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Périgord, 1815, Jacquou n'a que huit ans lorsque son père est jeté au bagne, où il meurt au bout de quelques mois. Jacquou jure de se venger du comte de Nansac, un noble, arrogant propriétaire terrien, responsable de l'arrestation de son père. Quand, devenu adulte, Jacquou peut enfin mettre en oeuvre sa vengeance, il devient en même temps le justicier du peuple paysan.
Il y en a qui ont besoin de la société des autres, qui veulent se mêler à la foule, à qui il faut des voisinages, des nouvelles, des échanges de platusseries ou plats propos ; moi pas, il me paraît que c'est un malheur que de ne pas savoir vivre seul. Les hommes rassemblés valent moins qu'isolés. Il en est du moral comme du physique, les grands réunions humaines sont malsaines pour l'esprit et le cœur, comme pour le corps.
Un livre qui nous plonge dans les réalités de nos campagnes et la rude vie du 18è siècle.
C'est écrit simplement, à la manière de ses hommes et de ses femmes lutant pour la vie avec amour, avec révolte, avec solidarité, avec croyance...
C'est aussi les prémisses de luttes ouvrières des siècles suivant jusqu'à aujourd'hui...
Et aussi les luttes de demain ; parce que je ne crois pas que l'histoire de Jacques Bonhomme soit finie... Elle s'écrit chaque jour. Elle s'écrira encore demain.
Ecrit par un ex-collègue (! percepteur), Eugène le Roy a écrit ce roman au XIXe en 14 mois (!)
C'est l'histoire de Jacquou, le drôle, un fils de métayer.
Présenté comme une autobiographie fictive, ce roman raconte la vie difficile des paysans au XIXe siècle, à la Restauration.
Misère, famine, détresse et maltraitance par les notables sont particulièrement bien décrits.
Mais, ce n'est pas triste (quoique le début quand Jacquou se retrouve orphelin après avoir perdu son père envoyé au bagne, et sa mère…). Ce roman a fait émerger chez moi nombre d'émotions, je ne l'ai pas lâché…
J'ai soutenu Jacquou dans sa vengeance contre les Nansac, les nobles qui ont envoyé son père au bagne et ont entrainé le renvoi, la misère puis la mort de sa mère.
J'étais avec lui, dans sa jeunesse, remplie de force et de vendetta, j'étais avec lui quand il assiste à la mort de sa mère. Je l'ai suivi dans cette campagne périgourdine si belle mais si terrible qu'il arpente lorsqu'il est seul et en recherche d'emploi.
J'étais heureuse quand il a été recueilli par un prêtre-jureur (qui avait prêté le serment à la Constitution pendant le Révolution française).
Je l'ai suivi partout et j'étais particulièrement triste lorsque je l'ai quitté à l'hiver de sa vie…
En plus, il m'a rappelé mes grands-mères, car j'ai retrouvé dans ce roman les expressions qu'elles employaient et qui m'ont ramenée à mon enfance… Non, je ne suis pas née au XIXe siècle (!), quoique j'aurais bien aimé !
Si on est surpris par le style au début, on est complètement immergé par la suite (grâce aux explications rédigées en préface et les notes en bas de page) surtout par le style vif et emporté.
Une rédaction complètement immersive qui nous rappelle aussi l'histoire des gueux, des paysans sous la Restauration.
Un texte riche qui nous montre une certaine moralité sur la Révolution française, l'Empire (le père de Jacquou avait suivi les guerres napoléoniennes), la Restauration, et même cette République Troisième du nom qui délaisse les petits paysans, les petits propriétaires fonciers…
Pas machiavélique, le bon paysan et les méchants nobles, car dans ce roman, même si on ressent la profonde solidarité entre les paysans, il en existe de particulièrement méchants (celui qui dénonce le père)! Et le prêtre est ami avec un noble instruit et ouvert.
Un roman social où la vie des paysans est très bien décrite, un grand roman que j'ai inséré dans mon baluchon pour une île déserte.
Cette histoire m’a transporté juste après la restauration en France et plus précisément dans le Périgord. Cette histoire ne comporte pas à proprement parler d’action héroïque et n’est pas rythmé comme un Sac de Billes, il suit le rythme qui est lui est propre et qui fait son charme, on ne le lit pas pour être dans un film d’action;)
Un roman ayant pour thème une révolte paysanne, bien écrit et à la portée de tous, un premier pas pour ceux qui voudraient en savoir plus ensuite sur l'histoire de France et les moult révoltes qui ont eu lieu.
Jacquou est un personnage simple qui va beaucoup souffrir dans sa jeunesse mais aussi voir de bonnes personnes avant d'en arriver à ce qu'il va faire, aidé des autres "persécutés".
C'est très bien écrit, j'ai suivi avec plaisir l'évolution de Jacquou et des autres, un vrai premier pas dans l'Histoire des révoltes paysannes.
Jacquou le Croquant narre l'histoire d'un jeune garçon qui, après avoir perdu son père au bagne et sa mère de maladie, grandit en nourrissant sa haine pour le Comte de Nansac, l'homme à l'origine de tous ses maux, dont il a juré de se venger.
Le livre se lit facilement, mais le langage d'époque risque d'en rebuter plus d'un, tout comme la lenteur à laquelle se déroule l'histoire. Si le début est agréable, l'histoire m'a paru prendre un tournant plus ennuyeux après la mort des parents de Jacquou.
Il n'y a que peu d'action, hormis l'assaut lancé contre le château. L'auteur se concentre essentiellement sur la vie à la campagne à l'époque de la Restauration et sur les conditions de vie misérables des pauvres gens avec lesquels on compatit, même si tout cela devient redondant, au bout d'un moment.
Je déplore également le manichéisme qui transparaît dans cette histoire. Les personnages sont soit bons, sans mauvais. La seule à se démarquer un peu est la Galiote, mais son personnage est sous-développé. Le fait d'avoir vu le film au préalable a sans doute influencé ma déception à ce niveau.
Malgré cela, Jacquou le Croquant est un livre qui se laisse lire et qui nous transporte dans la campagne du Périgord au XIXème siècle. Il ne faut simplement pas en attendre davantage, au risque de déchanter.
Résumé
Périgord, 1815, Jacquou n'a que huit ans lorsque son père est jeté au bagne, où il meurt au bout de quelques mois. Jacquou jure de se venger du comte de Nansac, un noble, arrogant propriétaire terrien, responsable de l'arrestation de son père. Quand, devenu adulte, Jacquou peut enfin mettre en oeuvre sa vengeance, il devient en même temps le justicier du peuple paysan.
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