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Liste des extraits

Carlos puts down his food. Oh, no. He's got a rebellous gleam in his eyes as he says. "The horizontal tango."

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I reconize my brother's blond girlfriend immediately, her keys to his apartment and her purse in one hand and a big brown paper bag in the other. She looks like a Barbie doll come to life. My brother takes the bag and kisses her. They might as well be married. "Carlos, you remember Brittany."

She opens her arms out wide and pulls me close. "Carlos, it's so great to have you here !" Brittany says in a cheery voice. I almost forgot she used to be a cheerleader back in high school, but as soon as she open her mouth I can't help but remember.

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-It's called being boyfriend and girlfriend.

-It's called bein' panocha. It's not natural for a guy to be with one girl, Alex. I'm free agent and I plan to stay one forever.

-Just so we're clear, Senor free agent, you're not screwin' anyone in my apartment.

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On entend juste la pluie qui tambourine sur le toit. J'aimerais qu'elle ne me fasse pas autant penser aux larmes .

- Tu es fâché contre moi ?

J'enfile mon imper pour qu'il ne voie pas mes bras trembler .

- Non.

- Alors arrête de faire la tête. C'était merveilleux pour moi ce soir . Ne gâche pas tout , s'il te plaît.

Il s'engage bientôt dans l'allée de chez nous et se gare près de ma voiture. Il tombe des trombes maintenant .

-Attends quelques minutes , que ça se calme, dit-il pendant que je récupère mes chaussures et mon sac.

- Comment vas-tu rentrer quand tu auras déposé la voiture ?

- Je vais dormir chez mon frère .

Je suis des yeux les gouttelettes de pluie qui tracent des sillons sur le pare-brise avant de se volatiliser. Il va falloir que j'y aille sans tarder si je veux éviter de craquer lamentablement.

-Juste pour que tu saches, je ne regrette pas ce soir. Vraiment pas.

Il se tourne vers moi. Les lumières du dehors éclairent son beau visage aux traits puissants .

-Ecoute. J'ai besoin de réfléchir. Tout est tellement...

J'achève sa phrase.

- Compliqué. Laisse-moi te fa-fa-faciliter la tâche. Je ne suis pas bête au point de penser que la situation a changé parce-parce qu'on a couché ensemble. Tu as été on-on ne peut plus clair depuis le début en me disant que tu ne voulais pas de copine. Voilà, j'ai tout simplifié . Tu es libre et sans attaches.

-Kiara...

Je ne supporterais pas de l'entendre m'expliquer qu'on a commis une erreur ce soir alors que je viens de le dédouaner. Je sors précipitamment de la voiture, mais au lieu de courir vers la porte d'entrée , je m'engouffre dans ma vieille guimbarde. J'ai besoin d'être dans un endroit où je peux réfléchir, et pleurer sans que personne m'entendre. Ma voiture sera mon sanctuaire. Si seulement Carlos voulais bien démarrer, que je puisse pleurer tout mon soûl.

Mais il descend sa vitre et me fait signe de l'imiter . Il essaie de me dire quelque chose , mais sa voix porte à peine dans le vacarme du déluge qui s'abat. Je me penche par la fenêtre.

- Qu'est-ce que tu dis ?

Il se penche à son tour , me rejoignant à mi-chemin. On est trempés tous les deux , mais on s'en fiche.

-Ne prends pas la fuite quand j'ai besoin de te dire quelque chose d'important.

- Quoi ?

J'espère qu'il n'a pas remarqué les larme qui se mêlent aux gouttes de pluie sur mes joues .

-Ce soir ... pour moi aussi, c'était merveilleux. Tu as bouleversé mon univers. Je suis en train de tomber amoureux de toi, chica , et ça me fout les boules . J'ai balisé toute la soirée parce que je le savais. J'ai essayé de le nier , de te faire croire que c'était bidon entre nous , mais c'était un mensonge. Je t'aime, Kiara, dit-il avant de tendre le cou pour m'embrasser.

P-368.370 - Kiara

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Page 399

Point de vue de Carlos

Spoiler(cliquez pour révéler) Deux brancardiers arrivent précipitamment avec une civière. Ils m'y attachent mais je me débrouille pour voir le professeur avant qu'ils emmènent.

