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J'ai tué un homme



Description ajoutée par hunter57 2019-08-17T16:37:05+02:00

Résumé

Surmenage scolaire, pic de stress, ou trouble plus grave ? Arthur est hospitalisé pour cause d'épisode délirant. Le collégien passionné d'histoire se prend depuis peu pour Germaine Berton, une militante anarchiste, meurtrière d'un leader de l'Action française en 1923... Qu'arrive-t-il à Arthur, qui ne reconnaît plus les siens ni le monde qui l'entoure ? Parents, professeurs, camarades de classe, médecins, tous s'interrogent. Avec leur sensibilité, et aussi leurs peurs.

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Classement en biblio - 15 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par LIBRIO64 2020-07-08T19:23:50+02:00

En entrant dans le service, j'ai failli faire demi-tour tout de suite. Je ne sais pas si c'est l'odeur, cette odeur chimique de faux propre, ce mélange de désinfectant, de savon et de mauvaises odeurs qui percent malgré tout, ou ces longs couloirs sans fenêtres.

J'ai cru que je n'arriverais pas à rester. Des éclats de voix jaillissaient derrière les portes, la plupart fermées à clé. Un garçon réclamait de sortir à grand renfort de coups de poing contre sa porte. Il disait qu'il devait animer un meeting de son parti, qu'il serait en retard si on ne lui ouvrait pas immédiatement, puis il s'est mis à sangloter comme un enfant de deux ans.

L'infirmière qui m'accompagnait n'y prêtait pas la moindre attention. J'imagine qu'elle avait l'habitude.

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Commentaire video

Vidéo ajoutée par Mayumi 2019-08-22T22:55:21+02:00

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par LIBRIO64 2020-07-08T19:07:33+02:00
Or

Ce livre nous entraîne dans un autre monde. Le jour, ou un adolescent bascule.

Cette histoire nous montre les difficultés que peuvent rencontrer les parents confrontés à cet être qu'ils ne reconnaissent plus.

L'hôpital psychiatrique, le regard des autres face à la folie, les jugements etc.

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Commentaire ajouté par Aryia 2020-04-30T09:59:06+02:00
Argent

Quand on regarde les étagères de mes bibliothèques, le doute n’est pas permis : ce que j’aime, ce sont les gros pavés. Plus un livre est gros, plus il m’attire … On se demande donc pourquoi et comment J’ai tué un homme a pu atterrir chez moi ! Tout simplement parce qu’au moment de répondre à la proposition d’Aline de chez lecteurs.com, je me suis concentrée sur les résumés sans même regarder le nombre de pages. Et, clairement, le résumé de ce tout petit livre avait de quoi m’intriguer, moi qui suis très sensible à la question des maladies psychiques. Et à vrai dire, au vu de cette thématique, je ne m’attendais clairement pas à recevoir un roman aussi court ! J’étais donc un peu perplexe au moment de débuter ma lecture : comment l’autrice allait-elle réussir à répondre à la question de la quatrième de couverture (« Qu’arrive-t-il à Arthur ? ») en si peu de pages ?

Arthur, quatorze ans, a toujours été très secret, très solitaire : son truc à lui, ce n’est pas le foot ou même les sorties avec les copains, mais bien plus les études … et en particulier l’histoire. Arthur est passionné par cette matière, et s’intéresse tout particulièrement au mouvement anarchiste et libertaire des années 1920. Rien de bien inquiétant … jusqu’au jour où Arthur plonge en plein épisode délirant : persuadé qu’il est Germaine Berton, meurtrière d’un leader de l’Action française en 1923, le jeune homme est hospitalisé dans un service psychiatrique. Et tout comme le battement d’aile d’un papillon est réputé pour être à l’origine d’une tempête à l’autre bout du globe, la crise d’Arthur influe sur la vie de ceux qui l’entourent : parents, médecins, professeurs, infirmiers, camarades de classe …

A mes yeux, le point éminemment positif de ce court roman, c’est bien sa forme. Roman-choral dans toute sa splendeur, J’ai tué un homme nous promène de points de vue en points de vue. Tantôt c’est Arthur lui-même, perdu dans les méandres de son délire, qui a la parole. Tantôt c’est sa mère, son père, sa professeure d’histoire, ses camarades de classe, mais aussi l’infirmier psychiatrique ou l’interne chargée d’annoncer le diagnostic aux parents … Toutes ces personnes qui, d’une façon ou d’une autre, sont impactées par la maladie d’Arthur. Pour sa mère, c’est tous ses rêves d’avenir pour son fils unique qui s’effondrent. Pour son père, c’est la peur qui domine, une terreur née de toutes ses croyances quant à cette maladie fort méconnue et utilisée à torts et à travers par les journalistes, cinéastes et mêmes auteurs. Pour sa prof d’histoire, c’est la culpabilité qui grandit : peut-être que si elle ne lui avait pas conseillé de lire l’autobiographie de Germaine Berton, son élève n’aurait pas sombré … L’un après l’autre, ils s’expriment.

