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Commentaires de livres faits par Jade1789

Extraits de livres par Jade1789

Commentaires de livres appréciés par Jade1789

Extraits de livres appréciés par Jade1789

date : 24-02-2018
On sait tous que Rimbaud a écrit ses plus beaux poèmes étant adolescent, mais qui se cacher derrière ces vers célèbres ? Qu’est-ce qui a poussé Rimbaud de sa campagne à aller vers un Paris en sang ? Vous l’aurez compris, ce n’est pas un roman sur toute la vie du jeune poète mais sur sa tumultueuse adolescence. Son histoire romancée est accompagnée de ses vers. Cet ouvrage fut un réel coup de cœur pour moi, l’histoire de Rimbaud est addictive, passionnante et enivrante. Tout y est pour passer un agréable moment.

Rimbaud est un poète français mythique, connu pour ses poèmes écrit encore enfant, sa relation avec Paul Verlaine et sa gueule d’ange. Pour certains nous en savions davantage pour d’autres c’est tout. Dans n’importe quel cas laissez-vous plonger dans Un ado nommé Rimbaud pour en découvrir plus…
Il n’y a aucune critique à faire sur l’histoire, Sophie Douet reprend les événements clés de l’enfance d’Arthur puis les romances, à bonne dose. Lorsque je lis une biographie que je dis « pas pure » soit romancée, j’ai toujours peur de trop tomber dans une aventure qui devient trop irréelle. Ici, il se trouve que je connaissais déjà pas mal de chose sur Rimbaud m’y étant fortement intéressé l’année dernière : j’ai pu vite me rendre compte que dans les grandes lignes l’auteur n’a – presque – rien à ajouter – il est vrai que l’adolescence de notre héros est déjà en réalité assez… fascinante ? Mouvementé ? Pleine d’aventures ? … -.

J’ai été séduite par la plume de l’auteur, assez poétique, vous ne verrez pas les pages défiler ! Certains détails sont intelligemment glissés entre les lignes, comme par exemple de nombreuses phrases signées Rimbaud. J’ai vraiment adoré retrouver certains passages de poème, ça donne au livre ce petit truc en plus qui va vous faire l’adorer ! Rimbaud écrit ses vers tout le long de notre lecture de ce fait, le livre permet de mieux comprendre certains de ses chefs d’œuvres.
Au-delà de la vie d’Arthur, il y a plein de références historiques importantes pour l’Histoire de France. Le récit commence en 1869 et se termine en 1871. On traverse donc la guerre Franco-Prussienne : nous découvrons un pays qui pousse son peuple dans la gueule du loup, la propagande, un tout qui révolte Rimbaud. Puis la capitulation de Napoléon III à Sedan le 2 septembre 1870 s’ensuit l’avènement de la IIIème République et alors la proclamation de la Commune de Paris.
Ce que j’ai trouvé drôle, c’était de voir ce que la bourgeoisie pensait des textes de Hugo et Baudelaire notamment. Qui sont aujourd’hui, tous deux très respectés – ça fait un peu bizarre de dire ça mais vous voyez l’idée ? – et on découvre qu’à l’époque c’est une autre affaire !
Mon Blog : https://lismacomedie.wordpress.com
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date : 07-01-2018
Qui a dit que la Révolution passait obligatoirement par le sang ? Ici Tatiana et Lena, deux sœurs, participent à la Révolution d’Octobre mais l’une par l’esprit et l’autre par les armes. Ce que j’ai trouvé fort intéressant car de ce fait, le livre est rythmé par cet nette opposition entre la force physique et la force des mots, de l’esprit : chaque scène à son importance. Dans l’ensemble, j’ai bien aimé Révoltées, qui ce lit très facilement et je le conseille évidemment car en plus d’être une lecture simple on retrouve beaucoup de faits historiques que nos cours d’histoire ne nous apprennent pas forcément.

Dans l’ensemble le livre est agréable à lire, la plume de l’auteur est simple mais efficace. Il n’y a pas de lenteur, tout ce passe très vite, je suppose comme lors de la Révolution : il pleut du plomb, vous n’avez pas le temps de vous reposez. Ce que je pourrais reprocher au récit c’est que l’on s’attend à tout ce qui se passe, peu de grande surprise…
Je lève mon chapeau à Carole Trébor, qui a su me plonger au cœur d’un Moscou bouleversé, vous n’aurez pas de mal à imaginer cette belle ville ravagée. On retrouve de nombreuses références comme des noms de bâtiments – le célèbre Bolchoï -, des rues – et même un petit plan de Moscou au début du livre ! – et la culture russe est à l’honneur avec les textes de Maïakovski – célèbre poète futuriste – qui viennent accompagnés notre lecture. J’en attendais pas moins de Carole Trébor, docteur en histoire et spécialiste de la Russie !

Lors de cette aventure nous suivons Tatiana, qui voit sa sœur s’engager dans un combat sanglant, ce qui évidemment ne la rassure pas. Le lecteur est alors plongé dans la Russie de 1917 au côté de Tatiana, qui a peur pour sa sœur, pour sa grand-mère et pour son père parti au front dont ils n’ont plus de nouvelles. Au début du récit elle se questionne, l’insurrection est-elle nécessaire ? Faut-il lutter comme sa sœur ? Mais au fil des rencontres elle découvre qu’il n’y a pas qu’une arme à feu pour se révolter : les mots sont une arme comme une autre. Alors, avec ses nouveaux amis elle partage la scène pour faire vivre les poèmes du révolutionnaire Maïakovski.
Et vous, comment auriez-vous lutté ? Vous serez vous même engager dans ces combats ? Voilà la question que ressort après ma lecture, qu’est-ce que j’aurais fait à leur place ? Je ne me lance pas sur le débat, pour beaucoup vous connaissez mon amour pour la Révolution Française, ses idées et ses symboles. Donc pour la Révolution Russe, celle d’un peuple qui crève de faim et qui cherche à faire tomber la bourgeoisie… Vous savez mon camp :)

Tout est dans ce livre pour nous divertir, amitié, famille, amour, révolte et croyance. De plus, vous ne savez pas tout, nos héroïnes que l’on pense d’une fois, d’un livre sont en fait de vraies héroïnes, oui-oui les sœurs Ivanovna ont existé ! Je trouve que le roman devient alors encore plus intéressant qu’il ne l’était déjà. La petite pépite – selon moi – se trouve à la fin du livre : des photos pour illustrer notre lecture, un glossaire 100% Révolution Russe, un glossaire sur la culture russe et plein d’autres petites notes que je vous laisse découvrir !

Revenons un court instant sur le point romance, vous savez à quel point j’ai toujours peur de cet aspect dans les livres, aspect qui a tendance à prendre trop de place et à être trop gnangnan. Ici, ne vous en faites pas, l’auteure choisie de lui faire prendre vie que sur la fin du roman, choix judicieux d’après moi. C’est un récit sur la guerre, sur une période noire de l’histoire russe, l’amour tout rose – ou rouge ? – aurait fait presque tâche même si évidemment que la guerre n’a pas fait disparaître l’amour – heureusement sinon il n’y aurait plus d’Hommes sur cette terre – mais disons que dans ce récit qui met en scène seulement une semaine de l’Histoire j’aurai trouvé étrange que les seuls pensés de Tatiana ou Lena soient pour un beau garçon révolté…

En bref, si vous voulez en savoir plus sur Moscou au cœur de la Révolution d’Octobre, sur la culture d’un peuple, d’un pays qui a tant souffert – serte c’est loin d’être le seul – je vous conseille à 100% Révoltées qui se lit très rapidement et facilement !
Pour moi, ça n’a pas été un coup de cœur, car il m’a manqué ce petit stresse que devait ressentir le peuple lors de cette semaine décisive, mais une très bonne lecture tout de même !
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J’ai beaucoup apprécié ma lecture car on est assez vite dans l’histoire énoncée dans la 4ème couverture, s’il y a un truc que je n’aime pas c’est quand le résumer raconte certaines choses qui arrivent au milieu du livre. Ici, vraiment très rapidement on rentre dans l’histoire. Puis, tout le long de l’aventure de notre héroïne Elizabeth il y a de l’action et des rebondissements.
Ce qui m’a le plus plu dans le livre c’est qu’au début on ne sait pas clairement qui sont les gentils et les méchants, où sont le bien et le mal. Il est vrai que très souvent dans un récit, dès les premières pages notre héros –gentil– nous dresse le tableau des méchants, de manière à ce que l’on critique tout en long du récit ces méchants du point de vue des gentils –mais les méchants existent-ils vraiment ? eheh-. Bref après de nombreuse lourde répétition du mot « gentil » et « méchant » vous aurez compris qu’ici au début c’est le néant. Notre cœur balance, à qui faire confiance ? Et le cœur de notre héroïne balance beaucoup aussi.

Parlons justement d’elle, Elizabeth, notre héroïne. J’ai mis beaucoup de temps à la cerner –mais là ce n’est pas négatif- , dès fois, elle faisait trop mature, trop « j’ai tout vu, j’ai tout vécu ». Mais plus on avance dans le livre, plus elle évolue sous nos yeux; on en arrive même à vouloir la secouer en lui hurler qu’elle n’est plus une enfant, qu’elle doit arrêter de se cacher sous les jupons de qui veut bien la protéger.
Et puis, même si elle est au centre de l’attention, on voit les autres personnages évoluer. De plus ils sont très bien exploités, tous différents, certains plus attachiants que attachant mais on s’adapte !
Petit aparté sur le fait qu’un des personnages s’appelle Hastings et que ça m’a perturbé tout le long de ma lecture car Hastings c’est le nom de l’ami de Hercule Poirot –ouais je regarde (et lisais), et alors ? :’)–
Aujourd’hui je vais pas vous donner mon avis sur tous les personnages car déjà que mes articles sont assez gros, là j’y serais encore demain. Mais, juste pour ceux qui l’ont lu: j’aime beaucoup trop George !

