Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 728
Membres
1 013 517

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par Irene-Adler

Extraits de livres par Irene-Adler

Commentaires de livres appréciés par Irene-Adler

Extraits de livres appréciés par Irene-Adler

Si vos ancêtres ont gagné leur liberté sur les champs du danger et de la gloire, nos ancêtres la possédaient de droit à la naissance, et nous avons dû vous la quémander comme le plus misérable des esclaves achète sa liberté…
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
La versatilité de vos déclarations est telle que celui qui a planté un piquet et tracé une ligne autour de nous, et a affirmé que cette ligne ne serait jamais dépassée, fut le premier à dire qu’il ne pouvait la garantir, et il arracha le piquet et effaça toute trace de ligne.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Rendez-moi ma liberté – liberté de voyager, liberté de m’arrêter, liberté de travailler, liberté de faire du commerce là où je le choisis, liberté de suivre la religion de mes pères, liberté de penser et d’agir pour moi-même – et j’obéirai à chaque loi ou je me soumettrai au châtiment.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
J’ai demandé à certains grands chefs Blancs d’où ils tenaient le droit de dire à l’Indien qu’il resterait dans un endroit alors qu’il voit les hommes blancs aller où ils veulent. Ils ne peuvent me répondre.

Ce que je demande au gouvernement, c’est d’être traité comme tous les autres hommes sont traités. Si je ne peux aller dans mon propre foyer, donnez-moi un foyer où mon peuple ne mourra pas si vite…
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Si l’homme blanc veut vivre en paix avec l’Indien, il peut vivre en paix. Il n’est pas nécessaire de se quereller. Traitez tous les hommes pareillement. Donnez-leur la même loi. Donnez-leur à tous une chance égale de vivre et de croître…
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Nous ne pouvons vivre côte à côte. Il y a sept ans seulement nous avons signé un traité qui nous assurait que les terrains de chasse aux bisons nous seraient laissés pour toujours. Ils menacent maintenant de les reprendre. Mes frères, devons-nous nous soumettre ou devons-nous leur dire : "Tuez-moi d’abord avant de prendre possession de ma patrie !"
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Ce peuple [l'Homme Blanc] a fait des lois que les riches peuvent briser mais non les pauvres. Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent.

Ils revendiquent notre mère à tous, la terre, pour eux seuls et ils se barricadent contre leurs voisins ; ils la défigurent avec leurs constructions et leurs rebuts.

Cette nation est comme un torrent de neige fondue qui sort de son lit et détruit tout sur son passage.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
J’admets qu'il y a de bons hommes blancs, mais leur nombre est sans comparaison avec celui des mauvais qui doivent être les plus forts puisqu’ils dominent.

Ils font ce qui leur plaît. Ils asservissent ceux qui ne sont pas de leur couleur, bien qu’ils aient été créés par le même Grand Esprit que nous. Ils feraient de nous des esclaves s’ils le pouvaient.

Comme ils n’y parviennent pas, ils nous tuent ! Aucune foi ne peut être accordée à leur parole. Ils ne sont pas comme les Indiens qui, ennemis pendant la guerre seulement, sont amis en temps de paix.

Ils diront à l’Indien : "Mon ami, mon frère !" Ils lui prendront la main et au même instant, le détruiront.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Où sont les guerriers aujourd’hui ? Qui les a exterminés ? Où sont nos terres ? Qui les pille ? Quel homme blanc peut dire que je lui ai volé sa terre ou un seul de ses sous ? Pourtant, ils disent que je suis un voleur.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Quel traité le Blanc a-t-il respecté que l’homme rouge ait rompu ? Aucun. Quel traité l’homme blanc a-t-il jamais passé avec nous et respecté après ? Aucun.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Pourquoi prendre par force ce que vous pouvez avoir tranquillement par l’amitié ? Pourquoi nous anéantir alors que nous vous fournissons votre nourriture ? Que pouvez-vous obtenir par la guerre ? Nous pouvons cacher nos provisions et nous réfugier dans les bois ; vous mourrez alors de faim pour avoir mal agi avec vos amis. Pourquoi êtes-vous jaloux de nous ?
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Si nous n’avions ni argent, ni terre, ni pays, rien dont nous puissions être volés, ces manteaux-noirs [les missionnaires] ne se soucieraient pas de notre bien dans l’au-delà.

Le Grand Esprit ne nous punira pas pour ce que nous ne savons pas. Il rendra justice à ses enfants rouges.