Car voilà bien la grande originalité de ce petit récit : point de narration, point de description, uniquement des paroles, des dialogues, des confessions. Chapitre après chapitre, l’un après l’autre, chacun de leur côté. Comme autant de pièces d’un même puzzle : celui de la maladie. Au début, c’est Arthur qui mène la danse : il avoue avoir commis un crime, un meurtre. C’est un flux de paroles ininterrompu, un aveu empli d’excitation et de passion. Il s’emballe, il s’emporte, il s’enflamme. Il brouille les pistes pour le lecteur qui se demande le rapport avec la quatrième de couverture : que vient donc faire une Germaine Berton, morte depuis presque 80 ans, ici ? Au gré des divagations d’Arthur, le lecteur fait un bond dans le passé – et découvre ou redécouvre une facette de l’histoire assez peu connue – tout en prenant conscience de l’ampleur de la catastrophe. Car dans l’esprit d’Arthur, c’est le chaos le plus total : il est persuadé d’être une femme, meurtrière d’un leader de l’Action française en 1923 … Il est persuadé que les infirmières sont de mèche avec l’Action française, que sa professeure d’histoire est une nomme avec laquelle il serait ami(e) …

Certains le comprendront avant même que le diagnostic soit officiellement posé et dévoilé : Arthur souffre de schizophrénie. Et contrairement à nombre de romanciers qui utilisent cette maladie à tort et à travers, ne faisant qu’accentuer les préjugés et fausses croyances qui courent à son propos, Charlotte Erlih a fait pas mal de recherches … et cela se ressent. C’est criant de réalisme. Dans les symptômes, en premier lieu : exit le « dédoublement de personnalité » qui est un trouble distinct de la schizophrénie – car Arthur n’a pas deux personnalités, il délire « juste » –, l’autrice met en scène avec beaucoup de finesse le sentiment de persécution, les idées délirantes, les hallucinations auditives mais aussi l’émoussement de l’émotivité qui sont le lot commun des malades. Sans oublier, bien sûr, les conséquences « invisibles » : le rejet de la société qui leur colle l’étiquette de « psychopathes sur pattes », les troubles de l’attention et de la mémorisation qui deviennent un frein aux études et donc à l’insertion sociale … Tout cela, Charlotte Erlih le dépeint avec brio.

En bref, vous l’aurez compris, c’est un petit roman fort intéressant que nous propose l’autrice. J’ai énormément apprécié la forme de ce récit pas comme les autres : c’est comme si elle avait posé des micros à divers endroits, dans la chambre d’Arthur, dans le bureau du psychologue de Pia, dans celui du psychiatre qui reçoit les parents, dans la maison de la professeure qui se confie à son mari, pour recueillir des témoignages qui forment un tableau criant de réalisme de la maladie et de ses conséquences. Ce serait un véritable régal d’en faire une lecture publique, avec divers lecteurs éparpillés aux quatre coins d’une pièce, avec un jeu de noirs et de lumières au gré des prises de paroles … Pour cela et pour l’aspect « pédagogique », je le recommande vivement. Malgré tout, je reste un peu sur ma faim : c’est court, beaucoup trop court, et j’ai comme le sentiment que l’auteur est resté en surface des choses au lieu de les approfondir pour encore mieux sensibiliser … On croise les personnages si furtivement qu’on a pas le temps de ressentir de l’empathie pour eux, et c’est dommage. Une bonne lecture, donc, mais pas un coup de cœur.

http://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2020/03/jai-tue-un-homme-charlotte-erlih.html

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Or

L'avis d'Esméralda :

Méli mélo de voix portées tour à tour par des personnages troublants et désespérés. Voix portées par le courage, l’indifférence et la crainte de ne pas être entendues. Voix silencieuses d’un monde méjugé et dont il est interdit de parler.

Arthur, jeune ado, accro aux cours, flanche. Délires ou surmenage, les questions fleurissent autour de lui jusqu’au moment où le diagnostique tombe. Dans ce monde à part dans lequel il s’est enfermé, il revit les heures de gloire et de déchéance de Germaine Berton, ouvrière métallurgiste, militante syndicaliste et anarchiste française.