Donc en général j’ai vraiment aimé ce livre, que j’ai lu rapidement étant prise dans l’aventure d’Elizabeth. J’ai apprécié le contexte historique, moyenâgeux –Jade passion histoire le retour– avec les paysages (bâtisses), les traditions, la monarchie etc. En plus le thème de la sorcellerie est bien abordé, au début la magie étant peu présente on se verrait presque quelques époques en arrière !
Un petit point sur le soupçon de romance. Peut-être un peu plus présente vers la fin que dans le reste du livre, j’ai trouvé que c’était le bon cocktail. Tendre et doux au début pour finir électrisant. En gros pour une fois –merci Virginia Boecker-, l’histoire d’amour n’arrive pas comme un cheveu sur la soupe –c’est bien ça l’expression ??– !

En bref, je vous conseil Witch Hunter !

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Je ne sais même pas par où commencer ! J’ai tout simplement ADORÉ ce livre: tout ce que j’aime y est ! En plus la couverture est trop belle…
Donc. Ce livre plaira à ceux qui aime le fantastique, ceux qui aiment l’amitié, à ceux qui n’aiment pas s’ennuyer. Vous avez le profil ? Lisez ce livre !
On va commencer par nos trois héros, Adam, Isaac et Ryan, que j’ai beaucoup aimé sans même avoir de préférence –enfin si en fait… pour Isaac car il m’a fait rire mais on en reparle après-. J’ai trouvé que l’amitié qui lit les trois garçons est vraiment très forte et belle. De plus, ils ne sont absolument pas clichés, ils ne sont pas parfaits: ils doutent, ils ont peur et ils réagissent sur un coup de tête. Au début un des trois est un peu plus mis en avant mais au fil du livre chacun des garçons a le droit à son moment de gloire.
On n’a pas mal de personnages secondaires, avec des prénoms plus au moins compliqués –j’avoue que dès fois je ne savais pas comment les prononcer-. Mais ce que j’ai bien aimé, c’est qu’à certains moments les points de vus changent ce qui rend l’histoire moins lente et plus captivante. Et ce qui est bien fait c’est que les personnages sont amenés à se croiser sans le savoir –je sais pas si je m’exprime bien-, en fait sans vous spoiler c’est plus dur donc passons.
Ce qui m’a complètement séduit c’est le monde d’Amisseum. La fantasy ne doit pas être le genre le plus simple à écrire: il faut voir ce monde, construire un univers, des objets, des coutumes etc. Je trouve que tout y est ! De plus, ce second univers est vraiment top, un monde un peu médiéval mais fantastique –il ne m’en fallait pas plus *.*-. On trouve pas mal de rappel lié à la guerre au-delà de la « Sordide Guerre » qui a touché le monde d’Amisseum, je ne sais pas comment m’expliquer –et ça se dit blogueuse mdrrr– : vers la fin du livre on découvre plusieurs stratégies militaires inspirées de ce que nous avons vécu durant les deux guerres mondiales. Enfin c’est un détail parmi tant d’autres mais vous connaissez mon amour pour l’histoire :p
Pour finir de vous convaincre de lire ce livre: c’est drôle. Isaac, Ryan et Adam arrivent dans un monde sans téléphone, internet, électricité –médiéval quoi-. Même leurs expressions sont différentes, ils sont jeun’s –comme disent les plus vieux-. Ce qui donne des dialogues excellents, modernes ! Et ça, j’ai vraiment bien aimé.
Bref, il faut retenir de ce livre qu’il faut que vous le lisiez.
Concentrons-nous, l’histoire est captivante tout comme le monde que l’on découvre. Je pense que ce premier tome promet une suite très intéressante ! J’ai déjà hâte de retrouver nos trois héros –car ouais à la fin j’était triste de quitter cet univers…–
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date : 05-06-2017
J’avais beaucoup entendu parler de ce livre sur Bookstagram; alors même si ce n’est pas mon genre de prédilection, j’avais envie de me faire mon propre avis !
Et bien, je fus vraiment très déçue. Même si le thème du livre m’a plu, du moins est original.

Tout d’abord, parlons de Flora. C’est une héroïne pour le moins troublante… Je n’ai malheureusement pas été attachée à elle, elle est assez froide due à sa maladie.
Flora est une jeune fille qui s’attache à des souvenirs d’enfant. Elle a perdu une partie de son cerveau à l’âge de 10 ans: elle se souvient donc que de son enfance mais après ça, sa vie reste seulement deux heures dans sa mémoire avant de disparaître. Enfin presque, Flora a développé une technique pour vivre plus sereinement –car sincèrement oublier tout tout le temps rend un Homme fou– elle écrit sur ses mains, sur des post-it, dans un cahier toute sa petite vie…
Il y a quelque chose chez Flora qui m’a beaucoup dérangé, le livre étant à la première personne, nous sommes Flora. Et elle se répète très souvent les mêmes choses, ça m’a beaucoup déstabilisé dans ma lecture. Même si je comprends le choix de l’auteur sur ce style d’écriture.

L’histoire de Flora ne m’a pas touché –j’ai juste l’impression d’être sans cœur c’est horrible-. Son seul souvenir lors de sa nouvelle vie d’amnésique est ce baiser au bord de la mer avec ce garçon, Drake. Alors là, débute une histoire que j’ai trouvé vraiment cul-cul même si derrière celle-ci Flora apprend à vivre, renoue avec le passé plus que jamais. Elle se lance dans une aventure incroyable.
Trop incroyable, trop différente de ce que notre héroïne peut endurer. Parfois j’ai trouvé l’histoire irréelle, elle ne coller pas avec le personnage de Flora.

En fait je ne trouve pas grand chose à dire sur ce livre, tout tourne autour de la même chose, l’histoire n’est certes pas prévisible mais je ne l’ai pas trouvé surprenante pour autant.

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date : 21-05-2017
Avis qui devrait être sans spoil, si ça doit arriver: je le dis.
Je fus vraiment, vraiment, très très mitigée. Alors que j’avais hésité à mettre le tome 1 en coup de cœur (retrouve mon avis ici) , une chose est sur pour ce deuxième tome: ce n’est pas un coup de cœur. Mais ça ne veut pas dire que je n’ai pas aimé.
Forcément j’avais hâte de retourner à bord du Cupido, de retrouver nos héros.

Tout d’abord, je dois vous dire un truc. Alors que tout le monde préfère les chapitres en champs (point de vue de Léonor), j’apprécie plus ceux en contrechamps ou hors-champs.
Je trouve que dans ces moments on voit que les téléspectateurs se font tout autant manipuler que les candidats, c’est vraiment intéressant –et ça fait réfléchir sur les téléréalité d’aujourd’hui-. J’avais déjà souligné ce fait dans le tome 1 mais on le retrouve encore plus là, et ça j’aime beaucoup :) De plus, on nous montre que l’on peut vite devenir dépendant de la télé, sérieusement c’est flippant. On dirait que l’émission devient vitale, comme une habitude quotidienne tel que manger, boire, dormir… Sommes-nous des grosses commères espionnant le vie d’autre humain ? –c’est tout pour moi :’)–

Mais voilà le sujet qui fâche: LES CLICHÉS !!! –o.O– Non mais à des moments j’ai cru devenir folle, bon ok ça, ça ne vous avance à rien. On reprend:
La rencontre entre Léonor et son fiancé –?– sur un niveau de culculosité –j’invente des mots et alors ?– nous étions au sommome, j’ai trouvé ça d’un niais… Si c’était que lors de ce moment, ça aurait été. Mais non, en fait tout le long du livre leur relation est comment dire… clichés, pas intéressante, niaise.
Deuxième point qui m’a dérangé: Léonor change beaucoup beaucoup trop vite de comportement. Enfin elle change d’avis sur l’amour. Elle qui était si rigide devient limite pathétique sur ce point-là. J’avoue que ça m’a déçu car j’avais apprécié notre héroïne dans le tome 1 justement par rapport à ses règles, son impression sur l’amour.
Un autre truc, positif, sur les relations qui apparaissent dès les premières pages: j’ai adoré, une fois les couples révélés, l’idée des ships ! Comme nous faisons dans nos séries, mélanger le nom (ou prénom) du garçon et de la fille. Ça montre que Victor Dixen, cherche tout ce qui est possible pour que son livre se rapproche d’une série: il veut clairement nous rendre acro –et ça marcher eheh–

Bon, pour finir, j’aimerais dire: tous ses clichés que j’ai critiqué… ON ADORE TOUS ! Alors oui, ça m’a un peu énervé. Oui, j’ai trouvé ça cul-cul. Mais comme beaucoup de personnes, j’étais à fond, ça me faisait fondre, ça me faisait rire…
En fait je fus plus surprise de trouver ce genre de relation dans Phobos, je ne m’attendais pas du tout à ça ;)

Je lirais évidemment la suite, enfin je pense lire Phobos Origines maintenant –entre le 2 et 3– ! J’espère que le troisième tome ne me décevra pas !

