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Liste des extraits
Quand vous êtes en train de raconter des potins, souvenez vous du test des trois passoires :
1)la VÉRITÉ :vérifions que ce nous voulons dire est vrai;
2)la BONTÉ : ce qu'on veut dire, est-ce quelque chose de bon ?
3)l'UTILITÉ : est-ce utile que nous partagions cela ?
Pourquoi dire des choses qui ne sont ni vraies, ni bonnes, ni utiles ?
Afficher en entierAutorisons-nous des actions imparfaites.
Afficher en entierVous n'en êtes pas au même point, vous sachez que ce n'est pas vrai. Vous n'en êtes pas au même point, vous avez avancé.
Afficher en entierLa légende de l'âne et du puits
Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits. L'animal gémit pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demande quoi faire. Finalement, il décide que l'animal est vieux et le puits doit disparaître. De toutes façons, ce n'étais pas rentable pour lui de récupérer l'âne. Il invite alors tous ses voisins à venir l'aider. Avec une pelle, ils commencent à boucher le puits.
Au début, l'âne réalise ce qui se produit et se met à braire. Puis, à la stupéfaction de chacun, il se tait. Quelques pelletées plus tard, le fermier regarde dans le fond du puits et est étonné de ce qu'il voit. Avec chaque pelletée de terre qui étais tombée sur lui, l'âne avait fait quelque chose de stupéfiant: il s'était secoué pour enlever la terre de son dos et étais monté dessus. Bientôt, chacun est stupéfié de voir l'âne sortir du puits et se mettre à trotter!
Afficher en entierNous voyons tout à travers notre filtre personnel (lié à notre histoire, notre vie, notre nature). Alors faisons attention à ce que nous choisissons de dire. Car une fois que les mots sont dits, on ne peut plus les rattraper, les récupérer. Nos râleries changent la tournure d'une conversation. Elles changent la manière dont on vit un événement. A partir du moment où elles sont dites, elles prennent forme dans notre quotidien et nous donnent l'illusion d'être encore plus vraies qu'elles ne le sont.
Afficher en entier... je trouve très intéressant de voir à quel point notre société est accro à l'"intensité". Finalement, c'est un peu comme si on ne se sentait pas vraiment vivant dès lors que les choses n'étaient pas vécues intensément. D'où les abus (alcool, drogues), et cette tendance des médias à nous rapporter des anecdotes extrêmes à longueur de journées. Cela crée une culture globale et une tendance à constamment en rajouter et à exagérer, à créer nous-mêmes des drames avec nos râleries là où il n'y en a pas.
Afficher en entierPrenez l'habitude de parler aussi de vos atouts, de vos accomplissements et de vos réussites. Donnez-leur une vraie place bien méritée dans votre vie et dans vos conversations.
Afficher en entierquand nous ruminons sur nous-mêmes, nous nous détruisons au lieu de nous construire. De même, souvent, nous nous mettons beaucoup de pression et nous biaisons nos propos car nous ne nous sentons pas à la hauteur de ce qu'on croit que les autres attendent de nous.
Afficher en entier"Des études réalisées par des psychologues ont montré que les personnes pessimistes ont un vocabulaire moins riche et moins fourni que les optimistes. D'autres études ont montré que le niveau de violence adopté par les jeunes est proportionnel à la pauvreté de leur vocabulaire: quand on ne peut pas mettre en mots, on frappe et on casse!"
Yves-Alexandre Thalman,
Petit cahier d'exercices pour voir la vie en rose
Afficher en entierToute la journée, à tout instant, nous sommes des messagers. Nous utilisons nos mots pour véhiculer un message qui a des effets sur notre vie et celle de ceux qui nous entourent.
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