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Liste des extraits

(Anderson, Warner et Juliette)

-De justice fiston, répond Anderson en me regardant à présent. Je parle de justice. j'aime l'idée de mettre les choses au clair. De mettre de l'ordre dans le monde. Et j'attendais ton arrivée pour te montrer exactement ce que je veux dire. Voilà, dit-il, ce que tu aurais dû faire la première fois. (Il lance un regard à Warner)Tu m'écoutes? Regarde bien maintenant. Tu regardes?

Il sort un pistolet.

Et me tire une balle dans la poitrine.

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"Les livres se détruisent facilement. Mais les mots vivront aussi longtemps que les gens pourront s’en rappeler. Les tatouages, par exemple, sont très difficiles à oublier. Je crois que la vie a un caractère tellement éphémère aujourd’hui qu’on a besoin de graver des mots sur notre peau. Ça nous rappelle qu’on est marqués par le monde, qu’on est toujours vivants. Qu’on n’oubliera jamais."

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J’ai voulu croire aux contes de fées et aux heureux dénouements. J’ai voulu faire comme si j’étais quelqu’un de meilleur que je ne le suis en réalité.

Ne m’échappe pas – Tahereh Mafi

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Il s’écarte,respire fort,ses mains s’insinuent sous le tissu doux de ma combinaison,et il est si brûlant,sa peau est si brûlante,et je crois bien que je l’ai déjà dit,mais je ne m’en souviens pas,et je suis tellement

étourdie que lorsqu’il parle,je ne comprends pas tout.

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« Je ne suis rien de plus que la conséquence d'une catastrophe. »

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« Tout à coup, Warner est à califourchon sur mon corps sanguinolent, tout en prenant soin de ne pas peser de tout son poids, et il retrousse les manches de mon tee-shirt. Il attrape mes bras nus et dit :

— Ça va aller. On va réparer tout ça… Elles vont m’aider à te guérir, et toi… tu vas t’en sortir. (Profondes inspirations.) Tu vas être parfaite. Tu m’entends ? Juliette, tu m’entends ?

Je bats des paupières. Je bats des paupières encore et encore et encore, et suis toujours fascinée par ses yeux. Cette nuance de vert si stupéfiante.

— Chacune de vous deux doit attraper mes bras ! hurle Warner aux filles, tandis que ses mains agrippent toujours fermement mes épaules. Maintenant ! S’il vous plaît ! Je vous en supplie…

Et, bizarrement, elles obtempèrent.

Peut-être qu’elles perçoivent quelque chose en lui, sur son visage, dans ses traits. Peut-être qu’elles perçoivent ce que je perçois, moi, dans ma vision délirante, embrumée. Le désespoir de son expression, l’angoisse gravée sur ses traits, la façon dont il me regarde, comme s’il risquait de mourir en même temps que moi.

Et je ne peux m’empêcher de penser que c’est un cadeau d’adieu intéressant de la part du monde des vivants.

À savoir qu’au moins, en définitive, je ne serai pas morte toute seule. »

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« — Pourquoi t’as apporté une paire de chaussettes ? Les gens essaient de manger tranquillement.

Il se fige une demi-seconde et lève les yeux au ciel. S’approche de moi. Tire sur ma queue-de-cheval.

— J’étais à la bourre pour vous retrouver, Votre Altesse. J’ai pas eu le temps de les enfiler, précise-t-il en montrant ses chaussettes dans sa main, puis ses bottes.

— T’es franchement écœurant.

— Tu sais, t’as une drôle de manière de me dire que je t’attire. »

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-T'aime Shakespeare ? me demande-t-il.

Drole d'enchainement.

Je secoue la tête.

-Tout ce que je sais de lui, c'est qu'il a volé mon prénom en l'orthographiant de travers.

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"La culpabilité grandit en moi par blocs entiers, s'installe sur mon squelette, me scinde en deux. C'est un câble qui s'enroule autour de mon cou, une chenille qui rampe sur mon ventre. C'est la nuit et minuit, et le crépuscule de l'indécision.

C'est trop de secrets que je ne peux plus garder"

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"Ce serait si simple de paralyser le monde autour de moi. D'aspirer toute sa force vitale et de le laisser mort dans la rue, uniquement parce que quelqu'un m'a dit que je devais le faire. Parce que quelqu'un a pointé l'index en disant : ce sont eux les méchants. Ces types, là-bas. Tue-les, on te dit. Tue-les parce que tu nous fais confiance. Tues-les parce que tu combats dans le bon camps. Tues-les parce qu'ils sont mauvais et que nous sommes bons. Tues-les parce qu'on te dit de le faire. Parce que certaines personnes sont si bêtes qu'elles pensent en fait qu'il existe d'épaisses lignes fluo qui séparent le bien du mal. Parce que c'est facile d'établir ce genre de distinction et de se coucher le soir avec la conscience tranquille. Parce que c'est ok.

C'est ok de tuer un homme si quelqu’un d'autre le juge inapte à vivre.

Ce que j'ai vraiment envie de dire, c'est ; Qui êtes-vous, bon sang, qui êtes-vous pour décider qui doit mourir? Qui êtes-vous pour décider de qui devra être tué. Qui êtes-vous pour me dire quel père je devrais assassiner, et quel enfant je devrai rendre orphelin, et quelle mère devra être privée de son fils, quel frère devra être privé de sa soeur, quelle grand-mère devra passer le restant de ses jours à pleurer aux premières lueurs du matin parce que le corps de son petit-fils a été enterré avant le sien? [...]"

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