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Je me suis jeté, tête baissée dans ce livre, sachant tout de même de quoi il parlait mais je n’avais lu aucun avis. Et des fois, c’est bien mieux, de ne s’attendre à rien. Juste de découvrir sans être « entraîné » par une idée positif ou négatif. Bref, là n’est pas l’article…
Ce fut, un coup de cœur ! Ce livre avait tout pour me plaire, je suis une fana des séries policières et d’Histoire. Jack l’éventreur fait quand même bien partie de ces héros londoniens qui ont fait l’histoire –ouais l’histoire des tueurs en série et alors ? C’est l’histoire quand même… Non…?–

Pour tout vous dire, au début je fus bien mitigée. Entre un personnage trop cliché –mais qu’au final j’ai adooooré (en on reparle après t’inquiète)-, un frère un tantinet trop protecteur MAIS –opposition-, dès les premières pages nous –enfin moi en tout cas– analysons les faits et gestes des personnages en ce demandant si ça ne serait pas un tel ou un tel le tueur. Et ça, tout au long de votre lecture, jusqu’à la fin l’auteur vous tient en haleine ! Même si j’avoue, j’avoue -attention dans 3 secondes Jade ce la frime– j’avais trouvé qui été le tueur, enfin je me doutais fortement mais après je n’avais pas le « pourquoi du comment« . J’ai discuté avec plusieurs personnes ayant lu le livre et ce fut la surprise pour beaucoup :)

Pour ce qui est des personnages;
Audrey-Rose notre héroïne de 16-17 ans –je ne sais plus ops…– et un sacré personnage c’est le cas de le dire ! Je l’aime beaucoup, beaucoup: elle est courageuse, elle sait ce qu’elle veut et elle est ce que l’on appellerait aujourd’hui féministe. Alors oui, des fois elle fait des choses sur un coup de tête, complètement stupide mais qui ne l’a pas fait –ou le fait même encore– . En fait elle me fait un peu penser à Miss Fisher (de la série Miss Fisher, enquête que je vous conseille à 110%). Avec ses passions déplacées, ici la médecine. Et toujours très coquette ! Mais surtout par rapport aux regards désapprobateurs qu’ont les hommes sur elle. En fait elle est très pertinente et audacieuse avant tout !
Quant au fameux Thomas Cresswell – <3 <3 – au début je ne l’aimais pas trop ce macho égocentrique ! Mais alors plus on avance dans le livre plus je l’ai apprécié; il m’a fait très souvent rire ! C’est en fait un personnage intelligent et vif.
Dès le départ ce petit duo brille, nous rendant complètement fou et acro ! Une romance qui sort vraiment du lot. Impeccablement placé dans l’histoire !
-> Pour témoigner du fait qu’il m’a fait rire; dans mes notes (que je fais le long de ma lecture pour après rédiger un article) j’ai noté les pages donc si vous avez lu le livre: pages 95, 119 & 120 notamment ! Les répliques de Thomas m’ont fait vraiment rire :’)

So, j’ai apprécié la délicate plume de l’auteur qui nous plonge dans un Londres du XIXème siècle, tremblant et excitant… Accompagné de dialogues géniaux, sincèrement Audrey-Rose/ Thomas c’est juste excellent !
De plus, les scènes ne sont ni trop longues, ni trop courtes. Je ne me suis absolument pas ennuyée.
Je vous conseille fortement cette petite pépite ! Si vous aimez les histoires sur l’éventreur, j’ai aussi beaucoup aimé L’ultime défi de Sherlock Holmes de Michael Dibdin.
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date : 26-04-2017
Génial ! J’ai adoré Avant toi ! C’est un super livre, touchant et réaliste. Comme à mon habitude je l’ai lu un peu après tout le monde. D’un côté j’en attendais beaucoup –étant donnée que sur Instagram tout le monde en parlait– mais ayant déjà été déçue d’un livre que tout le monde avait aimé, je me suis méfiée. Au final je ne regrette pas de mettre plonger dans l’histoire de Will et Louisa, se fut un gros coup de cœur !

Bon, je ne suis pas du tout fleur bleue, les histoires d’amour ce n’est pas ma tasse de thé –quoique c’est entrain de changer…-. Du coup, j’avoue, que j’appréhendais un peu cette lecture. Mais le côté romance n’arrive pas tout de suite, même relativement tard et DIEU MERCI ! Le côté handicap est très bien mis en avant et exploité. Je salue vraiment l’auteur pour toutes ces petites mises en situation qui je pense, sont très réaliste. Notamment avec les jours ou « tout va bien » et les jours « sans« , c’est ce genre de petits détails qui m’ont plus. Dans l’histoire j’ai trouvé que tout est à sa place rien de « trop gros » ou trop prévisible comme dans certaines romances. Le livre est gros pourtant les pages glissent toutes seules, ce petit pavé m’a fait seulement 2 jours !!

Les personnages sont géniaux ! Lou est tellement touchante, elle prend part à un combat qui n’est pas le sien alors qu’elle a déjà une vie difficile. Tout ça dans une innocence parfois très drôle ! Justement j’ai beaucoup aimé cet aspect dans le livre, sa vie privée avec les conflits avec sa sœur mais aussi le fait qu’elles se soutiennent. La famille Clark illustre très bien la force de la famille, c’est très beau. J’ai aussi aimé observer Louisa évoluer durant son aventure.
Il y a une nette -et intelligente- opposions entre une personne qui respire la joie de vivre à une qui au contraire ne voit plus aucune raison de vivre.
Will, c’est un personnage au début très… Pas repoussant mais rebutant. Pourtant grâce à Lou il redevient au fil des pages le garçon séduisant qu’il était avant son accident.
Le dernier personnage que j’ai beaucoup apprécié est Nathan. Il accompagne Will évidemment, mais aussi beaucoup Lou. Il a un peu le rôle du lecteur, observant la relation Will-Lou. De plus j’ai trouvé ce personnage agréable. Je ne sais pas comment vous dire, comme un petit ange pour nos deux héros –ok, je suis partie loin…–

Pour finir, j’ai bien aimé les chapitres du point de vue de Camélia ou Nathan même si ça faisait un peu bizarre. En fait ça coupait un peu dans l’histoire. J’ai tout de même trouvé la chapitre où nous sommes avec Nathan super intéressant !!
Ce qui m’a aussi beaucoup plu dans le livre c’est la plume de l’auteur ! Surtout les dialogues, j’ai tellement ri ! -et pleuré mais ça chuuut– Jojo Moyes a une plume fluide, les descriptions sont parfaites: ni trop longue –#Stendhal– ni trop courte.
Je suis obligée de vous en faire part… À UN MOMENT ILS REGARDENT DU MIYAZAKI !!! Voilà.

Donc, je vous conseille fortement ce poignant récit –n’oubliez pas les mouchoirs!-.

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Waouh ! Hein ? Waouh ! Hein ? J’avais vraiment hâte de découvrir Illuminae ! Tatiana (de Idée à lire) m’a donné envie de lire ce mystérieux dossier. Alors me voici, me voilà plongé dans un univers bien différent de ce que je lis d’habitude. Et j’avoue ne pas avoir été conquise à 100%…

Bon tout d’abord je dois vous avouer que j’étais totalement perdue et ça m’a beaucoup déstabilisée… On découvre un vocabulaire, un jargon bien particulier que j’ai mis un certain temps à assimiler. Et aussi, et ça tout au long de ma lecture, j’ai trouvé qu’il y avait trop de personnages. Ces deux faits ont ralenti ma lecture et m’ont vraiment bloqué à certains moments. Quand on doit retourner quelques pages en arrière pour être sûr de bien comprendre de quel personnage il s’agit; ce n’est pas très agréable.

Bref, passons à l’objet livre: qui a enflammé bookstagram, les blogs etc. C’est une véritable œuvre d’art, rien que pour ça vous ne regretterez pas votre achat ! Même si –Jade la reloue arrive– au bout d’un moment ça m’a soulé. Je ne savais pas où lire, mais lors des 100 dernières pages se soucis s’est volatilisée.
Pour ceux qui ont lu le livre vous comprendrez de quoi je parle: je n’ai pas trop apprécié les rapports de mission et les résumés des vidéosurveillances même s’ils pouvaient être intéressants.
Quant aux personnages, on connaît un peu plus Kady que Ezra. Je dois dire que j’ai eu du mal à cerner Kady, je trouve qu’elle change beaucoup de comportement tout au long du livre, de façon pas très naturelle. J’ai donc préféré Ezra, je ne sais pas comment vous le décrire. Je l’ai trouvé rêveur, un peu tête en l’air pourtant il a conscience de toute la gravité des choses autour de lui. Donc aussi terre à terre. Complexe hein ?! Mais alors, les deux ensemble: c’est génial ! Du tonnerre ! Ils m’ont fait trop rire –surtout Ezra– en plus mais qu’ils sont mignons !!! Ce n’est pas le seul duo à m’avoir fait rire, Ezra-James aussi c’était top ! C’est même lors d’une de leur discutions que j’ai commencé à aimer le livre –page 74 d’après mes notes– :p En fait se sont des petits comiques là dedans. Même certaines notes en hauts de documents m’ont fait rire –notamment page 141& 209-.
Bon passons aux choses sérieuses. Quand j’ai commencé Illuminae j’ai trouvé la petite romance au début complètement niaise et ça m’a un peu soulé –désoler du terme…- MAIS au fil du livre, je l’ai trouvé de plus en plus intéressante et elle avait lieu d’être. Dans le sens où elle sert au déroulement de l’histoire, donc si vous commencez ce dossier mais que la romance vous ennuie, ne perdez pas espoir !

Pour l’histoire en générale, je ne sais même pas comment vous l’expliquez en quelques lignes; de plus sans trop vous spoiler. Oui, oui elle est si compliquée que ça. Personnellement j’ai mis beaucoup de temps à comprendre où il fallait en venir.
En fait trop de questions se bousculaient dans ma tête en même temps: « c’est qui lui? » « Mais ça veut dire quoi ça ?? » « De quoi ils parlent ???« . Je suis quand même arrivé aux 600 pages donc c’était assez intéressant ! On veut toujours en savoir plus, comprendre pourquoi le petite planète de Kerenza c’est fait attaquer. Comprendre mille et une chose sur l’Alexander ou l’Hyptia etc. C’est un univers très riche. Les auteurs avaient une idée bien précise de leur univers, une fois expliqué, tout semble à sa place ! Les 100 dernières pages sont passées comme une lettre à la poste, on comprend enfin le pot aux roses, et on a peur pour la vie de nos héros !

