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Commentaires de livres faits par Irene-Adler

Extraits de livres par Irene-Adler

Commentaires de livres appréciés par Irene-Adler

Extraits de livres appréciés par Irene-Adler

date : 05-09-2019
— Vous dites "les Indiens". Mais il ne s’agit pas juste des Indiens. Il s’agit des Apaches. De nombreux Indiens répondent à la gentillesse : les Pueblos, par exemple, ce sont des gens très aimables ; ou même les Navajos, qui ont renoncé à leurs mauvaises coutumes. Mais pas les Apaches. Savez-vous ce que veut dire "Apache" ? C’est un mot zuni qui signifie "ennemi". Les autres Indiens les ont désignés ainsi ― eux-mêmes se nomment les "N’De". En réalité, "ennemis" est bien le terme qui convient : ennemis de la race humaine et de tout ce qui est vivant.
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date : 05-09-2019
Les Apaches aussi ont un code. Le voici : le plus fort, c’est celui qui tue le plus de monde. Après lui vient le plus grand voleur. Et en troisième position ― mais c’est aussi une force ―, le plus grand menteur. Vous me suivez ? Comment voulez-vous qu’un homme comme Busby puisse traiter avec des gens pareils ? Son indulgence, ils en rient. Ils la voient comme une faiblesse. Ils ne comprennent qu’une seule chose : la force.
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date : 05-09-2019
En bien des manières, avant qu’ils ne s’inclinent devant les Blancs, les Apaches ressemblaient beaucoup aux Spartiates. L’anecdote de l’enfant au renard, qui symbolise la rigueur Spartiate, pourrait bien être une légende apache. Soyons reconnaissants qu’il n’y ait jamais eu plus de six mille Apaches. S’ils avaient été deux cent mille, ils auraient chassé tous les Blancs du Sud-Ouest, y compris la cavalerie régulière.
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date : 05-09-2019
Personne n’est scalpé dans cette histoire. Cependant, les Apaches comme les Blancs se sont parfois livrés à la pratique du scalp dans le Sud-Ouest. Elle y fut introduite par les Blancs, qui l’avaient apprise des Indiens des Grandes Plaines et s’en servirent pour semer la terreur.
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date : 03-09-2019
C’est un fait à remarquer qu’un homme paresseux, un homme qui n’aime pas le mouvement, s’entête toujours à aller de l’avant une fois qu’il est parti. C’est exactement comme quand il refusait de bouger. Comme si ça ne serait pas tant le mouvement qu’il déteste que le fait de partir ou de s’arrêter.
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— Vingt dieux, Martha. Ce type sent comme un dingo. Ça doit être aussi dur à suivre qu’un étron en train de glisser sur le glaçage d’un gâteau de mariage.
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— Alors, c’est “L’Affaire du chien pendant la nuit”, c’est ça ? demanda Ettinger. Pourquoi vous ne m’en avez pas parlé ?
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— Une fois, c’est un concours de circonstances. Deux, une coïncidence. La troisième, une déclaration de guerre. Comme dit Goldfinger à James Bond.
— Tu es un mordu de cinéma, maintenant, Walt ? dit Ettinger. Je ne l’aurais jamais cru.
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— J’ai vu trop de scènes de crime compromises à Chicago. (Il secoua la tête.) La plupart des types en uniforme seraient infoutus de vider la pisse d’une botte avec les instructions sur la semelle.
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Des empreintes de cerf tatouées encerclaient le haut du biceps de son bras droit ; des empreintes de belette se pourchassaient sur le gauche.
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— Un porc-épic est davantage en sécurité dans un arbre. Il peut grimper sur une branche où la martre pêcheuse – c’est l’espèce la plus rare de la famille des belettes, si vous ne le saviez pas – doit l’attaquer par-derrière et ne peut pas passer sa cuirasse de piquants. Mais quand le porc-épic descend pour manger la pagaie de canoë, la martre pêcheuse l’attaque à la tête.
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— Votre peuple n’a pas simplifié les choses pour mon peuple depuis que Meriwether Lewis a tiré sur ce gamin blackfeet sur la Marias River. Ça fait combien, deux cents ans ?
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— Vous avez entendu parler de Sherlock Holmes, Harold ? Vous commencez à me faire penser à lui.
— C’est qui ?
— Un détective britannique, au XIXe siècle.
— Il était bon ?
— C’est un personnage de fiction.
— Oh, fit Harold dont la voix trahissait le manque d’intérêt.
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date : 28-08-2019
Oui, l'enfer existe, mon garçon, et il n'est guère besoin de creuser pour le trouver.
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date : 28-08-2019
J'avais dû attraper froid en changeant de train, à Chicago. Et les trois jours à New-York - passés à baiser et à picoler en attendant de voir le Patron - n'avaient sûrement rien arrangé. Si bien qu'en arrivant à Peardale, je me sentais vraiment vaseux. Pour la première fois depuis des années, il y avait de légères traces de sang dans mes crachats.
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date : 28-08-2019
En supposant qu’il soit toujours vivant et qu’il n’ait pas changé, Little Bigger est un petit homme d’aspect plutôt inoffensif, qui mesure un peu plus d’un mètre cinquante, et pèse approximativement quarante cinq kilos. On croit savoir qu’il est atteint de tuberculose. Sa vue est faible, et il porte des lunettes à verres épais. Ses dents sont en mauvais état, et il lui en manque un bon nombre. De caractère emporté, c’est par ailleurs un homme méthodique, qui fume et boit modérément. Il parait plus jeune que les trente ou trente-cinq ans qu’il doit avoir maintenant, selon les estimations.
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date : 28-08-2019
Dès qu'on croisait son regard, on devinait qu'elle était capable de vous débiter plus d'insanités qu'on n'en trouverait sur un kilomètre de murs de pissotières.
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date : 19-08-2019
Mutt sangewite’lm’g moqwa’ wen gesatgit nmu’j negmewei.

