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- ... notre chatte avait attrapé un moineau. J'avais finalement réussi à le récupérer, mais il était mort. J'étais tellement triste en voyant cette pauvre boule de plumes inerte dans ma main. Et puis j'avais eu comme des picotements dans les doigts, une bizarre sensation de chaleur, et l'oiseau s'était réveillé. Ça m'avait tellement scié que je l'avais lâché. Il s'était déjà si bien retapé que, le temps que je me remette de mes émotions, il s'était envolé.
- Tu l'avais dit à tes parents ?
- Tu parles ! J'étais persuadé que j'étais magicien et que j'allais recevoir une lettre de Poudlard. (Sa poitrine tressaute : il rigole en sourdine.) Mes parents ont cru que j'exagérais. Ils ont arrêté de me lire Harry Potter le soir même.
source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entierDevon m'adresse un sourire goguenard .
-C'était pas à moi plutôt de payer la chambre ? Enfin, l'homme c'est moi, quoi. C'est pas comme ça que ça se passe normalement ?
Chaque fois, je me fais avoir par ces petite fossette. Je ne peux m'empêcher de lui rendre son sourire.
-Tu as l'air drôlement bien au courant, Casanova.
Afficher en entier- [...] J'étais persuadé que j'étais magicien et que j'allais recevoir une lettre de Poudlard ! (Sa poitrine tressaute : il rigole en sourdine.) Mes parents ont cru que j'exagérais. Ils ont arrêté de me lire Harry Potter le soir même.
- Et alors ? Tu l'as eue, ta lettre ?
- Non. Mais je n'ai pas lâché l'affaire pour autant. J'étais devenue carrément accro aux chouettes. Mon père a fini par m'expliquer que je devais être patient. Il m'a rappelé qu'il fallait avoir fêté son onzième anniversaire pour recevoir une lettre de Poudlard. Entre-temps, j'avais déjà compris que ce n'était pas de la magie. Et que je ne pouvais pas le dire à mes parents
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Devon se penche vers moi, sans cesser de me regarder dans les yeux, cherchant un signe, un avertissement, un assentiment peut-être. Oh ! il me laisse tout le temps de reculer, je ne peux pas dire le contraire. Mais je ne bouge toujours pas. C’est juste un petit baiser, léger et tendre. Aucun de nous deux n’a cherché à le prolonger. Devon pose son front contre le mien.
Afficher en entier- Je sais qu'elle te dégoûte. Faut dire qu'elle est ... horrible ...
- Elle ne me dégoûte pas. Seulement, elle me rappelle que tu étais en danger et que je n'ai pas été à la hauteur. Elle me rappelle que tu aurais pu mourir et que je n'ai pas su te protéger.
- Écoute Alec, tu ne seras pas toujours là. Je suis capable de me défendre toute seule. Pour nos prochaines missions, on va bien être obligés de se débrouiller en solo. C'était ma première fois sur le terrain. J'ai baissé la garde au mauvais moment. Cette cicatrice est là pour me servir de leçon. (Je l'embrasse sur la joue.) C'est déjà oublié.
source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entier— Non, pas moi, murmure-t-il. C’est ma vie d’hier qui fait ce que je suis aujourd’hui.
Afficher en entier"Holly a déjà l'air nettement moins déprimée. Un effet des vannes de Tanner, sans doute. Ils sont mignons tous les deux. Lui, avec son iroquoise verte et son piercing dans le nez, et elle, avec ses cheveux rouge pétant et sa coupe à la Emma Watson mal réveillée."
Afficher en entierJ'ai une grosse boule dans la gorge et les yeux qui piquent . Est-ce que ces images sont seulement réelles ? Est-ce que ces souvenirs sont vrais ? Peu importe. Quelqu'un essaie de contrôler mes pensées et de me manipuler. Mais cette fois, je ne me laisserai pas faire.
Afficher en entierIl descend légèrement sa main pour que je puisse admirer le résultat (une peau parfaitement lisse, sans la moindre cicatrice), mais il ne l’enlève pas. Elle a juste glissé pour épouser ma taille. Ses yeux cherchent les miens, se posent brièvement sur mes lèvres et remontent. J’ai la bouche sèche, tout à coup. Je connais ce regard-là. Je sais ce qu’il signifie.
Afficher en entierJe me dirige vers le pupitre, installé au centre de la scène. Peu à peu, les applaudissements cessent. Je balaie le public du regard, histoire de vérifier qu’il n’y a rien d’anormal. RAS. La majorité des fauteuils sont occupés par des gens d’une vingtaine d’années. Ils tomberaient de leur siège, je parie, s’ils savaient que le conférencier qu’ils viennent écouter si religieusement est, en fait, une fille de seize ans.
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