Donc pour conclure. J’en sais trop rien...Je suis contente d’avoir découvert Illuminae, mais je ne sais pas si je lirais la suite (j’en ai pas entendu que du bien…). Mais si ce livre vous fait envie, allez-y, ça vaut tout de même le coup !
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date : 03-04-2017
Déçue. J’ai lu ce livre dans le cadre scolaire: je n’avais donc pas vraiment le choix. Mais je suis toujours assez intéressé aux livres que les profs nous proposent car se sont souvent des classiques, des livres « pas perdus » comme je dis.
Ici, je m’attendais à avoir la biographie de Dora Bruder, une juive vivant à Paris avec ses parents. Du moins jusqu’à ce qu’elle disparaisse.
Modiano, après avoir lu un avis de recherche sur cette jeune fille, ce lance le défit de retracer la vie de celle-ci.

Donc comme dit plus haut, je pensais trouver dans cet ouvrage la vie de Dora Bruder et sa famille. Alors oui, on la retrouve en partie. Mais ça reste maigre à côté de à quoi je m’attendais…
J’ai presque perçu dans ce livre une autobiographie de Patrick Modiano, qui a donc passé une partie de sa vie à la recherche d’une fille qu’il ne connaissait même pas.
Plusieurs fois dans le livre il revient sur des moments de sa vie, notamment sur son père. En fait ce livre fait presque journal de bord, journal intime. L’auteur il écrit ses découvertes sur Dora, mais aussi ses souvenirs.
Il nous décrit la ville de Paris dans laquelle il aime tant se promener, chaque lieu lui rappel le passé. En retraçant la vie de Dora Bruder, il retrace un peu la sienne aussi.

En fait je ne saurais comment décrire ce livre: est-ce plutôt une biographie de Dora, une autobiographie ? A la mémoire de Dora ou de la vie de Modiano ? Une recherche ou un souvenir ?

Toutefois, la plume de Modiano ne m’a pas déplu. Il se pourrait que je lise un autre de ses livres.

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date : 22-03-2017
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Alors, alors… Je ne peux même pas commencer par vous dire si j’ai aimé ou non ce livre. J’ai trouvé l’histoire très intéressante, j’ai vraiment appris 2-3 trucs. Mais que c’était long…
A savoir, l’histoire est tirée d’une nouvelle d’Emile Zola: Les repoussoirs disponible à la fin du livre.
On se retrouve plongé dans un Paris en pleine effervescence, plus précisément à Montparnasse. Avec une héroïne qui découvre un monde sans pitié, sans loi.

Au début j’ai eu énormément de mal à plonger dans les années 1889, ce qui m’a un peu énervé car je suis une grande fan des romans historiques pour ça: être plongé dans l’ancien temps. Mais au fil des chapitres, l’auteur trouve de quoi satisfaire son lecteur. La tour Eiffel est en pleine construction alors entre rivalité Garnier-Eiffel et avis négatif du peuple Elizabeth Ross à su m’apprendre quelques petites choses. C’est assez fou le nombre de personnes qui trouvaient cette structure moche: « heureusement elle n’est là que 1 an » disaient-ils. Aujourd’hui la Dame de fer est toujours debout et accueille des milliers de visiteurs rêveurs chaque semaine.
De plus, on découvre aussi une autre ingénieuse invention: la photographie. J’ai beaucoup aimé apprendre en même temps que Maude comment fonctionner cette grosse machine !

Au début –et dans la plus grande partie du livre– je n’ai pas supporté Maude, je la trouve d’une naïveté ! C’est surtout certains de ses choix qui m’ont énervé. Mais au fil de son aventure, elle prend confiance en elle et a de plus en plus de répartie.
Quant à Isabelle, ne soyez surpris par son caractère de petite princesse. Pourtant c’est un personnage qui m’a touché, qui sort du moule des riches parisiens à qui l’argent et le pouvoir suffisent. Elle s’est la soif d’apprendre qui l’élève. Son petit côté féministe m’a plu, je ne vous en dis pas plus…

On partait vraiment mal j’étais sur une 3-4/ 10 pour le livre… Certaines scènes pouvaient être super ! Mais au bout de 4-5 pages on passe à autre chose, c’est tellement frustrant !!! Par exemple j’ai bien aimé la petite –très petite– compétition Suzanne/ Maude… D’un page malheureusement… Il y a aussi une scène par dessus toute qui m’a –vraiment– exaspéré: Maude durant son jour de congé décide de se perdre dans Paris, entraînée par la foule, elle arrive au Louvre. Et comme de par hasard, elle tombe sur le charmant Paul… L’auteur aurait pu choisir un autre scénario qui amène à la même chose mais de façon beaucoup plus naturel… Alors dernier point « négatif » on a un espèce de triangle amoureux, ridicule. Et encore je ne sais même pas si je pourrais appeler ça comme tel, il n’était vraiment pas obligatoire ce petit détail.
MAIS, au fil des pages la morale prend forme, alors on aime un peu plus ce livre. Les femmes riches louent des femmes moches pour paraître plus belle à leurs côtés. Dieu que c’est absurde ! C’est grâce à ça que Maude accède étroitement à la haute société française. Et elle découvre une terrible vérité: on se lasse de tout, nous n’observons pas ce que l’on possède. On regarde plutôt l’herbe qui nous paraît plus verte, du voisin. Critique faite ici au XIXème siècle et pourtant toujours de plus en plus vraie…
J’ai pour le coup beaucoup aimé la fin, un courant d’air frais, bien apprécié. On retrouve la force de l’amour, la force de l’amitié et la force des médias –point de plus en plus important de nos jours– et déjà beaucoup avant.

Alors même s’il y a quelques petits bémols, je vous conseille cette lecture originale ! Qui nous plonge dans une société absurde. J’ai entendu de très bons avis sur ce livre, peut-être aussi que j’en attendais trop !
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J’attendais ce livre avec tellement d’impatience !! Je trouve la couverture vraiment très belle *.* Et puis le résumer me faisait vraiment envie, j’aime bien les réécritures de contes.
J’ai vraiment beaucoup aimé, j’ai trouvé l’histoire très bien trouvé. Je m’explique, on retrouve pas mal d’éléments clés de l’histoire de Blanche-Neige et c’est vraiment intelligemment glissé dans celle de notre Blanche-Neige 2.0 !

Alors, je commencerais pas vous parler des personnages. Alors oui, ils sont clichés peut-être déjà vus et revus, mais ici ça passe crème –désoler pour cette horrible expression que j’utilise H24-. En effet, n’oubliez pas que l’auteur reprend une histoire de Disney, de princesse donc qui dit princesse Disney dit magie, cliché etc. Donc ça ne m’a absolument pas choquée, je m’attendais vraiment à ce type de personnages.
Pour revenir à notre héroïne, je l’aime, je l’adore. Elle a un sacré caractère, sa relation « qui aime bien châtie bien » avec Jay m’a fait vraiment sourire. Un point qui m’a un peu agacé c’est qu’elle répète sans arrêt tous ses malheurs, on a compris Blanche !
Quant à Roxane, elle m’a beaucoup intrigué et m’intrigue encore beaucoup même ayant fini le livre. J’ai compris son histoire, mais je la trouve étrange –ce n’est pas une critique hein!– Juste, je ne comprends pas, je ne sais même pas ce que je ne comprends pas. Tu vois ? Non, t’inquiète moi aussi :’) Bref.
J’ai eu un petit coup de cœur pour le beau duo Stella- Théo, ils m’ont tous les deux touché. Stella m’a aussi fait rire et énormément pensé à Blanche. Quant à Théo c’est la petite douceur du livre, celui qui sort du lot de tous ces personnages légèrement clichés.
Je vous laisserai découvrir le trio Rob, Jay et Mathias les trois princes presque charmants !
En fait non: pour Mathias, ne soyez pas surpris, il a 24 ans à déjà était prof au lycée, fait prof de soutien tout en gérant une entreprise. Mais les gars, on est dans un CONTE, c’est normal, un peu de magie. Soyez ouvert et pas trop terre -à-terre ! –la rime ouloulouuuu excusez-moi, un peu de sérieux hum-hum…–
Mais par contre je vous laisse découvrir comment Blanche rencontre tout ce beau monde…

J’ai vu dans cette histoire un Gossip Girl revisité aussi, un Dan ou une Jenny Humphrey dans Blanche, une Nate Archibald dans Rob, un Chuck dans Jay et une Serana Van Der Woodsen dans Roxane ! En gros, une fille qui atterrie dans la crème de la crème, le nec plus ultra, l’élite Parisienne. Bref désoler à ceux qui ne connaissent pas cette série pour ce petit aparté.

Revenons à ce que tout le monde pourra comprendre.
Le réseau social pommedamour.com est vraiment sympa ! Vraiment bien trouvé même s’il m’a paru vraiment bizarre au début :p Et puis j’ai aimé ce petit côté critique: nous ne sommes malheureusement pas maître de ce que nous postons, alors petit rappel dite-vous bien que rien ne disparaît. Un simple bouton « effacé » n’effacera jamais votre passé…
Je me suis vraiment bien laissé entraîner dans ce riche univers parisien, évidemment on a un –je vous le donne en mille– triangle amoureux –même un carré à certains moments :’)-mais ça colle au livre ! Je ne suis pourtant pas fana de ce genre de situation ici je me suis bien laissé prendre au jeu. J’ai vraiment passé un superbe moment avec ces personnages, et ils me manquent presque. C’est vraiment une lecture sans prise de tête, pourtant quelques petits mystères apparaissent au fil de l’histoire. Ce qui donne un bon rythme au livre.