Ne fais pas confiance à celui qui n’aime pas son chien.
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date : 19-08-2019
Et pourquoi acheter quand la nature vous fournit tout ce dont vous avez besoin? On leur a donc accroché au cou l’offre et la demande, le profit, le marché.

À Restigouche, le seul bien monnayable était le saumon. Alors on les a obligés à vendre le saumon tout en réglementant son commerce.

Un marché contrôlé par le pouvoir, une variable d’ajustement.

Le saumon, celui qu’il suffisait d’attraper pour vivre, ils devaient désormais le vendre pour survivre.
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date : 19-08-2019
On dirait que le colonialisme, c’est un peu comme un saumon, tu peux le jeter à la mer, il finit toujours par remonter là où il est né.
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date : 19-08-2019
C’était d’autant plus terrible qu’il n’y avait pas de place pour un entre-deux. La nuance était évacuée d’office. C’était oui ou non, pas de position intermédiaire possible.
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date : 19-08-2019
— Alors pourquoi le gouvernement québécois ne veut pas donner aux Indiens ce qu’il demande lui-même au gouvernement canadien? Pourquoi faut-il un droit à la culture et à la langue française au Québec à l’intérieur du Canada mais pas de droit à la culture et à la langue mi’gmaq à l’intérieur du Québec?
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date : 19-08-2019
À partir de 1870, pour remercier ces vaillants guerriers, on leur enlève leurs enfants pour les emprisonner dans des pensionnats. À grands coups de bâton le matin, de douches froides le soir et de viols la nuit, les institutions vont faire rentrer l’idée de civilisation dans la tête des sauvages.
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date : 19-08-2019
Certains avaient compris qu’ils avaient plus à gagner par l’exclusion, tant pis si leur prospérité devait s’élever sur la misère du plus grand nombre.
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date : 19-08-2019
Pourquoi se serait-il préoccupé des six tonnes annuelles pêchées dans le sud de la Gaspésie par les Indiens alors que les pêcheurs sportifs de l’Est du Canada en sortaient cent fois plus, huit cents tonnes par année, de la Nouvelle-Écosse jusqu’à Terre-Neuve?

C’était encore pire au large des côtes. Les bateaux-usines capturaient trois mille tonnes de saumon par saison (et ça, c’était sans compter les centaines de tonnes d’autres poissons rejetés à la mer parce que trop petits ou pas assez rentables).
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date : 19-08-2019
Plus tard, on dira des autochtones. Avant ça, on les a longtemps traités de sauvages. On les a surnommés comme ça, des hommes et des femmes sauvages. Il faut se méfier des mots. Ils commencent parfois par désigner et finissent par définir.

Celui qu’on traite de bâtard toute sa vie pour lui signifier sa différence ne voit pas le monde du même œil que celui qui a connu son père.

Quel monde pour un peuple qu’on traite de sauvages pendant quatre siècles?
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