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"Les films d'horreurs ont tout faux. Les monstres ne peuplent pas nos nuits, ils n'attendent pas patiemment, tapis dans l'ombre, le bon moment pour surgir. Ils chassent le jour, en pleine lumière, quand la visibilité est à son maximum. La nuit, si par miracle vous parveniez à ne faire aucun bruit, ils pourraient presque vous frôler sans même remarquer votre présence."

(source: page facebook lumen éditions)

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Extrait ajouté par Amnesia-x 2017-10-01T21:29:15+02:00

Ces premiers jours une fois passés, j'appris très vite à limiter autant que possible mes émissions sonores et à éteindre toutes les lampes, le soir ou par temps sombre. La nuit, Ils se cachaient, mais le moindre son, le moindre éclat de lumière Les tirait aussitôt de leur tanière. Il suffisait d'un seul petit bruit, même à peine audible, pour que des silhouettes à la peau vert scintillant se jettent sur la clôture pour tenter d'en déchiqueter les maillons électrifiés.

Armée des jumelles de mon père, je Les épiais longuement, fascinée par leur apparence grotesque, leurs grondements féroces et leurs crocs acérés. Ils possédaient bien deux bras et deux jambes, mais là s'arrêtait leur ressemblance avec le genre humain. Sans aucun poil ni cheveu, Ils étaient tous de la même nuance vert-jaune. Ils ne portaient pas de vêtements, à l'exception de quelques-uns d'entre Eux, affublés de T-shirts ou de pantalons déchirés sans doute récupérés sur des morts. Un jour, j'en vis même un arborer une casquette de baseball sale aux couleurs des Cubs de Chicago - quel fou rire j'ai eu ! Dans l'Après, mon sens de l'humour était devenu un peu tordu, il faut croire.

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Extrait ajouté par Saurya 2015-07-12T15:08:29+02:00

Les hurlements continuèrent et je me bouchai les oreilles. Il serait mort dans moins d'une minute. Je voulais seulement que le bruit cesse. L'alarme fonctionnait toujours, mails Ils allaient bientôt la déchiqueter elle aussi. Je ne voulais pas faire ça mais me garder d'Eux était déjà bien assez.

[...]

Les créatures continuèrent à errer quelque temps dans le coin, satisfaites de leur repas. Épuisée, gelée et malheureuse, j'attendis ce qui me parut des heures de pouvoir rentrer chez moi. Une fois à la maison, mon premier geste fut de fixer une nouvelle alarme de voiture à un autre sac.

J'ignorais que cet échange [...] serait la dernière véritable conversation que j'aurais pendant très, très longtemps.

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Extrait ajouté par Mymy1999 2014-11-24T04:12:56+01:00

Je ne sors que la nuit.

Je remonte la rue déserte puis je m'arrête, muscle tendus, prête à l'action. Les herbes folles bruissent dans le vent. J'incline la tête. Je Les guette.

Les films d'horreur ont tout faux. Les monstres ne peuplent pas nos nuits, ils n'attendent pas patiemment, tapis dans l’ombre, le bon moment pour surgir. Ilschassent le jour, en pleine lunes, quand la visibilité est à son maximum. La nuit, si par miracle vous parvenez à ne pas faire de aucun bruit, ils pourraient presque vous frôler sans même remarquer votre présence.

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Extrait ajouté par Une_autre_lectrice 2023-10-30T16:02:37+01:00

Un jour, Gareth m'a dit que l'ignorance était un bienfait, et je lui avais répondu qu'elle était dangereuse. Nous avions tous les deux raison. Mais qu'est-ce qui valait le mieux ?

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Extrait ajouté par Tifaannyy 2018-04-28T18:28:22+02:00

Un monde à ce point parti en vrille, ça ne se répare pas.

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Extrait ajouté par America 2017-11-09T19:20:46+01:00

"Dans des endroits moins peuplés, les enfants étaient les plus à même de survivre. Les adultes les ont probablement cachés et ont fait tout leur possible pour les protéger. Et bien sûr, les enfants sont doués pour se cacher. Quand leur instinct de survie se réveille, ils savent comment ne faire aucun bruit.

- Ils croyaient aux monstres bien avant que les monstres n'arrivent, chuchotai-je."

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Extrait ajouté par America 2017-11-09T19:20:01+01:00

"De quoi il parle celui-là? Demande Baby en me tendant un livre: Orgueil et préjugés.

-C'est l'histoire de deux personnes qui s'aiment mais qui sont trop bêtes pour le comprendre avant la fin de l'histoire."

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Extrait ajouté par Liateewol 2015-09-27T13:57:42+02:00

Je glissai le chargeur en place puis, un sourire involontaire aux lèvres, je passai un bras dans le holster afin de l'enfiler. Dépourvue de la moindre idée de ce que j'allais trouver à l'extérieur, je fourrai dans mon sac à dos une lampe torche, un couteau et mon portefeuille. Quand j'y repense, je me dis que j'étais vraiment à la masse, à l'époque !

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Extrait ajouté par Saurya 2015-07-12T15:08:25+02:00

Je reculai, aussi silencieuse que possible. La créature passa la tête par l'embrasure. Son corps, hésitant, bloquait le passage. Finalement, elle pénétra à l'intérieur, balançant le crâne avec maladresse, de gauche à droite, pour tenter de se repérer dans le noir. En l’absence d'humains, Ils erraient sans but, à pas lents. Ils n'étaient jamais très véloces, en temps normal. Pour ça, il leur fallait une bonne raison - une proie dans leur champ de vision par exemple.

Le pied de la bête heurta mes chaussures abandonnées prêt de la porte. En une fraction de seconde, elle se retrouva à quatre pattes, à les renifler. Je continuais à reculer sans bruit, en chaussettes sur le sol glacial. Toujours courbée, elle avança dans ma direction. Dans mon sac, quelque chose bougea, produisant un bruit sourd. La tête du monstre se releva d'un coup et il se précipita sur moi.

[...]

Il se rapprocha. Il tournait toujours le menton dans tous les sens. L'odeur de viande pourrie qu'il dégageait me souleva le cœur. Il me regardait avec ses yeux jaune laiteux sans me voir. Je retenais mon souffle, sans même oser cligner des paupières. Le monstre fouinait partout avec frénésie. Je le regardais se lécher les crocs de sa langue bleu-noir. Il n'était plus qu'à quelques pas. J'en avais la chair de poule.

J’avais de plus en plus de mal à retenir ma respiration. J'aurais pu tenter de le bousculer pour m'enfuir... Mais Ils étaient rapides comme l'éclair : il m'aurait rattrapée bien avant que je n'atteigne la porte. Pétrifiée, je fixais ses dents incroyablement pointues, trop gosses pour sa bouche. Il me soufflait son haleine chaude et putride en pleine figure.

Quand il se pencha vers moi, je reculai encore d'un petit pas, prise de nausée. Je serrai les mâchoires pour ne pas céder à la terreur et partir à toutes jambes. Mon pied heurta une boîte de conserve qui roula loin de moi. La créature bondit vers le bruit. Elle me frôla presque. Je me fis aussi petite que possible : si elle me touchait, si elle s'apercevait de ma présence, c'en était fini de moi.

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