Il y a un petit point que j’aimerais défendre… J’ai lu dans certaines chroniques que dans le livre la femme était vraiment montrée comme la servante soumise, que notre côté féministe aller en prendre un coup. Mais, vous réfléchissez ? On aime les Disney pourtant dans les plus vieux la femme n’est vraiment pas à son avantage, elle chante aux animaux, fait le ménage, pour se sortir de cette merde elle doit trouver son prince charmant. Alors oui, dans ce livre on retrouve ces faits, mais de mon point de vue c’est pour suivre le schéma de l’histoire de la vraie Blanche-Neige. Donc même si je suis féministe ça ne m’a pas choqué du tout !!!

Bien sûr, je ne vous parle pas de tout dans ma chronique pour laisser la magie opérer sur vous ! Alors si vous aimez les contes modernes, les princes pas trop charmants et les princesses rebelles alors foncez !
Et puis, comment ne pas craquer devant cette couverture ? Par contre la tranche dorée malheureusement part un peu, je suis un triste… Pour moi c’est un coup de cœur, j’ai passé un très bon moment !
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date : 11-03-2017
Selon moi, c’est le genre de livre qui ne paye pas ne mine au début et puis une fois fini on n’oubliera jamais cette histoire. Je l’ai acheté sans en avoir entendu parler
–normal je l’ai pris le jour de sa sortie-. Alors je ne m’attendais à rien, j’avais juste hâte de voir comment l’auteur allait nous transporter dans le XVIIème siècle.
Au final, et bien lisez ce livre pour la troisième partie, le coup de génie de l’auteur, l’atout dans sa manche !

Bon, dans un premier temps ça ne casse pas trois pattes à un canard. Les deux premières parties ne m’ont pas convaincu, entre actions clichées et des personnages pas très attachants. Oui, j’ai eu du mal avec notre héroïne Charlotte. Surtout sa façon de parler, pas que la vulgarité ou les expressions typiquement adolescentes me gênent ou me choque. Juste parce qu’à certains moments ça cassait le rythme du livre. C’était presque décalé. Mais au fur et à mesure on s’y habitue et Charlotte m’a même fait rire !
Pour revenir à cette première partie, où nous ne sommes pas encore dans le vif du sujet. Pour certain elle peut être courte effectivement. Personnellement je préfère: on ne s’ennuie pas avec des scènes juste pour faire plus long, ennuyant. Ici, c’est plus efficace !

Côté intrigue au début ça ne pas vraiment convaincu. Même si les deux premières parties le livre sont intéressantes et agréables, je n’ai été transporté qu’à partir de la troisième. Car l’auteure nous surprend de pages en pages, et là ce fut vraiment hallucinant ! Dans certains livres la fin vous semble évidente, ici accrocher-vous bien ! Je n’ai jamais été aussi surprise par une fin, par autant de révélations. Le livre a grimpé, grimpé dans mon estime, disons plutôt qu’il est passé de lecture agréable à très bonne lecture ! J’adore être surprise par un livre, de plus ici la fluide plume de Joanne Richoux fait que l’on ne se pose pas trop de questions, on lit son roman sans se méfier de l’entourloupe qu’elle nous prépare… Au final une fois le livre refermé –et l’esprit bien en place-, car je me suis pas remis de la fin immédiatement, on se dit « pourtant c’était gros comme le monde » !
J’ai aussi vu cette fin comme une critique, un avertissement sur un certain sujet –forcément je ne vous dis pas quoi–

Mais ce que j’attendais le plus avec cette lecture, c’était de redécouvrir cette période que j’aime tant, le XVIIème siècle. C’est un pari réussi ! On découvre ce monde en même tant que notre héroïne, cet univers haut en couleur, là où tout n’est qu’illusion…
Vous trouverez, des balles, des salons, des grandes robes, des grands buffets et un tas de personnes plus ou moins étranges.

En gros, si vous aimez être surpris, foncez ! Et si vous n’accrochez pas au début, n’arrêtez pas votre lecture car la fin vaut le détour. Je lirais avec plaisir les livres de Joanne Richoux si elle nous offre un tel spectacle à chaque fois !

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J’ai acheté ce livre sur un coup de tête: « tient on le voit partout sur Instagram, j’en entends que dû bien ». Et waouh, quelle claque se fut !
La romance n’étant pas mon genre de prédilection, je ne m’attendais à rien de particulier. Je ne serais dire, au final, si ce roman est particulier, mais –god- qu’il est touchant !
C’est une histoire poignante, avec une morale qui fait que votre vie vous semble magnifique une fois ce livre refermé. Une histoire ce dévorant en une petite journée, tout comme votre paquet de mouchoirs…Dans les premières pages, nous rencontrons nos héros alors âgés de 8 ans et déjà votre petit cœur fond devant tant de tendresse. Je fus juste un peu gênée par l’écriture qui à mon goût faisait trop adulte à ce moment. Même si au début je trouvais que certains passages allaient bien trop vite, me demandant même ce qui allait se passer en 300 pages. Pas un chapitre ne m’a pas bouleversé faisant sur moi l’effet d’un bon page-turner !

J’avoue que ce n’est pas la couverture qui m’a séduite –si je dis que je le trouve kitsch c’est grave ?-. Tout comme le résumé qui me semblait un peu trop en révéler, du moins j’ai vite imaginé ce qui aller se passer. Mais j’ai adoré découvrir d’où venait le titre du livre et aussi les différents symboles de la couverture ! Après ma lecture, j’ai trouvé l’objet livre tout de suite plus beau !
Bref, ce n’est pas ça qui vous intéresse…

Pour moi cette histoire d’amour fut presque magique pourtant accompagné de plusieurs faits toujours très terre à terre. Mais Tillie Cole grâce à sa poétique plume nous emporte, à travers Poppy et ses jolies citations ou encore à travers Rune et son insouciance. C’est une vraie leçon de vie.
Poppy est une jeune fille intelligente, belle qui renferme un lourd secret. Pourtant elle sourit à la vie, elle s’ébahit chaque matin devant les lueurs orange du soleil… Rune est indescriptible, troublant. Tout aussi attachant. Ils vivent une histoire d’amour hors du commun le Grand Amour, qui vous fait rire et pleurer, qui vous bouleverse. Et tel Poppy votre cœur éclate à chaque baiser qu’elle reçoit de Rune.

J’ai été tellement surprise d’avoir aimé ce livre que je n’arrive même pas à vous expliquer le pourquoi du comment
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Mitigée. Comme pour le premier tome.
C’est un dur jeu que de donner son avis sur un second volet sans spoiler ! Mais je pense m’en sortir aahah ! Vous m’excuserez donc, cet article sera sans doute un peu plus court que d’habitude.
Bref, j’avais vraiment très hâte de savoir qui a tué Nolan mais pas forcément de retourner dans l’univers de Sara Shepard où tout se ressemble.
C’est donc sans grandes convictions que je me suis replongée dans l’histoire de nos cinq héroïnes…L’auteur est connue pour sa saga Les Menteuses plus connue sous le nom de Pretty Little Liars. Je n’ai jamais lu le livre ni même regardé la série, pourtant je connais le gros de l’histoire –et qui est A merci twitwi-. Alors quand j’ai découvert Les Perfectionnistes je fus bien déçue de constater que l’histoire est limite semblable.
Soit, nous plongeons dans la vie d’adolescentes parfaites, clichées… Dans une ville où règne une drôle d’atmosphère haine, compétition et disparition. Où mentir est une passion et tué un loisir.
Secouer le tout, voici-voilà deux sagas: Les Menteuses et Les Perfectionnistes.
Mais là Jade tu te perds…

Nous retrouvons Ava, Julie, Parker, Caitlin & Mackenzie toujours aussi chamboulées que dans le premier tome. Sauf que dans celui-ci, on découvre enfin un peu plus nos héroïnes. Comme si elles se livraient à nous.
On accuse chacune d’elles à tour de rôle, au fil des pages le mystère semble se résoudre…

Mais vous ne vous attendiez pas à cette fin. Alors là je suis restée sans voix.
Pourtant… Dieu que la fin est compliquée, on remet en question deux tomes. C’est décidément trop pour moi –ou pour mon petit cerveau-.
Comme –j’avais cru comprendre– dans PLL, la fin est un petit peu –trop– tirée par les cheveux ! Alors oui, évidemment je salue l’imagination de Sara Shepard et son talent à tromper le lecteur ! Mais, c’est bien trop chelou pour moi. La fin sonnait presque comme un « tout ça pour ça« …

J’ai lu un grand nombre d’avis positif alors ne vous fiez pas qu’à mon article –qui plus est, n’est absolument pas construit-. Il est vrai que je m’attendais à beaucoup mieux. Mais ma lecture fut tout de même agréable.
Dans ce second tome j’ai aimé un peu plus les cinq filles, leur histoire personnelle étant plus approfondie. Mais le rythme du livre ne m’a pas convaincu tout comme le meurtrier de Nolan.
D’ailleurs ! Si vous avez lu cette duologie, n’hésiter pas à me le dire. Je me suis –je l’avoue– un peu « perdue » à la fin, enfin pas vraiment perdue mais plutôt… Oh ! J’ai juste besoin d’en discuter ahah !

Ce qu’il faut retenir de cet article fait de plein de « fin » et de « mais » c’est que malgré ma déception, si ce livre vous tente lisez-le !

