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Commentaires de livres faits par Irene-Adler

Extraits de livres par Irene-Adler

Commentaires de livres appréciés par Irene-Adler

Extraits de livres appréciés par Irene-Adler

date : 22-12-2019
C'est ainsi que mon peuple désigne l'océan : "l'eau-qui-pue". Les lakotas en ont très peur.
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date : 22-12-2019
Le vent s’engouffrait en miaulant dans Wardour Street. Chargées de minuscules flocons de glace, les bourrasques obligeaient les rares passants à courber l’échine et à marcher la tête enfoncée entre les épaules. Au loin, les arbres de Saint Anne’s balançaient à la manière de pendules au milieu des ruines de l’église, avec de brusques sursauts qui faisaient craquer leurs bois. Plusieurs magasins de meubles bon marché se suivaient, avant de laisser place à un public bar, aux vitres bardées de planches entrecroisées et d’où montait un air de trompette. Devant le porche, abritées par un auvent, plusieurs filles discutaient dans la pénombre en tendant des chopes de bière. Chaque rire était suivi d’une gorgée, et chaque gorgée entraînait un nouvel éclat de rire. Pour tromper le froid, elles frappaient leurs souliers contre le pavé, dans une sorte de rythme qui suivait celui de la trompette.
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date : 22-12-2019
Amelia Pritlowe buvait un thé dans une minuscule échoppe au coin d’Osborn Street. Tout en soufflant par saccades sur la surface de sa boisson qui produisait des filets de vapeur blanche, elle observait la rue. Le trottoir charriait une foule de marcheurs transis, filant vers l’entrée du métro. Une femme engoncée dans un ample manteau de laine verte surgit du coin de Whitechapel High Street. Une enfant d’une dizaine d’années lui tenait la main.
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— N'oublie jamais ceci, reprit Holmes. La médiocrité ne rencontre jamais rien de plus élevé qu'elle-même, mais le talent, lui, reconnaît toujours le génie. Vous avez du talent, mes jeunes amis.
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Le comte et Franz firent tourner bride à leurs chevaux, pour affronter les fauves, quand soudain, un homme sortit de l'ombre du vieux chêne. Il fit deux pas et se posta entre les voyageurs et leurs assaillants.
Malgré la pénombre, on pouvait entrevoir sa haute et forte stature, l'épée qu'il portait au côté et, sur sa tête, un chapeau à large bord. La surprise des voyageurs devant cette apparition se mua en incrédulité lorsqu'ils virent les loups suspendre leur offensive.
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La bora, ce terrible vent de nord-ouest qui creuse et soulève les eaux de la sauvage Adriatique, qui devient alors si dangereuse pour le marin, soufflait avec rage au-dessus du karst, secouant les branches des vieux chênes noueux dans les montagnes de la Carniole. Une compagnie de cinq voyageurs escortant une chaise de poste tirée par deux mulets s'engageait sur un sentier forestier qui offrait quelque protection contre les tempêtes d'avril, leur permettant de se reposer un peu. La nuit tombait dans un froid obscur, et, par moments, se formaient même de gros flocons de neige
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date : 22-12-2019
Le livre avait quand même un peu aidé. Il lui avait permis de lui parler d’amour. Et il semblait qu’il désirait qu’elle lui parle elle aussi d’amour. Et bien sûr qu’elle l’aimait. Comment aurait-elle pu ne pas l’aimer ? N’aimait-elle pas sa vie ?
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date : 22-12-2019
[...] il s'arrêta et retourna dans sa chambre pour prendre la dent perdue ce matin et l'emporter prendre son déjeuner avec lui.
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date : 22-12-2019
- Pas de flingue, dit-il. T'enlève ta veste pour creuser, il voit le flingue, il comprend le topo ; et puis une détonation dans un cimetière en pleine nuit, ça peut s'entendre, et t'aurais pas le temps de refermer la tombe.

- Mais bon sang ! Engel, t'auras une pelle, dit quelqu'un.

