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-NOOOOON ! hurlai-je comme une bête blessée.

Je me retournai et mon regard fou se fixa sur la voiture. Chuck avait disparu. Je fonçai et me jetai au volant.Dans une brume rouge, je rentrai à la maison. Chuck était là, entrain de m'attendre sur la pelouse bien rasée. Il s'était transformé.

Il s'avança vers moi,les mains ouvertes, le regard suppliant.

-Indiana, c'était pour ton b...

Je lui collait la plus belle droite de ma vie. Utilisant min entrainement avec Axel, j'avais mis tout mon poids, tous mes muscles dans ce coup. Il fut si violent que Chuck bascula en arrière.

Il ne bougea plus.

Pour la première fois de ma vie, je venais d'assommer un loup-garou. Sans un regard pour sa masse effondrée, je passai devant lui. Nanny avait dû sentir ma fureur d'alpha, car elle surgit, le regard inquiet.

Un seul coup d'oeil à mon visage fermé et elle se ressaisit. Elle vit Chuck effondré au milieu de se pelouse et haussa un sourcil.

-Que s'est-il passé ?

-Rien, répondis-je simplement.

-Tu l'as frappé ?

-Oui.

-Avec quoi ?

Je désignai mes mains.

Son second sourcil se haussa.

-Tu as utilisé quelque chose ? Un bout de bois, une brique ?

-Non, grognai-je.

Elle me dévisagea, intriguée.

-Tu veux dire que tu as assommé Chuck avec tes points ?

-Non.

-Ahhh, je me disais aussi...

-Avec un seul.

Et pendant qu'elle me regardait, bouche bée, je montais dans ma chambre.

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(Indiana & Katerina)

-Tu sais,j'adore être chez toi. Nanny m'a installée dans une chambre d'amis, mais je me suis faufilée jusqu'à ta chambre,là je suis sur ton lit.

De virtigineuses images de slips sales et de chaussettes puantes assaillirent mon esprit.La vache,est-ce que j'avais bien tout rsngé avant de partir? Non,bien sûr,j'avais tout balancé comme un sauvage.

-Quoi.......quoi? coassai-je comme un débile.

Elle eut de nouveau un petit rire,me stupéfiant par sa capacité à lire dans mon cerveau.

-Relaaaaaax, Nanny a tout rangé.J'ai juste trouvé ta collection de Playboy.

-ma collec...mais je n'ai pas emporté ma...

-Ha ha! Je t'ai eu! Tu as donc bbien une collection de Playboy.

Hum...

D'accord, là j'étais rouge jusqu'aus oreilles.

-Tu m'as eu.

-Indéniablement.

-Tu vas me le payer.

-Ben il faudrait que tu reviennes pour ça, gloussa-t-elle,pas repentante pour un sou.

-Tu es une petite maligne,hein?

-Tu vas souffrir,mon pote.

-J'adore.

Et je raccrochai,un sourire débile sur la figure.Cette fille était en train de me rendre dingue.

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J’ai dix-huit ans et je suis un monstre.

Pas du genre avec des tentacules et des taches violettes, qui fonce sur les humains avec de grands « Gaarrrghhh ». Non, le genre anodin, qui se fond dans la masse. Qui ressemble aux humains. Les plus dangereux.

Enfin pas moi, vu que je ne ferais pas de mal à une mouche. En fait, il faudrait déjà que j’arrive à l’attraper.

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Ma plus grande originalité, c’est mon prénom : Indiana.

Ma mère était dingue d’Indiana Jones, son modèle.

Indiana Teller est donc mon nom. Pathétique.

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1) Je vais finir par devenir dingue de frustration sans aucun pouvoir, n’étant ni loup, ni rebrousse-temps, en dépit de ce qu’espère Nanny.

2) Je vais enfin acquérir mon pouvoir de rebrousse-temps et je vais devenir dingue comme ma mère.

Génial. J’adore ma vie.