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En un mot ? Mitigée.
L’histoire en elle même n’a rien de transcendent, ni même les personnages au premier abord. Pourtant, l’histoire vous hante. Qui a tué Nolan, la super star du lycée ?
L’auteur surfe sur son phénomène, Pretty Little Liars. Même sans avoir regardé cette série, en ayant juste entendu parler sur Twitter –TVShow Times aussi tmtc– j’ai retrouvé le même fil conducteur. En même temps bien choisis, comme dit au-dessus. Vous ne pouvez pas terminer ce livre sans lire la suite –ou t’es inhumains maybe– Pour moi, le livre se découpe en deux parties: « je me suis ennuyée » & « je lâchais plus le livre ». Le jour et la nuit, le soleil et la pluie, t’as compris –#rime #forceuse– Bref.
Nous arrivons dans le quartier de Beacon Heights, là où tout est Parfait. Ou presque.
Nos cinq héroïnes au début, sont clichées de chez clicher ! Glee, Gossip Girl, Pretty Little Liars, tout y est. Du 100% pur jus.
Soit. Une Ava bien trop belle, une Julie bien trop parfaite, une Mackenzie trop musicienne, une Parker bien trop marquée et une Caitlin bien différente. Oui, nos amies n’ont rien à voir. Pourtant, pour une raison propre à elle même, elles en veulent à la même personne. Quatre lettres, et bien des souffrances. N.O.L.A.N.
La vengeance est un plat qui se mange froid –comme un corps mort, ok. C’est glauque ça Jade. Froid comme le corps, je le mange pas perso…–
Je ne perdrais pas mon temps à vous spoiler les traits de chaque personnage de plus, j’ai eu un peu de mal à vraiment « découvrir » chacune des filles. Le livre étant plutôt fin, il est dur d’apprendre à bien connaitre nos héroïnes. Sachez juste que le personnage qui m’a le plus « touché » est Caitlin. Je trouve que c’est elle qui à la raison la plus valable d’en vouloir à Nolan. C’est surtout la plus terre à terre. Tout bien réfléchi, il y a aussi Parker même si des fois elle avait le don de m’énerver.

Passons outre le sujet des personnages.
Ces cinq filles se partagent le livre, à tour de rôle nous sommes avec l’une puis avec l’autre. De ce fait, on ne s’ennuie jamais, sauf que: c’est un peu lent. A chaque fois que la partie d’une des demoiselles était sur le point de se terminer son histoire devenait intéressante ! Alors je pensais la retrouver quelques pages plus loin et bien non. On ne reprenait pas là on nous avions laissé notre héroïne favorite.
Et ça c’est vraiment frustrant !
MAIS le truc vraiment super bien fait, est qu’à chaque fin de chapitre vous vous dites « c’est elle qui l’a tué!! » soit vous imaginez 150 mille –rien que ça– scénarios ! Et c’est ça qui m’a vraiment plu !

En gros, le livre n’a rien de très original mais ça reste une bonne lecture. C’est une histoire qui se lit vite, agréable quand on veut un livre simple –détente-…

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date : 27-01-2017
Surprenant !
Donc, juste avant Le Monstre vous avez Le Clairvoyant. Je ne l’ai pas lu car il me tente un peu moins. Mais ça ne change en rien votre compréhension de ce livre-ci, sauf 2-3 détails.Au début, j’ai eu un peu de mal à accrocher. J’adore les longues descriptions, décors, personnages etc mais certains auteurs choisissent de ne pas s’attarder dessus. Ici, c’est le cas –attention, ce n’est pas un reproche, j’ai adoré des livres sans grandes descriptions!-. Mais il y a bien sûr un avantage. Le livre est court et sans longueur ! Dès les premières lignes vous êtes plongé dans l’enquête à travers différents personnages. Si vous avez une heure devant vous, le livre se lit d’une traite, l’histoire nous happe jusqu’à la fin.

Les personnages sont réfléchis, chacun pouvant se refléter dans Le Monstre. Ça en devient presque intrigant –angoissant même-, on ne sait même pas vraiment à qui nous avons à faire. De ce fait à chaque moment de ma lecture, j’étais là « mais qu’est-ce qu’il/elle va faire, c’est lui/elle Le Monstre!!! »

Un des gros atouts de ma lecture, fut que je ne m’attendais à rien ! Sérieusement, si vous découvrez Qui est Le Monstre ? avant de l’avoir vu écrit noir sur blanc,
Chapeau !
Ce fut donc, une lecture agréable. Que je vous conseille fortement
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date : 21-01-2017
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Waouh. La loi du cœur, est mon premier coup de cœur de l’année 2017 et pas des moindres je pense !
Je ne savais absolument pas à quoi m’attendre, comme à mon habitude, je découvre Amy Harmon un peu après tout le monde. De plus, à la base la romance n’est pas ma tasse de thé, je trouve que tout se ressemble un peu. Mais pas là. Ici, c’est une histoire bien particulière qui nous attend. Je ne mis été pas apprêtée tout comme Georgie… 1. Moïse
2. La plume d’Amy Harmon
3. Une romance mais pas que…
4. L’originalité
5. La perte
Voilà 5 bonnes raisons de lire ce livre… Revenons justement point par point sur toutes ces belles choses qui ont fait de cette lecture une de mes préférés !

Les personnages sont recherchés, détaillés et poignants. Je n’oublierais jamais Moïse, j’ai eu autant de mal que notre héroïne à comprendre le phénomène. Même à travers les mots, il dégage ce sentiment de vide. Son esprit étant aussi détraqué que sa vie, il nous emporte dans un univers sombre et coloré à la fois, inquiétant et magique.
Georgie quant à elle un personnage que j’ai un peu moins aimé. Elle ne m’intéressait pas, sans être banal –car elle ne l’est pas du tout-, elle m’a lassé.
Contrairement à certains avis que j’ai pu lire, je ne trouve pas la relation entre Moïse&Georgie cul-cul ! Il ne faut pas oublier que se sont des adolescents.
Plus tard dans le roman, nous découvrons Tag. C’est un personnage qui m’a beaucoup touché, sa sincérité tout particulièrement. Sous le mec super dur, qui n’en a rien à faire de sa vie, c’est quelqu’un d’extrêmement « vrai », intelligent et observateur je dirais même !

Dès les premières pages, la plume de l’auteur m’a séduite. J’aime ses descriptions, ses analyses sur la vie, la mort car oui. La loi du cœur n’est pas simplement une histoire d’Amour, c’est aussi une histoire sur la Vie, la Mort et le néant.
De plus, j’ai apprécié la forme, la « mise en scène » que donne Amy Harmon à son roman. Le livre se découpant entre un « avant » et un « après », je fus par contre un peu gênée par les laps de temps entre certains passages et encore plus entre cette grande démarcation. Mais « avant » et « après » à forcement une signification, rendant ce découpage intéressant.
L’intrigue est bien trouvé, entre romance, thriller et –presque– paranormal l’auteur c’est capter l’intention de son lecteur.

La perte. Vous vous demandez sans doute ce que je veux dire par là.
Lors de ma lecture, j’étais comme perdue, vidée. L’histoire vous fait rire, pleurer et on se rend compte que la vie ne tient à rien.
Vous perdez -enfin moi j’ai perdu-, cette voyance de lecteur sur le déroulement de l’histoire. Vous voyez de quoi je parle ? Je n’ai rien prédis, ne m’attendais à rien et suis un peu resté sur le cul à des moments. Ah non ! On me dit dans l’oreillette, à un moment, il est vrai que j’ai compris/trouvé un « truc » important.
Le livre évoque aussi tout simplement, la perte d’un être chère, ici cette partie est très présente… Je vous laisse découvrir pourquoi !

J’ai eu l’impression après ma lecture d’avoir vécu énormément de chose, telle Georgie et Moïse. On rentre dans leur histoire et on la vit avec eux.
J’avais aperçu que La loi du cœur était une duologie, mais en me penchant sur le deuxième résumé, il semble que ce ne soit pas du tout les mêmes personnages.

En bref, ce fut une superbe lecture, pleine de rebondissement ! Même si vous n’êtes pas trop romance, ce livre peut vous plaire !
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D’abord, il faut que je vous parle de cette collection que je pense dévorer ! Les Héroïques, l’idée est géniale, intelligente et intéressante. Le principe étant, de parler de tous ceux qui n’ont pas de nom, tous ces gens sans qui notre société ne serait pas ce qu’elle est. Tous ces anonymes qui ont risqué leur vie pour un futur meilleur… Tous ceux dont on ne parle pas dans nos cours… –bientôt sort un livre dans cette collection, Celle qui voulait conduire le tram, qui me tente, beaucoup, beaucoup trop :p–
Cette collection ayant tout pour me séduire (je me répète, j’adore –je suis fana– l’histoire), d’autant plus qu’ici, on suit le parcours de personne comme vous et moi, de simples civils. Mais qui ont, comme il le pouvait, changé le cours de l’Histoire.
Ici, c’est l’Histoire de la population de l’île de Sein que l’on va découvrir à travers les personnages de Marie et Paul.Marie à 16 ans, un dernier au revoir à son père et le reste des hommes de sa petite île, qui partent soutenir de Gaulle à Londres. Soucieuse, elle observe la Guerre discrètement, découpant chaque article qu’elle trouve, les cachant comme pour ne pas oublier les ravages que l’Homme s’inflige.
Paul, part vers l’inconnu pour défendre la patrie. Il a peur, comme tout le monde. Alors pour s’évader, il écrit son histoire sur un carnet, pour ne rien oublier.

Le livre est court mais pas besoin d’un pavé pour sentir la peur causé par la guerre. Ce qui m’a tout de suite conquis c’est la plume de l’auteur, une réel surprise –une belle surprise-. Cette facilité pour décrire ce que tant essaye de cacher, le travail des femmes et des jeunes filles contre l’ennuie, la solitude. Pour résister.
Quelques cailloux à sa fenêtre, une envie intense d’être « utile« , voilà Marie dans un réseau de résistants, comme beaucoup d’autre inconnus.

