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On est vendredi. Tuck et moi on est arrivés à l'école en avance pour décorer le casier de Carlos. Mardi après les cours, Tuck m'a aidée à faire une centaine de cookies aux pépites de chocolat. Une fois refroidis, on a collé un petit aimant derrière les biscuits. Ils sont rassis maintenant et on peut les fixer aux parois métalliques. Quand Carlos ouvrira son casier ce matin, il trouvera l'intérieur tout tapissé.

Chaque fois qu'il essaiera d'attraper un cookie, il s'émiettera dans sa main. J'ai acheté des aimants super puissants, de la taille d'une petite pièce de monnaie. Ça va faire des cochonneries partout. Carlos aura deux solutions : les laisser en place ou les retirer un à un pour se retrouver couvert de miettes.

— Rappelle-moi de ne jamais me disputer avec toi, me lance Tuck qui fait le guet.

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- Rapelle-moi pourquoi j'ai accepté de faire un truc pareil.

- Parce que tu avais envie de me faire plaisir.

[...]

- C'est ça ! [...] La prochaine dois que cette envie me prend, gifle-moi. (Il se tourne vers moi, un sourire en coin.) Je plaisantais.

- C'est bien ce que je pensais.

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- Si tu étais ma petite amie avec un étalon comme moi vivant sous ton toit, je te bécoterais devant lui à la moindre occasion pour qu'il n'oublie pas.

- Oublie pas quoi ?

- Que tu m'appartiens.

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"- Tu es dangereuse, dit-il.

- Pourquoi?

- Parce que tu me fais croire à l'impossible"

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-Je feras n'importe quoi avec toi, kiara. Tu n'as pas lu le mot que j'ai mis dans ton casier. Je t'appartiens.

-Et moi je suis à toi. Pour toujours, et encore plus que ça.

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CARLOS

Je regarde Brandon en plissant les yeux.

— On t’a déjà dit que t’étais un sale petit merdeux ?

Il porte sa main à sa bouche.

— Tu as dis un gros mot !

Je lève les yeux au ciel. Intérieurement. Il va vraiment falloir que je me mette à parler espagnol en présence de ce gamin si je ne veux pas qu’il comprenne ce que je dis.

— Pas du tout. J’ai dit que tu étais un sale petit morveux.

— C’est pas vrai. Tu as dit merdeux !

Je porte ma main à ma bouche à mon tour d’un air choqué. Puis je dresse l’index et l’agite sous son nez comme un môme de deux ans en disant :

— Tu as dit un gros mot !

— C’est toi qui as commencé, proteste-t-il. J’ai juste répété ce que tu as dit.

— J’ai dit morveux. Toi, tu as dit un truc qui rime avec. Je vais le répéter.

J’ouvre la bouche, comme si j’allais le dénoncer. Je n’ai pas vraiment l’intention de le faire, mais le petit diablo ne le sait pas.

— Ne le dis pas. S’il te plaît.

— D’accord. Je laisse passer. Juste cette fois-ci. Tu vois, on est des complices maintenant.

Il fronce ses petits sourcils.

— Je sais pas ce que ça veut dire.

— Ça veut dire qu’on ne se dénonce pas l’un l’autre.

— Et si tu fais quelque chose de mal ?

— Tu la boucles.

— Et si c’est moi qui fais une bêtise ?

— Je ne dis rien non plus.

Il médite la chose une minute.

— Alors qu’est-ce qui se passe si tu me surprends en train de manger la réserve de cookies ?

— Je n’en parlerai à personne.

— Et si j’ai pas envie de me brosser les dents ?

Je hausse les épaules.

— Tu peux aller à l’école avec une haleine de putois et des caries. Ça m’est bien égal.

Brandon me gratifie d’un grand sourire et me tend la main.

— Affaire conclue, mon gars.

Mon gars ! En le regardant partir en trottinant dans sa chambre, je me demande si je me suis montré plus malin que lui, ou si c’est l’inverse.

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Kiara

— Arrête de penser à lui, ordonne Tuck.

