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Page 144.

- Ce monde n'est pas le vôtre, Sara.

Les mots sont inattendus, comme un coup en pleine poitrine.

- Comment? Je ne comprends pas.

- Ce job n'est pas bon pour vous.

Je secoue la tête. Ce monde n'est pas le mien?

Venant de Chris, un artiste établi, ces paroles me donnent l'impression d'être inférieure, rejetée.

- Vous m'avez demandé pourquoi je ne suivais pas mon cœur, pourquoi je ne poursuivais pas mon rêve.

C'est ce que je suis en train de faire.

Je ne pensais pas que vous le feriez dans cet endroit.

Cet "endroit". Je ne sais pas ce qu'il cherche à me dire. Veut-il parler de la galerie? De la ville? Juge-t-il que je ne suis pas assez bien pour faire partie du cercle de ses intimes?

Ecoutez, Sara.

Il hésite et lève la tête en l'air, comme s'il luttait pour trouver ses mots, avant de poser un regard inquiet sur moi.

- J'essaie simplement de vous protéger. Ce monde dans lequel vous avez pénétré est empli de sombres connards arrogants et déséquilibrés qui joueront avec vous et vous utiliserons jusqu'à ce que vous ne vous reconnaissiez plus.

- Faites-vous partie de ces sombres connards arrogants et déséquilibrés?

(...)

- Je suis pire encore.

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Nous parlons des pensées intimes d’une femme, Ella. Je suis sûre que tu ne veux pas tirer profit de sa souffrance.

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Personne ne laisse sa vie derrière lui ainsi, à moins d’être frappé par un malheur… ou par une tragédie.

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Comment la peur peut-elle être excitante ? Comment la peur peut-elle faire naître un désir si brûlant en moi ? Car oui, je le désire, j’ose des choses dont je ne me serais jamais crue capable. Est-ce la vraie Rebecca ? Cette idée m’effraie au plus profond de mon être. Cette personne ne peut pas être moi. Je ne suis pas elle. Bien plus que la peur d’être quelqu’un que je ne reconnais plus, je redoute l’idée de ne pas être cette personne. Je redoute de revenir en arrière. De redevenir cette gentille fille à la vie ennuyeuse, qui effectuait des tâches sans intérêt de neuf heures à dix-sept heures. Jamais heureuse, jamais comblée.

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— Je vois que vous ne vous êtes pas aventurée très loin, dit-il avant de lancer un regard à l’autre homme. Ne me dis pas que tu vantes ton propre travail pendant l’exposition de Ricco ?

Il reporte son attention sur moi.

— Était-il en train de vanter son travail ?

J’en suis hébétée.

— Attendez. Son propre travail ?

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- Pourquoi seriez-vous virée, mademoiselle McMillan ?

- A cause de Chris.

- Chris nous a apporté beaucoup d'argent ce soir, à tous les deux. Et rapporter de l'argent n'est pas un motif de licenciement. En revanche, vous servir de Chris pour me manipuler afin d'obtenir de l'argent serait une raison valable. Mais vous ne feriez jamais cela, je me trompe ?

- Non, dis-je.

Je m'autorise alors à m'aventurer sur un terrain que je n'aurais jamais osé fouler en temps normal. Mais près tout, rien n'est normal ces derniers jours.

- Et je ne veux pas participer à votre petite guéguerre. Je n'aime pas les combats de coqs. Je veux simplement faire mon travail et le faire bien.

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Je n’aime pas les mensonges. J’ai connu ma part de menteurs et je sais à quel point un mensonge peut faire du mal. Je n’aime pas du tout la facilité avec laquelle celui-ci est sorti de ma bouche. Après tout, je suis face à Ella, ma voisine qui, au cours de l’année passée, est devenue ma confidente, la petite sœur que je n’ai jamais eue. Ensemble, nous formons la famille qu’aucune de nous n’a jamais connue, ou désiré connaître.

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Moi, Sara McMillan, professeur de lycée, je ne m’immisce pas dans la vie privée des gens. Je n’affectionne pas non plus ce genre de lecture. Je suis encore en train de me répéter ces mots quand j’arrive à la porte, mais je ne peux ignorer la chaleur sourde qui m’a envahie.

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Il aime bien trop la vulnérabilité que révèle ce genre de supplication. Il adore me refuser son plaisir jusqu’à ce que j’en tremble d’excitation. Jusqu’à ce que je sois réduite à ce désir brûlant et larmoyant. Il aime exercer ce pouvoir sur moi. Il aime être celui qui contrôle. Alors que je devrais le détester, j’ai parfois l’impression de l’aimer.

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Dangereux.

Depuis des mois, mes rêves et mes cauchemars sont hantés par la perfection avec laquelle il personnifie ce mot. Aux portes de la conscience, je me perds dans une réalité alternée où son parfum musqué me saisit, où je sens son corps ferme contre le mien. Je devine alors le goût sucré et sensuel de sa peau sur mes lèvres – comme du chocolat, une invitation délicate à m’accorder une nouvelle bouchée. Puis encore une autre. Si délicieusement bon que j’en ai oublié le prix de la complaisance. Car la complaisance a un prix.

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