On parle d’amour, d’amitié, de courage. D’une sincérité frappante. Marie est un personnage très attachant, on la voit grandir et souffrir pour la résistance. Elle découvrira bien plus que les tempêtes de sa petite île, un monde, une guerre sans pitié, sans loi.
J’ai trouvé très intéressant de voir le guerre dans les yeux « d’enfants », que se soit Paul ou Marie. On voit souvent la guerre comme on veut nous la faire voir. Soit à travers ces dirigeants et soldats, mais trop peu souvent les civils sont évoqués.

J’aurais un petit reproche à faire, à un moment, je me suis un peu perdu dans les noms des personnages. Autant je trouve le personnage de Marie très bien exploité autant les autres le sont moins, donc j’avais du mal à les différencier. Mais au fil des pages je m’y suis retrouvée.
Et aussi, je ne sais vraiment quand penser. Mais entre une page et celle d’après y peut s’être passé beaucoup de temps, d’un côté je comprend ce choix, au moins l’auteur ne choisit pas l’option « écrire pour écrire ». D’un autre ça m’a fait un peu bizarre à certains moments.

En bref, ce que vous devez retenir, c’est que si vous aimez l’histoire, les anecdotes –même si ça n’a rien de très anecdotique dans le sens, où c’est tout aussi important que tout ce que l’on sait déjà– ou encore une plume originale et envoûtante;
Lisez, Des cailloux à ma fenêtre et d’autres livres de la collection !
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Par où commencer ? Cette lecture me laisse perplexe.
Alors que j’avais dévoré le premier tome, La cité secrète. Qui est un GROS coup de cœur (les personnages ♥, on en reparle après), son successeur l’est un peu moins…
Mais ça reste une duologie que j’adore !
Comment ne pas succomber au charme de Sacha ?Commençons justement par nos –deux– héros. Dès les premières pages, j’étais tombé sous leur charme. Oui, oui le bad boy, Sacha je valide totalement ! Tout comme sa partenaire Taylor, qui l’oppose en tous genres.
Il n’avait à priori rien en commun pourtant, il y a de ça des générations, l’ancêtre de Taylor condamne Sacha et ses aïeux à mourir lors de leurs 18ème anniversaires.
Forcément, ça rapproche !
Mais ça, on y revient après.

Quand on commence ce deuxième tome, nous ne sommes pas beaucoup avancés dans l’intrigue alors on trépigne d’impatience ! On retrouve Taylor et Sacha à Oxford;
Et il ne reste plus que quelques jours pour comprendre cette malédiction et la rompre… Malgré tous ces devoirs qui nous appellent, j’ai trouvé qu’il y avait quelques lenteurs. Certains passages me paraissant presque inutiles, mais j’avoue, le travail à quatre mains donne un roman tout de même addictif !
Je ne connais pas la plume de Carina Rozenfeld –honte à moi je sais, mais j’ai Zalim dans ma PAL– mais très bien celle de C.J Daugherty que j’ai découverte dans sa sublime saga Night School –énorme coup de coeur, de tous les temps-. Et je dois dire, que le Saint Wilfred’s College a un petit air de Cimmeria. Cette immense bâtisse, d’un côté froid et lugubre mais d’un autre accueillante, incompréhensible, j’en conviens. Là est le talent de ces deux auteurs ! De plus au fil des pages, nous voyageons d’Oxford au célèbre site de Carcassonne, suivant avec appréhensions le trajet de notre duo. Passant par des lieux typiquement français, à de sombres sous-sols Oxfordiens.

Qui dit Young Adult, dit romance –j’ai l’impression-. Mais ici, je ne sais pas qu’en penser. J’ai trouvé les scènes Sacha/Taylor trop niaises, mais je sais –au plus profond de mon Être– que si elles n’avaient pas été là, je m’en serais plaint ! En fait ce qui m’a dérangé, c’est qu’elles n’étaient pas présentes la première moitié du livre mais que lors de la deuxième. Du coup, ça faisait un peu trop au même moment.

Quant à l’intrigue, elle évolue, rapidement, doucement je ne serais dire. Cette histoire se lit très vite car on ne rencontrer pas de gros problèmes. Mais voilà, c’est peu être « un gros problème » qu’il m’a manqué, pour alimenter et pimenter un peu ma lecture.
Même sans ça vous ne verrez pas les dernières pages défiler…

Alors en gros, ce que vous devez retenir. C’est que cette duologie, elle vaut quand même vraiment le détour ! Le premier tome est incroyable, plein de rebondissements, avec de charmants personnages. Le deuxième l’est certes un peu moins, mais ça reste une lecture super agréable.
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C’est comme un mon habitude, un roman que j’ai lu après tout le monde. Alors que la bookosphère ne parlait que tu tome 3, moi j’acheter à peine mon ticket pour Mars.
Phobos, et d’après moi un parfait mélange entre The 100 & Hunger Games. Sauf que là on part de la terre pour aller sur Phobos et il n’en restera pas qu’un (si tout ce passe bien).
J’avais pris mon ticket sans savoir où j’allais réellement. Alors ce fut la surprise…Dès les premières pages l’intrigue nous est présentée, le programme Genesis est près à être lancé. 12 adolescents, 6 filles et 6 garçons qui ne se sont jamais vus auront le temps du voyage pour se découvrir et puis se marier à l’atterrissage du Cupido sur la fameuse planète rouge.
Plan idéal ?
Alors que ces enfants pensent déjà à leur vie parfaite, que des milliers de téléspectateurs aux quatre coins du monde suivent le programme…
Il y a un petit problème.
Voici, l’élément faisant toute l’intrigue, on le découvre très rapidement. Caché aux yeux de tous, c’est la production qui porte un lourd secret. Du coup, on ne s’ennuie pas comme souvent lors des 50 premières pages. Pour ma part, j’ai par contre trouvé le début du voyage un peu long et c’est à ce moment que l’ennui est venue me tenir compagnie mais l’irrésistible plume de Victor Dixen la vite chasser.
En effet, nous avons ici un texte dans lequel chaque mot est choisi avec soin, et veut vraiment dire quelque chose !

Alors que je m’attendais à lire l’histoire du point de vue de chaque passager style The 100, l’auteur choisi avec talent de nous montrer son histoire en champ soit du point de vu de Léonor, en contrechamp ici nous sommes producteur, directeur de ce programme ou encore en hors-champ là on peut regarder l’émission de notre « vraie » place soit en simple spectateur. Tout ça rendant le récit plus intéressant.

Les personnages sont construits, je suis tout sauf une adepte de téléréalité mais je sais que les producteurs cherchent toujours des cas, des personnes avec un fort caractère, des personnalités bien différentes.
Victor Dixen est digne de ces producteur, et choisit avec brio ses personnages, vivants et attachants ils ont tous un petit secret bien caché qui pétera à l’écran pour notre plus grand bonheur…

Parlons maintenant de notre héroïne, Léonor, notre Léopard. Elle est belle, elle le sait et pour une fois ne le cache pas ! Mais se qu’elle cache est sous sa peau, un lourd secret, une Salamandre… Aussi très intelligente, elle se posera des multitudes de questions et pour ne pas craquer une fois dans la fusée se fixera des règles qui à certains moments paraîtront stupides aux yeux des ses amis.
Ses séances de speed-datings sont toujours très intéressantes, celle notamment avec Marcus m’a fait rire et m’a tenu en haleine, j’étais là « oh my god!« . Je vous laisse découvrir tout ça…
Mais qui dit téléréalité, dit amour, dit petit triangle amoureux. Or, moi qui de base n’en suis pas fan, dans ce contexte-ci ce n’est absolument pas dérangeant et même très palpitant ! Comme beaucoup d’éléments dans ce roman, il est construit intelligemment.

Pourtant, même après tous ces points positifs, Phobos n’est pas un coup de cœur pour moi, il m’a manqué je ne sais quel petit truc pour me faire totalement adhérer.
J’ai tout de même énormément hâte de lire la suite… Cette fin !!! Mais qui est si cruel pour s’arrêter là ? :’)
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J’avais extrêmement hâte de lire ce second tome, car la fin du 1 m’avait laissé sans voix. Si bien que, j’ai lu à la suite le 1 et le 2 !
En général, les premiers tomes sont rarement mes favoris pourtant ici c’est le cas. J’ai eu un petit peu plus de mal avec ce second volet (mais j’ai tout de même adoré!). Pourtant le rythme est plus soutenu dans la seconde partie du livre.
J’ai trouvé le début un peu lent, mais ce que j’ai apprécié c’est de voir l’évolution des deux camps, les blancs et les noirs. Une fois l’intrigue repartie, je ne pouvais plus me décrocher du livre.
Nous sommes habitués aux chasses à l’homme, ici, c’est plutôt une chasse aux tableaux. Pas très palpitant vous dites ? Eh bien détrompez-vous !
Bertrand Puard nous tient en haleine, plus les pages tournent plus votre cœur accélère. Vous êtes épris par nos héros, et le fait de voir ce que le camp adverse leur prépare vous fait en réalité beaucoup plus stresser que si vous ne saviez rien.
Mais en réalité vous ne savez pas grand chose, alors que l’auteur semble vous avoir dit le principal, vous découvrez que l’intrigue est bien plus complexe que ça.
Famille, amour, pouvoir, trahison l’indescriptible intrigue vous emporte bien au-dessus d’une simple chasse à l’oeuvre.
Finement critiquée la politique, nous est montrée sous un nouveau jour, encore un peu plus dans ce second tome. Alors que l’argent coule à flot, les trahisons aussi. Pour quelques billets, vous découvrez une nouvelle information un peu plus palpitante. A chaque point éclairé, une multitude d’autres questions vous envahissent.
Hugo, Eva, Tiphaine et leur père plongent avec nous dans un univers inconnu. Où une vie ne représente qu’un pion sur l’échiquier. Où le mot famille ne veut rien dire. Où tout est permis.
Pourquoi cette chasse au trésor ? Pour nous montrer que comme à l’époque de Justine Latour-Maupaz, la seule solution est détenue par le peuple ? Comment renverser un système hypocrite et menteur ?
Mon blog >>> https://joiedelalecture.wordpress.com/2016/12/11/bleu-blanc-sang-2/
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Après être resté un an dans ma PAL, les fiancés de l'hiver sortent enfin de cette pile. J'en ai entendu beaucoup de bien, donc forcément j'avais hâte de pouvoir me forger mon propre avis. Je suis extrêmement mitigée je n'ai pas accroché aux 350 premières pages précisément, ce qui représente tout de même 67% du livre (bonjour la ES)... Mais j'ai A.D.O.R.É la suite.