— Il était mignon. (Kiara)

— Un furet aussi, c’est mignon, mais je ne sortirais pas avec

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Carlos

Je me penche vers Kiara et éprouve une certaine satisfaction en l'entendant retenir son souffle. Son crayon s'est Elle ne bougepas d'un milimetre quand j'approche ma bouche juste en dessous de son oreille droite. pendant ce temps là, ma main gauche s'aventure vers l'endroits sensible sous son autre oreille que je taquine du bout du pouce pendant que mes lévres rodent sur sa nuque. elle doit sentir mon souffle chaud sur sa peau. [...] . Le probléme c'est que je ne m'attendais pas à ce qu'elle sente aussi bon, ellle dégage une délicieuse odeur de framboise super douce qui me fais un effet boeuf. Même si je me dis que je flirte avec elle juste pour lui prouver un truc, mon corps à sérieusement envie de conclure.[...] Je ne sais pas si c'est à cause de ce qui c'est passé, ou pas passé entre nous, mais j'ai super chaud. A moin que ce soit le temps. Je suis tout retourné à l'intérieur. Mon coeur bat comme un dingue, et il y une telle énergie vibrante dans l'air qui n'étais pas la qui n'était pas là avant que je m'approche d'elle.

Qu'est ce qui m'arrrive ? Ca doit être l'altitude. Ca ne tourne plus rond dans ma tete. Il faut que je change vite de sujet pour ne plus penser au sexe.

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— Je crois que ça va. Fais-en des boulettes. Je les écraserai avec une poêle. Comme je suis sûr que vous n’avez pas de machine à tortillas, on va improviser. Fais attention. Faudrait pas que tu salopes ce T-shirt ridicule.

Pendant que je fouille dans les placards à la recherche de film alimentaire pour glisserentre la poêle et les boulettes, quelque chose me heurte le dos. En me retournant, je vois une petite boule de pâte rouler à mes pieds. Je lève les yeux. Kiara a une autre boulette dans le creux de sa main, qu’elle s’apprête à me lancer.

— Ne me dis pas que tu viens de me balancer ça ? je m’exclame, contenant avec peine mon hilarité.

Elle saisit une autre boulette de la main gauche.

— Eh si ! C’était pour te punir de t’être moqué de mon T-shirt.

Elle sourit d’un air triomphant avant d’expédier son projectile, sauf que cette fois-ci, je l’attrape au vol. Je me baisse rapidement pour ramasser la précédente, si bien que j’en ai deux dans les mains maintenant.

— Pour me punir, hein ? dis-je en envoyant en l’air celle que j’ai chopée au vol. Celle-ci, elle est pour toi. Les représailles, ça craint, chica.

— Tu trouves ?

— Oui, je trouve.

— Il va falloir que tu m’attrapes d’abord. Elle me tire la langue comme une gamine de deux ans avant de filer dans le jardin. Je la laisse prendre un peu d’avance, le temps d’embarquer le plat de pâte avant de m’élancer à sa poursuite. Mon arsenal vient de se multiplier considérablement.

— Ne détruis pas mes boules !

Elle éclate de rire à la seconde où elle a lancé cette phrase. Amusé, je la regarde se jeter sur une table basse du patio pour s’en faire un bouclier.

— Je préfère que ce soit les tiennes plutôt que les miennes.

Après quoi je la mitraille de boulettes jusqu’à ce qu’il ne m’en reste plus. La bataille se poursuit. Bientôt, le jardin se retrouve jonché de petites boules blanches. Westford apparaît, un peu surpris visiblement.

— Je croyais que vous étiez censés préparer le dîner.

— C’est le cas, répond Kiara.

— Pendant que vous batifolez, nous, on a faim. Où est le repas ?

Nous le dévisageons avant d’échanger un regard. Sans un mot, nous le bombardons de boulettes jusqu’à ce qu’il prenne part à l’action. À la fin, Brandon et madame Westford s’y joignent à leur tour.

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Kiara :

-Tu te rappelles quand je t'ai dit qu'on allait faire des bêtises un de ces jours,toi et moi ?

-Oui.

-Je crois que ce jour est arrivé.

D'une main tremblante je commence à déboutonner sa chemise. Je l'ouvre et je dépose de petits baisers sur son torse musclé. Ma bouche descend au fur et à mesure que je défais les boutons.

-Tu veux faire des bêtises avec moi, Carlos ?

Carlos :

Si j'ai envie de faire des bêtises avec elle ? Et comment ! La minute où j'ai posé les yeux sur elle au lycée, j'ai su que j'étais mal barré.

La sensation de ses lèvres chaudes et douces sur ma peau est entrain de me faire perdre la tête. Je la laisse prendre le contrôle, je me retiens même si mon corps en réclame plus. Brittany m'a dit de réprimer mon ego et mon attitude ce soir. Le problème, c'est que je n'ai aucune maîtrise sur l'un ou l'autre.

