petrosky.html coup de coeur

J'ai découvert il y a 3 ans Stanislas Petrosky avec son thriller psychologique "L'amante d'Etretat" qui m'avait vraiment bien plus. J'ai fait pour l'instant l'impasse avec sa série d'un curé déjanté "Requiem", et je le retrouve ici dans une roman très fort car il touche à ce que l'humain peut devenir de pire et les exactions qui ont eu lieu au camp de Ravensbrück pendant la 2GM.

Un livre pour ne pas oublier, car comme il dit, certains jeunes ado de nos jours ne sont même pas capables de dire ce qu'était la Shoah...

Alors ici on va suivre Gunther, cet allemand dont seuls les dessins le motivent. Ses parents milieu des années 30 vont l’enrôler de force et le voici construisant ce camp de 'travail'... un camp dans lequel il restera jusqu'à la fin... Nous le suivrons quasiment jour par jour, mois par mois, avec son oeil, ses ressentis, sa haine de ce qu'il voit, sa culpabilité de ne pas se sentir assez fort pour dépasser sa peur et faire cesser tout ce qu'il voit, toutes les aberrations....

L'auteur ne nous épargnera aucune des horreurs commises, des cruautés, des essais de chirurgies inhumaines.... cette inhumanité totale voulue par le Reich et ses détracteurs.

J'ai lu ce livre en plusieurs fois, car certaines scènes sont insoutenables, quand on sait qu'elles sont juste la retranscription d'une réalité qui nous d"passe l'entendement.

Et au milieu, certains résistent à cette folie qui les englue tandis que d'autres se laissent envahir.

Un roman d'une force et d'un réalisme rarement évoqués, presque sans filtre, qui ne laisse pas indifférent mais surtout qui 'interroge: dans la même situation, qu'aurais-je fait?

D'une puissance intense, ce roman n'est pas à mettre en toutes les mains, surtout les plus sensibles, mais il est fait pour qu'un témoignage perdure à jamais .... car dans chaque camps, certains n'avaient rien demandé et surtout pas de vivre tout cela.

Enjoy!

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