J'ai apprécié le personnage d'Ophélie qui, je trouve est assez différent de ce que l'on voit dans les sagas. Notre héroïne est maladroite, timide, fan d'histoire, et elle tient un musée. Quant à Thorn, je l'ai trouvé impressionnant et charismatique. Pour les autres personnages, ils sont tous très bien "travaillés". Celui que j'ai le plus aimé est Archibald, son franc-parler fait de lui un personnage marrant et une simple discutions devient tout de suite plus palpitante quand il est là !

Notre découvrons Ophélie, sur son arche Anima et dans son musée qu'elle aime plus que tout mais malheureusement elle sera amenée à le quitter. Les descriptions sont vivantes, oui oui vivantes. L'auteur fait de la personnification, la spécialité d'Anima c'est que les objets "parlent" du moins s'expriment comme ils le peuvent. Et c'est très agréable à lire, hormis quelques fois où j'ai trouvé ça un peu long.
Tout de suite la plume de Christelle Dabos, m'a plongé dans un film signé Hayao Miyazaki, avec ces univers hors du commun. Déjà la couverture me fait penser à Le Château dans le ciel, quant aux décors surtout à un passage précis à Le château ambulant même Thorn me fait penser à Hauru dans cette animée. Etant une grande fan (si bien que mes animaux de compagnies portent des noms de ces dessins animés), j'ai beaucoup apprécié l'univers.

Pour ce qui est de l'histoire, j'avoue avoir eu énormément de mal à m'y plonger. Certains passages étant trop longs (notamment le voyage et l'arrivée d'Ophélie au Pôle). Au fil du livre, l'histoire se corse, dévoilant une intrigue bien plus complexe qu'au premier à bord. Pourquoi Ophélie a-t-elle vraiment été choisis ? Je vous laisse le découvrir...
Dans ce roman, plusieurs clans sont imaginés, avec chacun leur pouvoir. Ils se différencient par un tatouage, chaque famille ayant son propre symbole. Et il y a une famille en particulier qui a attiré mon attention, La Toile. J'ai trouvé l'idée très bien trouvé, avec l'emplacement de leur tatouage, leur pouvoir... Je n'en dirai pas plus, pour laisser un peu de surprise à ceux qui ne l'ont pas lu.
La partie du roman que j'ai préféré est celle qui se déroule à la Citacielle, j'ai aimé découvrir cet endroit magique en même temps qu'Ophélie et d'avoir son avis sur ce qu'elle voyait, notamment le moment où elle découvre les domestiques. D'une certaine façon le Citacielle m'a fait penser au Capitole dans Hunger Games. Là où tout est démesuré, où l'impossible est réalisable et surtout l'endroit où les rumeurs et conflits sont omniprésents.

Pour le suite de mon avis >>> https://joiedelalecture.wordpress.com/2016/11/29/les-fiances-de-lhiver/
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Tout d'abord, je me dois de vous dire que l'objet en lui-même est magnifique ! De l'autre côté nous avons la moitié du visage de la Reine en vieille dame. Et quand on ouvre le livre entièrement, on peut observer un bel effet miroir (sur mon instagram vous pouvez trouver une photo de ce bijou @jdoyofreading)... Donc, je ne vous cacherai pas que je m'attendais à rien de spécial de ce livre, car je l'ai acheté pour la couverture (oui, oui ça m'arrive...)

Eh bien, je suis agréablement surprise ! C'est une histoire très touchante, je ne verrais plus jamais cette Méchante Reine en "vrai" méchante. Je suis une fanatique de Disney, et tout particulièrement des princesses (une vraie fille ahah), alors un "spin-off" sur Blanche Neige ne pouvait que me plaire !

L'histoire commence un peu avant le mariage du roi et de la reine, tout de suite les personnages nous touchent. Ils sont remplis d'amour, de joie, de sincérité et c'est beau !
La reine est loin d'avoir eu une enfance facile, elle a grandi près de son père, un célèbre miroitier sans cœur. Elle s'est jurée de ne pas devenir un parent tel que celui qu'elle a connu pour Blanche Neige, qu'elle aime comme sa propre fille.
Au fil des chapitres, toujours aussi beaux, notre Reine mûrie aux côtés d'un roi aimant, tout comme sa petite colombe... Et Verona, Verona est sa dame de compagnie, sa dame de chambre comme vous voulez, puisqu'elle la considère comme sa sœur. C'est un personnage très sensible, et surtout très attachant !

Alors qu'elle vit enfin une paisible vie auprès de personnes aimantes, le roi part au front. Et là tout bascule, la Reine erre dans les couloirs en attendant son mari. [...]
La suite sur mon blog >>> https://joiedelalecture.wordpress.com/2016/11/29/miroir-miroir/
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Aïe. J'avais hâte de lire ce livre, j'en entendais tellement de bien ! Je pense que j'en attendais un peu trop... J'avoue être assez déçu par ce premier tome, j'aime l'idée générale mais alors que c'est lent ! Pour moi, l'histoire devient intéressante à partir du chapitre 9, ce qui fait un peu tard...

C'était étrange, j'avais envie de tourner les pages, je n'arrivais plus à m'arrêter. Pas parce qu'on avait trop d'informations et que je voulais savoir la fin. Non, non, justement tout aller un peu trop lentement à mon goût. Certes l'histoire est très bien écrite, l'auteur à une magnifique plume, elle nous envoûte, c'est ce qui me faisait tourner les pages. Mais l'action n'y est pas.
L'histoire en général est brillante, les personnages sont "vivants", mais je trouve qu'il n'y avait pas ces petites scènes qui vous accrochent au livre. Je suis sûr que le tome suivant me plaira beaucoup, et j'ai vraiment hâte de le lire.

Nous sommes plongés dans Larispem - autrefois Paris. Ici, en 1899 Larispem est totalement indépendante. Les castes telles que la bourgeoisie, le clergé etc n'existent plus dans cette Cité-Etat, ils ont été exilé pour les chanceux ou tués pour eux qui le sont un peu moins. En effet lors de la seconde Révolution de 1871, les gens du petit peuple on sut vaincre les "versaillais" - alors quand réalité se fut le contraire, lors de cette rébellion.
C'est une uchronie originale, mêlant passé et futur, avec ces grandes constructions de verres sur les anciens édifices Parisiens. Un point en plus !
L'autre excellente idée, l'utilisation de l'argot des bouchers ! J'ai adoré prendre quelques secondes à déchiffrer certaines discussions. Et surtout en comprend un peu mieux le choix du nom de la ville soit Larispem.

J'ai une préférence pour les chapitres dans lesquels nous retrouvions Nathanaël, c'était beaucoup plus palpitant que les histoires de Liberté et Carmine qui à mon goût, à certains moments, combler un peu les trous. De plus, je trouve dommage que l'histoire de livre que trouvent les deux filles soit si peu évoqué, enfin à aucun moment on a réellement connaissance de "l'intérieur" de ce manuscrit.

Pour moi, ce livre est une belle introduction sur ce qui nous attend. Je conseille donc cette lecture sans hésiter au amoureux de SteamPunk, et même à ceux qui ne le sont pas (comme moi).

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Waouh ! Une histoire touchante et poignante.
Elina n'a que 14 ans quand sa mère disparaît, tout comme ses émotions. Après cette terrible épreuve Elina, ne rit plus, ne sourit plus et ne parle plus. Son monde n'a plus de sens sans sa mère, alors pourquoi parler ? Elle décide de végéter parmi les végétaux du Jardins des plantes.
L'auteur choisit ses mots avec attention, et fait d'Elina un personnage atypique, philosophique. Peut-être même un peu trop pour son âge. Mais que souhaite montrer l'auteur ? Que les plus dures épreuves sont celles qui nous font le plus grandir ?
Bref, alors qu'Elina, est sur son banc, elle croit voir sa mère courir dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Car oui, Elina a remarqué que tous les coureurs vont dans le même sens que les aiguilles, comme pour accélérer le temps. Pourtant Elena elle, veut revenir en arrière. Alors elle se lance contre ce sosie de sa mère. Elle cours, à n'en plus pouvoir. Puis tout recommence.
Une femme, s'approche d'elle et lui donne des conseils pour mieux courir. Mais qui est cette femme assise dans son fauteuil, dans sa prison ? De jours, en jours la femme prénommée Violette partage à Elina sa passion pour la course. Quel secret cache-t-elle ?
Après un an de deuil, de refus de vivre. Elina renoue avec la vie et les autres. D'abord elle parle à Violette par les gestes et l'attitude puis un jour, sans s'en rendre compte elle reparle enfin.

Le thème abordé est toujours délicat, il faut trouver comment l'aborder. Tout le monde a déjà perdu un être cher. Alors comment toucher le plus de gens ? Fanny Chiarello a trouvé, l'histoire, le personnage qui sera toucher "petits" et grands.
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