De longs jours à craindre le pire. De longs jours à chercher des signes précurseurs. De longs jours où la mère d’Arthur se morigène. De longs jours où l’attente devient une torture. De longs jours où l’insupportable s’insinue malicieusement dans le moindre espoir. Des jours vains, des jours cauchemardesques, des jours cruels, où tout s’embrouille dans ce marasme sans fin. Et puis la lumière jaillit, apportant avec elle son lot de joie. Mais qu’en est-il d’Arthur ? Que ressent-il ? Qu’est-il devenu ? car il le sait, il sait dans ses tripes, tout a changé et tout ne se sera plus pareil. Attendront-ils son désespoir ?

Un roman percutant et sensible qui traite avec volupté et sans filtre des affres de la maladie. Une verbe portée par une plume qui, non sans faute, nous n’épargne rien. Mettre des mots sur ces maux et ces états interdits relève de l’exploit. Ouvrir ces portes permet de combattre l’ignorance et surtout de dompter une peur non fondée. Charlotte Erlih confie et partage cette douleur avec sublimité.

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Commentaire ajouté par Mayumi 2019-08-28T10:30:46+02:00
Diamant

Avis complet : http://vibrationlitteraire.com/jai-tue-un-homme-de-charlotte-erlih/

La schizophrénie évoquée avec brio pour les adolescents…

Dans ce roman, nous découvrons Arthur qui se retrouve en hôpital psychiatrique alors qu’il délire à plein tube. Ce court roman va nous décrire le vécu de chaque personne autour de ce jeune qui décompense : ses parents, les infirmiers et l’interne qui le prennent en charge, mais aussi ses camarades de classe.

Par ce biais, Charlotte Erlih montre que cette maladie ne touche pas uniquement la famille, mais aussi tout l’entourage au sens large, comprenant aussi les soignants impliqués dans sa prise en charge.

L’auteure parle de la maladie sans fioriture, sans préjugé ou a priori, sans faux-semblant. Elle démonte un à un tous les a priori de la société sur cette maladie, souvent encouragés par les médias. Les différents personnages suivis permettent de donner une image réaliste et touchante de la schizophrénie ainsi que d’exposer ses conséquences et répercussions souvent lourdes sur les aidants et la famille. C’est une facette qui n’est, à mon sens, pas assez mise en avant dans les médias. Ce sont avant tout des patients qui souffrent et vivent une situation très angoissante. Ce sont bien souvent des patients très intelligents à l’avenir prometteur, interrompus dans leurs études par un premier épisode psychotique. L’image de la société est malheureusement toute autre et j’espère réellement qu’un grand nombre de personnes pourra découvrir ce roman car il dresse vraiment un tableau réaliste de cette lourde pathologie.

Vous l’aurez compris, j’ai adoré ce roman qui en profite pour dénoncer les difficultés rencontrées par le patient et ses proches, mais aussi celles éprouvées par les soignants en souffrance au quotidien par un cruel manque de moyens.

Ce roman peut clairement être lu à tout âge et ne devrait pas être réservé aux adolescents.

J’ai tué un homme est un roman au titre percutant qui a été une très belle lecture pour moi sur la schizophrénie et ses répercussions. Il s’agit là d’un roman plein d’espoir et de positivité malgré les différentes épreuves exposées et je ne peux que vous le recommander chaudement !

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Commentaire ajouté par tichousmile 2019-08-28T08:27:21+02:00
Argent

J'ai tué un homme, c'est le premier que j'ai lu de la rentrée, il y a plusieurs mois, ça tombe bien que ce soit celui qui sorte en premier, mais il m'a marqué. Déjà, on retient le titre, obligé ! C'est à la fois un roman de vie, un thriller, une enquête et un récit à plusieurs voix: mère, père, prof, camarades... qui s'interrogent sur le mystère Arthur. Ce roman bouleverse. En très peu de pages.

L'histoire commence par un interrogatoire. Un jeune qui a commis un crime ? Oui mais Arthur avoue tout, de manière glaçante. D'ailleurs il parle de lui au féminin, il est fier de son meurtre, il le décrit comme un fait historique. Réalité ? Ou mensonge ?

Petit à petit on s'interroge. Arthur est hospitalisé et chacun apporte son opinion sur ce garçon qui se prend pour quelqu'un d'autre, sur ses brusques changements de personnalités, ce garçon qui perd pied. Le roman choral est peuplé de personnalités qui gravitent autour d'Arthur: Sa mère est inquiète pour son fils qui s'enferme, ne vit que pour sa passion, l'histoire. Son père, en colère de voir cette folie. Ses camarades de classe qui se posent des questions.