- Je dois lui taper dessus avec une pelle ?
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date : 22-12-2019
Il leur parlait à tous et il les adsorbait comme un chaton absorbe de la crème et John sentit que son cœur allait s'arrêter de battre complètement car l'étranger avait en ce moment la vieille poupée de Pearl entre les mains et il la faisait rebondir en l'air sur les genoux de la petite fille comme si ce n'était rien que la plus simple, la plus ordinaire des poupées du monde.
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date : 22-12-2019
— Vous voyez, Yudel. À Maseru, j'ai été sauvée par un homme bon qui défendait une mauvaise cause, et le lendemain, j'ai été délivrée par un homme mauvais qui se battait pour une bonne cause.
— Rien n'est jamais simple dans la vie.
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Le soldat moyen, armé d'un fusil et d'une baïonnette, va automatiquement enfoncer l'arme aussi loin qu'elle pourra aller. En fait, il transpercera son ennemi.
Cela, on doit lui enseigner à ne pas le faire. La peau et les muscles collent à la lame et il devient difficile de l'extraire. La bonne méthode, telle qu'on l'enseigne dans l'Armée, c'est un coup de baïonnette bref, suivi d'un demi-tour pour supprimer la friction au moment où l'on retire l'arme.
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date : 22-12-2019
Imaginez que vous retrouviez une photo de vous, bébé, m’avait expliqué un client un jour. Ce bébé n’existe plus, d’accord, mais ce bébé n’est pas mort, vous comprenez ? Ce bébé a évolué. C’est comme le latin. Le latin n’existe plus, mais vous et moi, nous le parlons tous les jours.
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date : 22-12-2019
J’avais 6 ans quand c’est arrivé. J’étais en colonie de vacances en Savoie. C’est mon premier souvenir, tout ce qui précède est flou, et se déroule dans un manoir surplombant la mer en Bretagne. C’est là que j’ai grandi, faisant du vélo au bord de la falaise sous l’œil d’une mère américaine et vagabonde, et celui d’un père artiste peintre. J’ignore si ces images sont réelles ou le fruit de mon imagination, je ne le saurai sans doute jamais car voilà où tout commence : lors de ce camp de vacances dans les Alpes, où je vois les gendarmes arriver un matin.
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date : 14-12-2019
Encore et encore, il entendait affirmer – avec une assurance ex cathedra – que les abusés deviennent des abuseurs. Qu’un enfant agressé sexuellement fera la même chose en grandissant.
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Le succès se mesure parfois non pas à ce qui se passe, mais à ce qu’on a évité.
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Duke était un bon débatteur, il connaissait son sujet et savait parfaitement justifier ses thèses. Il était décontracté et en apparence plein de savoir-vivre – davantage encore, semblait-il, lorsqu’il était attaqué de front par des gens qui maîtrisaient mieux que lui la question. Et quand on démontait ses arguments fallacieux, étayés par des faits mensongers, Duke gardait son calme. Il opposait une rhétorique spécieuse qui laissait souvent ses adversaires K.-O. et donnait le sentiment qu’on avait affaire à un type brillant.
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Une journée hautement comique, à y repenser : les hommes du Klan avaient trois flics infiltrés parmi eux et on leur avait assigné comme garde du corps celui qui pilotait l’enquête.
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Lors de ses cérémonies les plus sacrées, le Klan empruntait à la liturgie catholique pour laquelle il affichait un profond mépris. Une des preuves les plus flagrantes de leur hypocrisie.
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Trop souvent, par l’ardeur qu’ils déploient pour trouver un "scoop", les médias génèrent eux-mêmes les événements dont ils parlent ensuite. Ce qui ne sert que l’individu et le sujet couvert, en offrant une tribune ou un pouvoir que ni l’un ni l’autre ne mérite.
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– Absolument. Tout le monde pense que si on contrôle les riches, ils vont aller mettre leur argent ailleurs. "Et quand la France, je cite, sera un pays de pauvres, qu’est-ce qu’on fera ?"

– Vous commencez à m’emmerder avec vos citations !

– C’est vous qui l’avez écrit, monsieur le président. Pour votre campagne électorale de 1928.
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Pour un banquier, la faillite d’un établissement de crédit, c’est comme un deuil familial.
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Il arrive que des hommes aux idées courtes deviennent grands lorsque les circonstances s’y prêtent.
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Nul individu ne porte la faute collective attribuée à ses ancêtres, au nom de son ethnie, de sa couleur ou de son sexe.
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Ils ne nous pardonneront jamais le mal qu’ils nous ont fait.
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Tout le paradoxe est là. L’antisémite croit qu’il reproche au juif d’AVOIR quelque chose qu’il n’a pas… mais il reproche aussi au juif de NE PAS AVOIR quelque chose (qu’il n’a pas non plus) mais de plutôt bien vivre sans.
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