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Oh, mince alors, encore une histoire de loup-garou. Avec hurlements, morsures et bagarres avec les vampires à la clef.

Pas du tout.

Si je rencontre un vampire, la seule chose que je pourrai faire c’est « arrgh » lorsqu’il me plantera ses dents dans le cou.

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- Enfin non, quelle idée, jamais tes grands-parents ne feraient une chose pareille : j’ai pris la place de personne. Je vais t’accompagner en tant qu’animal de compagnie !

Je fermai un instant les yeux. C’était la catastrophe.

- Chuck ?

- Mmmh ?

- Tu t’es regardé récemment ?

- Ouais, t’as vu, c’est top ! J’ai super grossi ! Je vais peut-être dépasser ton grand-père en poids ! A moi les jolies petites louves !

Je soupirai. Maintenant, non seulement j’avais la nausée, mais en plus j’avais mal à la tête.

- Il y a des tas de profs à l’université. Des gens à l’esprit scientifiques. Qui savent très bien qu’un chien aussi gros que toi, ça n’existe tout simplement pas.

Il fit la grimace.

- Certains danois, mastiffs ou groenendaels sont aussi hauts que moi ! D’ailleurs George, le plus grand chien du monde, fais cent onze kilos et mesure cent neuf centimètres au garrot !

- Et toi, quand tu es sous ta forme de loup, tu es aussi gros qu’un âne !

Je n’ajouterai pas qu’il en avait aussi les caractéristiques mentales.

- Et alors ?

- Alors pas question que je t’emmène avec moi.

Il me sourit. Et il n’y avait plus aucun humour dans ses yeux soudain froids.

- Je crois que tu n’as bien compris, punching-ball, tu n’as pas le choix. J’ai reçu un ordre de mon alpha. Je ne vais pas le défier et mourir pour te faire plaisir. Et tiens, regarde !

Il me tendit un truc brunâtre qui pendouillait.

- Je t’ai même apporté une laisse

Là, je sus que j’avais perdu.

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Je suis né sous une lune de printemps. Il paraît que c’est un joyeux présage. Youpi.

Maman aussi. C’est très étrange. Un 21 mars, pile poil. Ha ha. Nous sommes nés sous deux lunes de printemps. Pour une fille, ça fait très romantique. Pour un garçon… disons que j’évite de le mentionner.

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J’ai quand même deux, trois avantages. Je vois mieux que la plupart des gens, mon ouïe et mon odorat également sont meilleurs et, croyez-moi, au milieu d’une foule, je le regrette souvent.

Qu’on ne vienne pas me dire que ce sont des qualités de prédateur. Les lapins entendent très bien aussi.

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- Il semble que son père ait vu des loups-garous se transformer. Tu sais qu’on a vu des semis dans le coin. Et il y a eu plusieurs disparitions mystérieuses en début d’année universitaire.

Il hocha la tête, très inquiet tout à coup.

- Oui, mon père m’en a parlé. Il m’a interdit de me balader le sois sans plusieurs loups avec moi. Il avait peur qu’on se fasse attaquer.

Il était plus au courant que moi.

- O’Hara a eu tellement peur qu’il a mis des pièges à mâchoires d’argent dans son jardin et braque son fusil sur le ventre de ceux qui entrent chez lui.

- Merde.

Il me jeta un regard angoissé, comprenant tout de suite les implications.

- Si les secrets de la meute sont en danger…

- … ils vont le tuer, terminai-je pour lui. Et nous serons responsables de la mort du père de la fille que nous aim… que nous apprécions.

- Merde, répéta-t-il. Quel manque de bol que ce soit tombé sur lui !

- Oui, c’est aussi ce que je me suis dit lorsque je suis venu demander à Katrina pourquoi elle avait ta voiture et qu’il a pointé son fusil sur mon nombril en me demandant si j’étais un loup-garou.

- Il l’a carrément dit comme ça ?

- Ouais.

- Ca craint.

- Grave.

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