Date de sortie
J'avais vingt ans en 1914
- France : 2017-04-25 (Français)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
J'avais vingt ans en 1914
Résumé
Auguste avait vingt ans en 1914. Poilu anonyme parmi les poilus, il en revient après 56 mois de guerre. Vivant, certes, mais sans doute bien touché dans son cœur et dans sa tête. L'auteur a voulu comprendre pourquoi "Il était si taiseux sur le sujet".
Auguste parle enfin des combats et de sa vie dans les tranchées avec ses camarades. Il dit ses peurs et même la folie de son courage, son désespoir mais aussi son espérance. Il lui arrive de culpabiliser d'être encore en vie. Il raconte l'horreur des combats et l'ingéniosité militaire dans l'escalade de la cruauté oubliant la dimension de l'homme.
Auguste donne quelques réponses à ses silences, les mêmes silences de tant de poilus revenus meurtris. Ses paroles seraient-elles des paroles pour transmettre afin de ne pas oublier "la connerie" qu'est la guerre et, peut-être pour dire que le pire est toujours possible ?
Afficher en entier