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Une horloge va sonner minuit quelque part. Le carrosse va se transformer en citrouille.

Le risque de le perdre

Le risque de le perdre

Le risque de le perdre, c’est 100 ans de solitude que je me refuse à imaginer.

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Je sais seulement que les scientifiques se trompent.

La Terre est plate.

Je le sais parce qu’on m’a poussée dans le vide et ça fait dix-sept ans que j’essaye de me cramponner au bord. J’essaye de remonter depuis dix-sept ans, mais c’est presque impossible de vaincre la pesanteur quand personne n’est prêt à te tendre la main.

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A ces mots, il retourne au tank et je me retrouve face à James, qui ne cache pas sa curiosité.

- T'as quel âge ? me demande-t-il ?

- Dix-sept ans.

Il hoche la tête.

- C'est ce qu'Adam m'a dit.

Je me hérisse.

- Et qu'est-ce qu'il t'a dit d'autre sur moi ?

- Que t'avais plus de parents non plus. Que t'étais comme nous.

Mon coeur fond. Ma voix s'adoucit.

- Et toi, t'as quel âge ?

J'aurai onze ans l'an prochain.

Je souris à belles dents.

- T'en as donc dix ?

Il croise les bras. Fronce les sourcils.

- J'en aurai douze dans deux ans.

Je crois que j'aime déjà ce gamin.

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Son cœur bat si vite que nos deux pouls se confondent. La température avoisine les 2 500 °C entre nous. Ses doigts s’insinuent juste sous ma taille et taquinent le petit morceau de tissu qui me garde encore à moitié décente.

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Je me suis toujours posé des questions sur les gouttes de pluie.

Je me demande comment elles tombent en trébuchant les unes sur les autres, en se brisant les jambes et en oubliant leur parachute quand elles dégringolent direct du ciel vers une fin incertaine.

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Castle

" Il reste encore une possibilité de changer tout ça. Nous pouvons fournir de l'eau potable à tout le monde. Veiller à ce que les récoltes ne soient pas régulées pour dégager davantage de bénéfices, nous assurer que les fruits et les légumes ne soient pas génétiquement modifiés au profit des industriels. Notre peuple meurt parce que nous lui donnons des poisons à manger. Les animaux meurent parce que nous les forçons à consommer des déchets, à vivre dans leur propre saleté, en les mettant en cage et en les maltraitant. Les plantes s'étiolent parce que nous déversons des produits chimiques dans la terre qui les rendent ainsi dangereuses pour notre santé. Mais nous pouvons rectifier tout ça. On nous abreuve de mensonges,parce que le fait d'y croire nous rend faibles, vulnérables, malléables. Nous dépendons des autres pour nos aliments, notre santé, notre subsistance. Ce qui nous immobilise. Fait de nous des lâches, et de nos enfants des esclaves. Il est temps pour nous de riposter. "

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- Quelqu'un doit l'aider ! Quelqu'un doit l'aider ! Il a besoin d'un médecin... Qu'est-ce que j'ai fait...

- Juliette...

- NE ME TOUCHE PAS... NE T'AVISE PAS DE ME TOUCHER...

Warner a renfilé ses gants et tente de me soutenir, de me ramener les cheveux en arrière, de sécher mes larmes et je veux le tuer.

- Juliette, faut que tu te calmes...

- AIDEZ-LE !

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1 mot,2 lèvres, 3,4,5 doigts qui forment 1 poing.

1 coin, 2 parents, 3, 4, 5 raisons de se cacher.

1 enfant, 2 yeux, 3,4, 17 années de frayeur.

1 manche à balai brisé, 2 visages farouches, des murmures rageurs, des cadenas sur ma porte.

Regardez-moi, voilà ce que j'avais envie de vous dire. Parlez-moi de temps en temps. Trouvez-moi un remède pour sécher ces larmes. J'aimerais vraiment pouvoir enfin souffler dans ma vie.

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Il tend sa main et je panique presque, avant qu'il ne fronce les sourcils et la retire en disant :

- Euh.... attends.... Excuse-moi....

[...]

- Parfois j'électrocute les gens par mégarde.

- Ne t'inquiète pas, je lui rétorque. Si je te serre la main, je risque de te tuer.

- Mince alors ! lâche-t-il dans un battement de paupières. ( Il me dévisage. Attend que je corrige mes propos. ) T'es sérieuse ?

- Tout a fait.

Il éclate de rire.

- OK, alors ! On ne se touche pas.

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Je me suis toujours posée des questions sur les gouttes de pluie.

Je me demande comment elles tombent en trébuchant les unes sur les autres, en se brisant les jambes et en oubliant leur parachute quand elles dégringolent en direct du ciel vers une fin incertaine. Comme quelqu’un qui vide ses poches sur la terre et se moque de savoir où leur contenu va tomber, de savoir que les gouttes de pluie éclatent quand elles heurtent le sol, qu’elles se fracassent quand elles chutent, que les gens maudissent les jours où les gouttes osent pianoter sur leur porte.

Je suis une goutte de pluie.

Mes parents se sont débarrassés de moi comme s’ils vidaient leurs poches et m’ont laissée m’évaporer sur une dalle de béton.

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