Un roman qui parle d'adolescence, de questionnements, et de schizophrénie. C'est le genre de roman qui vous laisse un peu démuni, mal à l'aise. On en pense quoi ? On prend ça comme une histoire à haute tension psychologique ou comme un fait de société ? L'autrice aborde la maladie de manière foudroyante, par le point de vue d'une famille, d'amis et d'infirmiers mais aussi par ce garçon qui ne se rend pas vraiment compte de ce qui se joue autour de lui. Il chute, se relève et continue à vivre, les gens autour de lui aussi. Un roman à méditer.

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Commentaire ajouté par Patpepette 2019-08-28T07:49:40+02:00
Or

Je remercie NetGalley et les Éditions Actes Sud Juniors de m’avoir confié ce service presse. Certes, le thème abordé est gravissime, mais j’étais certaine que l’auteure nous livrerait une belle histoire.

Arthur a une soif d’apprendre inépuisable, il est passionné d’histoire. C’est un élève discret, assez solitaire, qui passe la plupart de son temps libre le nez dans les bouquins. Il a intégré un collège parisien réputé et n’a jamais causé le moindre problème.

Personne ne se doute encore que le destin de ce jeune garçon est sur le point de basculer… Un jour, il se prend pour Claire Berton, une militante anarchiste. En 1923, cette femme a tué un leader de l’Action Française.

Le monde d’Arthur et celui de son entourage chavire. Que s’est-il passé ? Surmenage ? Épisode de délire ? C’est l’incompréhension totale ! Le collégien est hospitalisé d’urgence en unité psychiatrique.

Dès lors, nous assistons à la descente aux enfers des parents. Mais aussi, aux nombreux questionnements de ses camarades de classe et à la stupéfaction de ses professeurs. Comment cet élève brillant a-t-il pu en arriver à perdre le sens de la réalité ? Tous ses repères ont volé en éclats.

Charlotte Erlih nous entraîne dans ce tourbillon infernal. C’est un roman à plusieurs voix. Cela nous permet de cerner aisément les réactions émotionnelles de chacun d’entre eux.

Les sentiments principaux : la sidération, l’incompréhension, la culpabilité, l’injustice…

Le diagnostic est enfin posé… Les parents sont touchés de plein fouet. Nous pourrons d’ailleurs observer que leurs réactions et attitudes ne seront pas du tout les mêmes. Malgré tout, c’est la souffrance, le doute, la peur qui prédomineront.

Tout le monde s’interrogera sur le passé et le présent d’Arthur. A-t-il présenté des signes avant-coureurs que personne n’a vu ou n’a su interpréter ? Y a-t-il eu un élément déclencheur ?

Passer le temps des interrogations, il convient maintenant aux parents de s’adapter et d’envisager un avenir pour leur fils. La difficulté pour son père est incommensurable. Sa mère, infirmière, se montre plus forte pour accompagner son enfant sur le chemin semé d’embûches qui l’attend.

Arthur parviendra-t-il à reprendre son existence en main ? Sera-t-il capable de vivre comme tout le monde ? Peut-être, mais à quel prix ?

Le combat ne fait que commencer. S’adaptera-t-il à son nouvel état ?

L’auteur nous offre un récit qui véhicule des messages forts. Elle aborde un sujet délicat d’une belle manière. Elle nous met face à une réalité qui effrait.

Un récit émouvant et criant de vérité.

J’ai passé un bon moment de lecture en compagnie de cette famille plongée dans la tourmente.

Je conseille vivement ce roman touchant et riche en enseignements.

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Commentaire ajouté par Rikikibouh 2019-08-17T16:14:41+02:00
Bronze

Ce n'était, à la base, pas un livre qui m'intéressait grandement. Mais son résumé attise la curiosité. Je me suis donc lancée dans ma lecture et j'ai été agréablement surprise, car je me suis prise dans l'histoire, dès les premières pages.

C'est assez facile à lire, et rapide. J'ai juste eu du mal à le lire d'une traite, car en été, j'ai envie et besoin de lire des choses légères, et on ne peut pas dire que ce roman qui aborde la schizophrénie et les impacts qu'elle peut avoir sur l'entourage du malade, soit un sujet léger.

Cependant, je trouve ça vraiment bien que ce roman, destiné aux ados, brise les préjugés sur cette maladie et qu'il aborde ce que peuvent ressentir les parents, les camarades de classe, les enseignants, les infirmiers, les médecins...

Finalement, j'ai adoré ma lecture.

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