Ces manteaux-noirs parlent au Grand Esprit et demandent que nous voyions la lumière comme eux, lorsqu’eux-mêmes sont aveugles et en désaccord sur la lumière qui les guide.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Ils ne nous sont d’aucune utilité [les missionnaires]. Si les Blancs n’ont pas besoin d’eux et qu’ils ne leur sont d’aucun secours, pourquoi les envoient-ils chez les Indiens ? Si l’homme blanc a besoin d’eux et qu’ils lui sont secourables, pourquoi ne les garde-t-il pas chez lui ?
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Frère, on nous a dit que tu avais prêché parmi les hommes blancs aux alentours. Ces gens sont nos voisins : nous les connaissons. Nous attendrons un peu et verrons les effets que tes prédictions ont eus sur eux. Si nous trouvons qu’ils deviennent meilleurs, plus honnêtes et moins disposés à tromper les Indiens, nous reconsidérerons ce que tu nous as dit.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Nous ne nous querellons jamais à propos de religion parce que c’est un sujet qui concerne chaque homme devant le Grand Esprit.

Frère, nous ne voulons pas détruire ta religion, ni te la voler ; nous voulons seulement jouir de la nôtre.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Frère, tu dis qu’il n’y a qu’une façon d’adorer et de servir le Grand Esprit. S’il n’y a qu’une religion, pourquoi le peuple blanc est-il si partagé à ce sujet ? Pourquoi n’êtes-vous pas tous d’accord, si vous pouvez tous lire le livre ?
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Frère, notre territoire alors était grand et le vôtre était petit. Vous êtes maintenant devenus un grand peuple, et il nous reste à peine l’espace pour étendre nos couvertures. Vous avez notre pays ; mais cela ne vous suffit pas. Vous voulez nous forcer à épouser votre religion.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Jusqu’à ce qu’un jour maudit s’abattît sur nous : tes ancêtres avaient traversé les grandes eaux et posaient le pied sur cette terre. Ils étaient peu nombreux. Ils trouvèrent en nous des amis, pas des ennemis. Ils nous racontèrent qu’ils avaient quitté leur pays aux mains de mauvais hommes et qu’ils venaient ici pour jouir de leur religion. Ils nous demandèrent une petite place. Nous les avons pris en pitié et avons pourvu à leurs demandes et ils s’assirent parmi nous. Nous leur avons donné du maïs et de la viande ; en retour, ils nous ont donné du poison (du rhum)…
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Néanmoins, nous vous restons obligés pour votre offre bienveillante, bien que nous ne puissions l’accepter ; et pour vous montrer combien nous vous en sommes reconnaissants, nous nous proposons d’accueillir une douzaine de vos fils, si ces messieurs de Virginie le veulent bien, de prendre soin de leur éducation, de les instruire en tout et de faire d’eux des hommes.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Plusieurs de nos jeunes gens ont été jadis élevés dans les collèges des provinces du Nord ; ils furent instruits de toutes vos sciences mais, quand ils nous revinrent, ils ne savaient pas courir et ignoraient tout de la vie dans les bois… Incapables de faire des guerriers, des chasseurs, ou des conseillers, ils n’étaient absolument bons à rien.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
[...] lorsque vous voulez vous offrir un bon morceau, c’est à nos dépens ; et que vous êtes contraints d’avoir recours aux Indiens que vous méprisez tant, et vous leur mendiez le produit d’une chasse pour vous régaler. Maintenant dites-moi un peu, si vous avez un peu de bon sens, lequel des deux est le plus sage et le plus heureux : celui qui travaille sans cesse et n’obtient qu’à grand-peine juste assez pour vivre, ou celui qui se repose confortablement et trouve tout ce dont il a besoin dans les plaisirs de la chasse et de la pêche ?
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Nous étions un peuple sans lois, mais nous étions en très bons termes avec le Grand Esprit, Créateur et Maître de toute chose. Vous présumiez que nous étions des sauvages. Vous ne compreniez pas nos prières. Vous n’essayiez pas de les comprendre.

Lorsque nous chantions nos louanges au soleil, à la lune ou au vent, vous nous traitiez d’idolâtres.

Sans comprendre, vous nous avez condamnés comme des âmes perdues, simplement parce que notre religion était différente de la vôtre.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Le vieux Lakota était un sage. Il savait que le cœur de l’homme éloigné de la nature devient dur ; il savait que l’oubli du respect dû à ce qui pousse et à ce qui vit amène également à ne plus respecter l’homme. Aussi maintenait-il les jeunes gens sous la douce influence de la nature.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Il nous est maintenant facile, à nous tous qui ne sommes pas Indiens, d’éprouver rage et souffrance pour eux. Les Indiens morts ou vivants n’auraient témoigné que mépris et pitié pour de tels sentiments. Il est trop facile de ressentir de la sympathie pour un peuple dont la culture a été anéantie.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
L’homme blanc, lui, retourne le sol, abat les arbres, détruit tout… Il fait exploser les rochers et les laisse épars sur le sol… Comment l’esprit de la terre pourrait-il aimer l’homme blanc ? Partout où il l’a touché, il laisse une plaie.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Les Indiens n’ont pu être arrachés à leurs lieux d’existence, n’ont pu changer de mode de vie sans subir un appauvrissement spirituel grave.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0


Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode