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Dans la troupe du chevalier Déshérité il y avait un champion à l'armure noire, monté sur un cheval de même couleur, large de poitrail, de haute taille, et, selon les apparences, aussi puissant et aussi robuste que son maître. Celui-ci, qui ne portait aucune espèce de devise sur son bouclier, avait paru jusque-là s'intéresser médiocrement à l'issue de la lutte ; il repoussait, comme en se jouant, ceux qui l'attaquaient, sans poursuivre ses avantages ni provoquer personne. En somme, il tenait plutôt dans la mêlée le rôle d'un spectateur que celui d'un auxiliaire, circonstance qui lui avait attiré le sobriquet de Noir Fainéant.
Tout à coup il sembla secouer son indifférence en voyant le chef de son parti si vivement pressé ; car, éperonnant sa monture, encore toute fraîche, il s'élança comme l'éclair à son secours, en s'écriant d'une voix de stentor : "Desdichado à la rescousse !"
J'ai entendu des hommes parler des bienfaits de la liberté, se dit-il, mais j'aimerais bien qu'un sage m'explique ce que je dois en faire maintenant que je l'ai.
Ivanhoé... Je l'ai toujours aimé. J'étais petite, il était dans ma bibliothèque et je n'arrivais pas à le lire. J'étais petite. Trop. Alors je me contentais de lire la fourre. Puis un jour j'ai ressayé... et j'ai compris. J'ai compris l'amour, le courage, la fidélité, l'honneur. J'ai compris la passion, la vague qui nous entraîne, nous submerge, nous noie. La déferlante qui nous entraîne vers d'autres univers, d'autres époques, d'autres vies. Je ne suis jamais remontée à la surface. Jamais. Aujourd'hui je nage, je respire toujours pas les romans historiques.
L'aspect historique cède la place au romantisme du récit, mais on ne s'en plaint pas. J'ai relu avec plaisir les aventures et démêlés des Saxons et des Normands. Amusant, car le grand-père de William était un homme du nord (noorman), et il a attaqué d'ancien Vikings établis en Grande-Bretagne...
C’est un très bon livre ( bien que pas non plus incroyable ) qui nous offre un bon moment sur un plateau d’argent. La fin est pas mal et en soi le style d'écriture n’est pas mauvais. C’est un bon livre.
Roman de chevalerie qui nous fait voyager en 1194 alors que la 3ème croisade de Richard Cœur de Lion s'est achevée par sa capture. Une intrigue de cape et d'épée digne d'une épopée arthurienne. Même Robin des Bois fait son apparition et à droit à son moment de gloire. Un classique que je recommande.
Lu un peu par hasard, j’ai eu un peu de mal au début avec le style de l’auteur et les tournures de phrases de folies. Mais quel pied au final !
J’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir une époque irréelle où le fanatisme côtoie le chevaleresque, la haine, l’esclavage et où la religion autorise bien des excès.
Et de constater que cette époque oubliée n’est peut-être pas si éloignée de nous que cela ...
En 1194, Cédric d’Ivanhoé, noble saxon renié par son père pour avoir soutenu le roi anglo-normand Richard Coeur de Lion, revient dans son pays clandestinement. Dans une Angleterre féodale fantasmée, il participe à un tournoi sous un nom d’emprunt…
Je n’ai pas réussi à apprécier ce roman que j’ai trouvé très daté, notamment à cause des personnages beaucoup trop archétypaux voire insipides. Écrit au début du XIXe, nous avons des nobles au cœur noble, des chevaliers à l’esprit chevaleresque jusqu’à la caricature, des méchants très méchants, ainsi que de nobles dames transparentes et sans intérêt. Dans le même genre, Alexandre Dumas sait beaucoup mieux susciter l’enthousiasme.
Seule la réinvention de Robin des Bois (un personnage secondaire) et de sa troupe, qui a « figé » le mythe et est devenue la référence en la matière, est truculente. À part cela, je n’ai jamais rien ressenti pour les autres personnages et leurs aventures.
À savoir cependant pour ceux qui découvriraient le livre : il contient quelques paragraphes sur les Juifs typiques des préjugés antisémites.
Résumé
Dans la troupe du chevalier Déshérité il y avait un champion à l'armure noire, monté sur un cheval de même couleur, large de poitrail, de haute taille, et, selon les apparences, aussi puissant et aussi robuste que son maître. Celui-ci, qui ne portait aucune espèce de devise sur son bouclier, avait paru jusque-là s'intéresser médiocrement à l'issue de la lutte ; il repoussait, comme en se jouant, ceux qui l'attaquaient, sans poursuivre ses avantages ni provoquer personne. En somme, il tenait plutôt dans la mêlée le rôle d'un spectateur que celui d'un auxiliaire, circonstance qui lui avait attiré le sobriquet de Noir Fainéant.
Tout à coup il sembla secouer son indifférence en voyant le chef de son parti si vivement pressé ; car, éperonnant sa monture, encore toute fraîche, il s'élança comme l'éclair à son secours, en s'écriant d'une voix de stentor : "Desdichado à la rescousse !"
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