Extraits

Mais je t’aime depuis que j’ai découvert la signification du mot « amour » et je ne peux pas revenir en arrière.

Je sais ce qui me rend heureuse, me faire confiance. Quel cadeau, n’est ce pas ? J’ai trouvé la clef du bonheur.

T’aimer est la preuve dont j’avais besoin qui prouve que l’amour peut durer des décennies. Peut-être même toute une vie, qui sait.

— Tu as un souci de moiteur.

Les mots semblent ricocher entre nous, devenant de plus en plus stridents dans le silence assourdissant. Ses yeux étincellent, il se retient de glousser et finalement, incapables de nous retenir, nous éclatons tous les deux de rire.

— Viens-tu sérieusement de me dire que j’ai un souci de moiteur ?

Il n’arrive pas à se calmer.

— Non… oui.

— Êtes-vous pervers, Andrew Polley Hollis ?

Il se plie en deux.

— Je te promets que je n’avais jamais dit une chose pareille à une femme

La seule personne à qui tu dois rendre des comptes, c'est toi-même.

N’est-ce pas ce que les gens font quand ils tiennent à quelqu’un ? Ils confient leurs défauts et leurs erreurs avec autant de facilité qu’ils reconnaissent leurs forces ?

Je viens d’offrir mon coeur à la personne à qui je l’ai réservé durant la moitié de ma vie et je suis terrifiée à l’idée qu’il n’en ait pas conscience.

Je crois vraiment que tu es un fétichiste du placard.

Serait-il bizarre de t'avouer que je ne sais pas ce que je ressentirais si je n'étais pas amoureuse d'Andrew ?

Si seulement c'était son moment de boîte à fusibles, son grand chamboulement. On peut toujours rêver.