Sa langue frôle mon mamelon gauche.

-Je p-peux ? chuchote-t-elle

Aucune fille ne m'a fait ça. D'ailleurs, je ne suis pas sûr que j'accepterait qu'une autre me le fasse. Mais je n'ai pas affaire à n'importe qu'elle fille. C'est Kiara. J'ai dans l'idée qu'elle peut faire ce que bon lui semble à cet instant, et que ça m'ira très bien.

-Oui. C'est super agréable, chica. Je suis impatient de te rendre la pareille.

Je respire avec peine en incitant le reste de mon corps à se calmer pendant que sa bouche émigre vers l'autre côté de ma poitrine.

J'ai besoin de la sentir contre moi. Je n'ai jamais prétendu être un mec patient.

-Hé, je murmure en lui levant le menton. (Je l'embrasse doucement, impatient qu'elle s'allonge contre moi.) A mon tour !

J'écarte ma veste de ses épaules et la jette au loin. Mes doigts s'acheminent vers la fermetures Eclair dans son dos. A mesure que je la fais glisser, exposant une peau que j'aimerais voir mais que je dois me contenter d'imaginer, Kiar déboutonne mon pantalon et plonge sa main à l’intérieur pour me caresser à travers mon boxer.

-Qu'est ce que tu fais ?

- Désolée, s'excuse-t-elle en retirant prestement sa main. J'avais be-besoin de faire quel-quelque chose avec mes mains et je voulais savoir si ça t'excitait.

J'éclate de rire, lui laissant tout le loisir de trouver la réponse.

-Alors, à ton avis ? je demande, amusé.

-Tu es excité, ça ne fait pas de doute.

-Faut quand même que je te dise...( Je lui prends la main un instant avant de la reposer là où elle était. ) Rien que de penser à toi, ça marche.

Je perçois son sourire, même sans le voir.

J'imagine les longs cils encadrant ses yeux changeants qui ont dû prendre une teinte gris clair.

Je fais glisser la robe de ses épaules jusqu'à ce que je lui aie ôtée complètement.

-A ton tour, chuchote-t-elle en s'écartant prestement alors que je m'apprête à la caresser.

J'enlève tout sauf mon boxer puis je l'attire sous les couvertures avec moi.

-Tu as froid ?

Elle tremble un peu tandis que ses doigts effleurent mon visage comme si elle cherchait à mémoriser mes traits.

-Non.

Je me penche sur elle pour l'embrasser.

-Donne-moi tes microbes, dis-je, me moquant de la remarque de Brandon à propos de baiser.

-Seulement si tu me donnes les tiens, répond-elle sa bouche contre la mienne.

Elle entrouvre les lèvres et nos langues se mélangent délicieusement, m'excitant encore plus; si tant est que ce soit possible.

Nos corps se mettent à osciller à l'unisson, pressés l'un contre l'autre, pendant ce qui me paraît une éternité. Je glisse ma main dans sa culotte, la caressant pendant qu'elle-même m'enveloppe des deux mains.

-J'ai apporté un préservatif, dis-je quand elle commence à faire descendre sa culotte.

On a chaud tous les deux, on est en nage et je n'y tiens plus.

-Moi aussi chuchote-t-elle dans mon cou. Mais on ne pourra peut-être pas l'utiliser.

-Pourquoi pas ?

Je m'attends qu'elle dise que c'était une erreur, qu'elle n'avait pas l'intention de me mettre dans tous mes états pour m'annoncer au final que je ne suis pas digne de lui prendre sa virginité.

Elle s'éclaircit la voix.

-Sa dép-dépend si tu es allergique au latex ou pas.

Au latex ? On ne m'a jamais posé la question. Peut-être parce que toutes les autres filles avec qui j'ai été supposaient que j'apporterais des capotes ou que je ne me protégerais pas.

-Je n'ai aucune allergie, chica.

-Tant mieux, dit-elle en plongeant la main dans son sac pour en sortir un préservatif. Tu veux que je te le mettes ?

Je ne vois pas son sourire en coin, mais je le devine.Ce n'est pas moi qui suis vierge. Pourtant ce soir, j'ai eu droit à une succession de grandes premières.

-Tu es sûre de savoir faire ?

J'entends l'enveloppe se déchirer.

-Tu me défies là ? chuchote-t-elle, puis, se penchant vers moi, sa bouche à nouveau contre la mienne, elle ajoute : Ô, Carlos. Tu sais bien que je suis incapable de résister à un défi.

Page 418 à 422.

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