-Juste pour que vous sachiez. Je vais m'enrôler.

-Je suis fier de toi. Mais pourquoi ?

Je gémis de douleur, mais réussis à esquisser un rictus.

-Je veux être sûr que Kiara ait un petit amis qui a autre chose a lui offrir qu'un corps divin et une tronche à faire pleurer les anges.

-Ca t'arrive de laisser tomber l'ego ?

-Ouais

Quand sa fille m'embrasse, mon ego fiche le camp

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(Chapitre 25: Carlos, page 182)

Je me penche vers Kiara et éprouve une certaine satisfaction en l'entendant retenir son souffle. Son crayon s'est figé. Elle ne bouge pas d'un millimètre quand j'approche ma bouche juste en dessous de son oreille droite. Pendant ce temps-là, ma main gauche s'aventure vers l'endroit sensible sous son autre oreille que je taquine du bout du pouce pendant que me lèvres rôdent sur sa nuque. Elle doit sentir mon souffle chaud sur sa peau.

Elle penche légèrement la tête pour me faciliter l'accès. je ne suis même pas sûr qu'elle en est consciente. Je continue mon manège. Elle gémit presque imperceptiblement, mais je m'obstine. Ca l'excite, c'est évident. Ca lui plaît. Elle en veut encore. Mais je me contiens .... Des Restes, non mais, tu vas voir !

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-Bon je pense que le moment est bien choisi pour passer en revue les règles de la maison.

-Les règles ? Une onde de terreur m'envahit tout à coup.

-Ne t'inquiète pas. Il n'y en a pas beaucoup. Mais j'exige qu'elles soient respectées. Primo, pas de drogue ni d'alcool. Secundo, pas de jurons. Tertio, le couvre-feu est à minuit en semaine et à deux heures de matin le week end. En outre, tu es censé faire ton ménage et donner un coup de main dans la maison si on te le demande, comme nos propres enfants. Pas question de regarder la télévision tant que tu n'auras pas fini tes devoirs. Je crois que c'est tout. Des questions ?

-Juste une.

Je fourre les mains dans mes poches en me demandant combien de temps il va lui falloir pour se rendre compte que je suis allergique aux règlements.

-Qu'est ce qui se passe si j'enfreins une de vos putains de règles ?

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"- Je suis dans la merde jusqu'au cou, Alex. Je rêve de me réveiller tous les matins à côté d'elle.

- Tu as raison, Carlos. Tu es dans la merde. "

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KIARA

— Qu’est-ce qui vous a pris tout ce temps ? demande Tuck.

— T’aimerais bien le savoir, hein ? réplique Carlos avant de se tourner vers moi. Dis-lui qu’il ne vient pas avec nous.

Tuck passe son bras autour de mes épaules.

— Qu’est-ce qu’il raconte, mon chou ? Je pensais qu’on allait traîner chez moi et enfin, tu sais…

Il agite les sourcils avant de m’administrer une petite tape sur les fesses.

Il surjoue tellement son numéro de petit ami qu’il n’est pas crédible un seul instant à mon avis, mais Carlos est tombé dans le panneau à en juger par son expression de dégoût.

— Ressaisis-toi, mon lapin, je lui chuchote à l’oreille.

— D’accord, sucre d’orge.

Je le repousse avant d’éclater de rire.

— Je m’en vais, annonce-t-il avant de s’éloigner à petites foulées.

Alex l’imite quelques instants plus tard. Je me retrouve seule avec Carlos dans l’allée.

— Je n’arrive pas à croire que j’ai mis autant de temps à piger, s’exclame Carlos. Vous êtes juste copains, Tuck et toi. Je ne pense même pas que vous fricotez ensemble.

— C’est ridicule !

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KIARA

En rentrant, je trouve Alex et Carlos plantés près de ma voiture dans l’allée.

Carlos nous enveloppe du regard et éclate de rire.

— Vous êtes habillés pareil. C’est à gerber. (Il pointe son index vers nous.) Tu vois, Alex. En plus de tout le reste, je dois me farcir ça : des gringos assortis.

— On n’est pas assortis, proteste Tuck. (Après avoir jeté un coup d’œil à mon T-shirt, il hausse les épaules, forcé d’admettre que Carlos a raison.) Enfin, si. Bon, d’accord.

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